OOGZIEKTEN. HENRI VAN LERBERGHE, OPENBARE VERKOOPING MEUBELEN HERBERG-GERIEF, STAD YPER f maintenue étranglée et pendue vingt centi mètres en dessous de sa couchette, sans que ni le désespoir de ses enfants, ni les cris plaintifs et les efforts de son compagnon et de ses sembla bles aient pu la sauver, ■K" Heeft de eer liet Publiek kenbaer te maken dal men hem aile dagen kan raed- plegen 1er zyner wooning, Slalie Plaets, N° 3, le Kortryk. De armen worden gratis gemeesterd. DqOR STERFGtVAL. BINNEN DE EFFECTEN VAN MENAG1E, VROU'W kLKKDERtN, Z.ILYERWERK, GOUD EN DIAMANTEN, ENZ. Den DONDERDAG 3" JULY 1862 en volgenden dag, telkens ten 10 uren 's morgens en ten 2 uren namiddag ten huize van d'heer GONIEAU, Tempelstraet, n° 19, l'Yper, zal den Nota ris ZaA1^311T, aldaer verblyvende, opènbaerlyk Verkoo- peu de Meubiliaire Voorwerpen nagelaten doorJuIT" de weduwe DECAESEMAERER, in leven Canlynhoudsler in de Caserne der Ruylery, en bestaende namelyk in SloelenBanken, Tafels met marraer plalen en andere, Commoden, Rleerkassen, Spiegels, Slaghorlogie met Ras, zeer schoone Pendule met Carillon, Lidkanten, wolle Matrassen en lloofdein- den, Piuimen Bedden. Iloofdeinden en Oorkussens, Linnen Bedlakens en Fluwy- nen; Porcelein, Glas-, Cleis- en Aerde- werk r toper Tin Yzer- en Blikwerk. 3. Menigvuldige Herberg Gereed- schappen 0. Veel Vrouw Rleeding stukken; 3. 4 Servicen, 21 Rofylepeltjes, Limonadelepel en 4 Eyerpotjes, al van zilver; 35. De volgende Juweelen 2 dia- manle Oorslingers, eene diamante Broche, een diamante Rruis met gouden llalskelen; een paer goude Oorslingers, eene goude Monterketingeene goude Spelde en 4 goude Hingen. De Verkooping zal geschieden met gereed geld en verhooging van 10 voor kosten. (t) Men gelieve het ruchtbaer te maken. Déposé la Pharmacie de _FR YSOU - V A NOXJTUIA L rut de Dlxmude, 35. ïpres. UMUIX-LAIIBIiV, éditeur. lorsque j'étais a Madrid, oe «oulareol pas récon- caîtie iuod autorité, venir aujourd'hui dans l'exil ne chercher pour me mettre h leur tête; mais je ne crois pas que le liône, que vous voulez élever de nouveau, puisse faire votre bonheur; chaque jour que je passe sur la terre hospitalière des Etats-Unis me démontre davantage l'excellence des institutions républicaines pour l'Amérique; gardez-les donc comme un don précieux de la Providenceapaisez vos querelles intestines imitez les Etats Unis, et cherchez au milieu de vos concitoyens un homme plus capable que moi de jouer le grand rôle de Washington. L'authenticité de ce discours, dit le Temps, est au-dessus de toute contestation. On le trouve dans une notice sur le roi Joseph, faisant partie des OEuvres de Napoléon III, édition d'Amyot, i856, tome II, p. 438 et 43g. Deux journaux publiés aux deux extrémités de la France, s'accordent pour rassurer les popu lations sur l'effet des pluies de ces derniers temps. Nous lisoos dans le Propagateur du Nord Quelques esprits malveillants s'appliquent h représenter sous un aspect défavorable la prochaine técolte des grains. Nous ne voulons pas rechercher quel mobile ils obéissent, en sonnant ainsi le tocsin d'alarme mais il est de notre devoir de nous inscrire en faux confie leurs assertious; il n'est pas exact de dire que l'humidité de ces derniers temps ait compromis d'une manière sérieuse les céréales. Les dégâts causés par les dernières pluies ue méri tent pas même d'être mentionnés, tant ils sont insignifiants. Que nous ayons une série de beaux jours, et le mal qui a pu se produire sera vite effacé. Tout permet d'espérer que la récolte pro chaine en blé sera parmi les meilleures de ces dernières années. VAigle de Toulouse dit de son côté Le refroidissement de la température et le souffle persistant du oord-ouest ont inspiré des craiutes sur l'état des froments aux personnes qui ne vivent pas au milieu des choses de l'agriculture, lies craintes ne sont pas fondées les blés mûrissent au contraire dans les meilleures conditions, l'épi est plein, le graio bien nourri, et quoique le temps reste constamment couvert, la maturation se complète et même elle sera hâtive. Déj!) beaucoup d'avoines sont coupées et nous sommes en pleine tuoisson. Le seul inconvénient qui résulte de la violence du vent, c'est l'égrenage partiel et peu considérable des blés les plus avancés. En somme, la moisson a lien, dans certaines localités île notre légion, quinze on vingt jours plus tôt que les années ordinaires, mais sans dommage pour le rendement. Les blés qui ont souffert de la sécheresse seront meilleures qu'on ne le pensait, parce que le graio est bien nourri. Un exemple de pendaison extraordinaire et peut être unique, dit une feuille de Lille, s'est présenté dernièrement chez un de nos industriels voici dans quelles circonstances Plusieurs familles d'hirondelles ont établi leur domicile dans une écurieles nids sont