AU lU lUVIU dans ,es vi,,es et UN II li 1A N IJ fi grands villages de Belgique, de Hollande, des dqcbé, Grand duché de Limbocrg et Luxembourg, enfin dans les villes et villagesfrontières des territoires français et allemands (où il n'en existe pas encore), des hommes ou dames ayant un nom jouissant d'une grande con sidération pour y gérer une affaire fort sérieuse et lucrative. Écrire franco lettres F. G. 16, poste restante, Bruxelles. HENRI VANTËRBERGHE, Heeft de eer het Publiek kenbaer te maken dat men hem aile dagen kan raed- plesen ter zyner wooniner, Statie Plaets, N* 3, te Kortryk. De armen worden gratis gemeeslerd; pouvant servir toute espèce de Commerce, précédemment occupée par le Sr Uecappe- maeker-Debreu, alors épicier. S'adresser pour les conditions au pro priétaire DÉSIRÉ DEBREU, demeurant maison attenante. f PRUSSE, Une correspondance de Berlin annonce que le roi Guillaume doit se rendre, le 1er août, aux bains de mer d'Osiende, où ce souverain a depuis longtemps l'habitude d'aller chaque année passer une saison. S f.e roi de Prusse part pour Ostende le ie* août. Il y passeia trois semaines. On croit qu'k son retour la discussion du budget militaire pourra commencer 'd la Chambre des députés. ITALIE. Oo écrit de Tuiin, le 23 juillet, l Je crois que nous sommes k la veille de quelque événement grave. Tous les indices qui n'arrivent me confirment dans cette opiuioo. Dans la Lombardie, les jeuues gens paileot par escouades de 10 i3, se rendent a la gare des chemios de fer, emportant leur havresac et uo bâton. Oo leur demaode où ils vont, et ils répon» dent k Palerme. A Gênes, la multitude de ces jeunes gens était si grande, il y a deux jours, que le préfet a demandé au gouvernement de Turin ce qu'il fallait faire» Le ministre de l'intérieur, sans même con<- sulter ses collègues, avait fait répondre au préfet: Laisser passer. Cependant le préfet, ainsi que les commandants des carabiniers, ont voulo ques tionner quelques-nos de ces étranges voyageurs. Les uns n'ont rien dit, les autres ont dit qu'ils se rendaient en Sicile pour travailler au chemin de fer; d'autres enfin, moins avisés ou plus audacieox, ont répondu qu'ils allaient k Palerme suivre leur chef» Oo a découvert aussi que tous ces jeunes gens avaient prêté uo serment doot ils parlaient sans crainte, ei ce serment était de ne rien dire et de ne rien chercher josqu'à ce qu'ils fussent arrivés k leur destination* Les principaux centres où les enrôlements se font sur uue plus iarge échelle et sans crainte de l'autotité,, sont Milan, Pavie, Lodi, Bergame, Brescia, piécisément les villes que Garibaldi a affectionnées davantage dans sa dernière excursion. A Florence, le préfet Torrersa a averti qu'un débarquement très-considérable devait se faire daus ces jours. M. Torreaisa a télégraphié h Turin, et il a reçu la même répouse que celui de Milan. Des bâtiments pour le transport de plusieurs milliers de personnes ont été affrétés Gênes, et on.connaît les prêteurs. Que veut dire tout ceci? Est-ce par hasard la patience que M. Durando recommandait au Parlemeut, qui nous fait assister aux mêmes scènes qu'eu mats 1860, lorsque le même bomuie recruta ouvertement i,5oo hommes, et les embarqua Gênes en plein jour sans que l'autorité y trouvât k redire Ou n'eu sait rien a Turiu, ou croit généralement que M. Ratlazzi veut .jouer une grosse carte, mais on ne dit pas laquelle. On la devine, mais ou a peur de la dire on voudrait laisser voyager Garibaldi daus quelque hasardeuse affaire pour l'y perdre; on n'ose pas le braver tant qu'il preste sur le sol, protégé par les soldats italiens, et on voudrait laisser le soin de le châtier a d'autres soldats. Telles sont les raisons secrètes que M. Ratlazzi affiche avec ses intimes pour leur expliquer ce qu'il y a d'étrange et d'incomptéheusiMe dans sa conduite. - 1 - 4 En attendant, son autorité h la Chambre s amoindrit chaque jour davantage les lois qu'il a déclarées de la dernière urgence pour faire marcher 'I j 1 la machine de l'Etat ne peuvent être discutées; une grande partie des députés des provinces napoli taines s'est engagée k ne pas les voter. Hier, une discussion très-vive s'est élevée entre le président du conseil et quelques-uns des chefs du complot l'irritation perçait a chaque mot. Ou voit dans la figure de M. Raltazzi quelque chose d'inaccoutumé. AFRIQUE. Un acte de détneoce poussé k l'extrême par l'abus des liqueurs alcooliques vient de faire k Sétif uue victime dans des circonstances épouvantables. Voici comment le fait est raconté par l' Dimanche dernier, 6 courant, dans la matinée, le nommé Luigi Elcbico, Maltais, étant en état d'ivresse, s'en fut k l'abattoir et s'empara, on De sait trop comment, d'un couteau de boucher. Un indigène employé daus rétablissement le vit I un instant après, se donner un grand coup Je ce couteau daus la gorge après s'être fait préala- blemeut une croix sur le front avec la même arme. a L'indigène appela du secours, courut sur le Maltais et lui arracha le couteau, non sans être blessé grièvement k la main. Celui-ci voyant l'impossibilité où il était de se porter oo deuxième coup, chercha k élargir la plaie hideuse et béante qu'il s'était faite, en se déchirant le cou avec la maio qui lui restait libre. »;Eofio on put se rendre maître de ce malheu reux forcené.Traosporté immédiatement k l'hôpital, il expira daos la soirée. HEEL- EN OOGMEESTER DER BIJRGERLYKE G0DSHU1ZEN pour entrer en jouissance immédiate une'vaste les bâtiments contigus, occupés par MM. Sasle frères,et là,causer de terribles ravages, dant.au bruit des cloches d' les pompiers se réunissaient et les secours arrivaient mais quandtrois heures et une partie du matériel fut en mesure de combattre le fléau, le sinistre avait déjà prix des proportions effray antes. i Les magasins eau - de - vie étaient en feu$ des pièces énormesreplies d'esprit de-vin, lançaient dans l'espace des flammes n que s qui atteignaient et brûlaient toutes les maisons voisines, pendant qu'une rivière de feu, débordant dans la rueroulait des flots de flammes tourbillonnantes. De la maison incendiée jusqu'à la place du clos Saint-Marc, c est-à-dire sur une lon gueur de près de 3oo mètres, la rue ne présen tait plus