attachés aux solives du plafond, et les charre tiers prennent grand soin de ne pas gêner ces intéressants oiseaux. Quelle fut la surprise de l'un des domesti ques, lorsque l'un de ces derniers matins, en arrivant l'écurie, il entendit les cris des hirondelles qui retentissaient d'une façon inac coutumée, et les vit en grande agitation, se précipitant et voltigeant au tour du corps inanimé et suspendu de l'une d'elles. Il paraîtrait que la pauvre hirondelleen s'élanbant de son nid pour la recherche de provisions destinées sa petite famille, a été prise si malheureusement par un bout de crin dont les bords du nid sont garnis, qu'il s'est enroulé autour du cou en forme de lacet et l'a On vient d'arrêter, Paris, tout une bande d'individus qui avaient organisé Je vol des moutons sur une grande échelle d'une façon assez ingénieuse. Ils Se réunissaient pour ache ter, un four de marché, un petit lot de dix ou douze moutons, puis ils se plaçaient sur la route de Paris dans un endroit où elle traverse un bouquet de bois et où elle est bordée de fossés. Dès que de loin on apercevait le nuage de poussière soulevé par un de ces grands trou peaux de 12 i ,5oo moulons que souvent un seul berger conduit vers la capitaleon s'em pressait de prendre les dispositions arrêtées d'avance. Les douze moutons étaient placés sur les bas côtés de la roule où Us paissaient therbe rare. Nonchalamment étendu terre, l'un des voleurs avait l'air de les garder, tandis que les autres se tenaient cachés dans les fossés. Ces derniers, dès que passait le grand troupeau, saisissaient par les pattes les moutons leur portée, les marquaient vivement au moyen d'une préparation rouge au chiffre de l'associa tion et les poussaient dans le petit lot de douze moulons. La chose se répétait chaque trou/>eau qui passait, si bien qu'à la fin de la journée au lieu de douze moutons il y en avait plus de t oo. L'escamotage s'opérait avec tant d'habileté que ce n'était qu'à l'abattoir, lorsqu'il fallait compter les animaux, que le conducteur s'aper cevait de la disparition d'un certain nombre d'entre eux. Où et comment lui avaient ils été enlevés? Il ne pouvait le dire. L'un des associés exerçant ostensiblement la profession de marchand de bestiaux étailchargé du placement des moutons volés qu'il vendait aux marchands bouchers ou aux cultivateurs. La bande eût peut être réalisé longtemps encore de coupables profits si cet individu n'eût pro posé en vente au dessous du cours un lot de moulons un cultivateur qui avait déjà été victime de vols de hé te s ovines. Ayant examiné sans affectation les animaux qu'on lui offrait un prix qui lui semblait suspect, le cultivateur reconnut une marque secrète lui' indiquant qu'ils faisaient partie des moutons qu'on lui avait volés. Sans rien faire paraître de sa découverte il conclut le marchémais feignant de manquer d'argent pour parfaire le prix, il pria le vendeur d'attendre tandis qu'il allait en emprunter un de ses confrères. Au lieu de cela, il alla avertir l'autorité qui prit des mesures en conséquence. Le marchand de bes tiaux fut payé et se retiramais il était inos- tensiblemenl surveillé; on surprit ses accoin tances avec ses complices et on découvrit la matière de procéder de la bande, dont tous les membres furent arrêtés en flagrant délit et mis la disposition de la justice. Gedckorceril iloor K. M. Ue Koiilng «1er Bel «en, HEEL- EN OOGMEESTER DER Bl'RGERLYKE GODSIIUIZEN DER STAD KORTRYK, VAN SCHOONE EN Si &Q9 <mT~m —y— Cette combinaison nouvelle, basée sur des principes non connus des mé decins anciens, remplit avec un bon heur remarquable toutes tes conditions dn problème de la médication purga tive. A l'opposé des autres purgatifs, celui-ci n'opère bien que Ibrsqu'il est pria avec de très bons alimenta et des boissons fortifiantes. Il ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent l'eau de Sedlitz et d'autres purga tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force ues in dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la pnrgalion étant complètement annulée par l'effet de la bonne aliineiilion pres crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen, ne rencontrent pins de malades hésitant se purger, sous pré texte de mauvais goût, on par la crainte de s'affaiblir. La lon gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, qu'on se purge vingl fois de suite, en n'est plus retenu par ia crainte d'être obligé de renoncer avant ja fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements, affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in curables, mais qui cèdent une pnrgalion régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du docteur Deltaut, volume de 2G4 pages, donné gratuitement. Paris, pharmacie du D' Dehaul, et dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 4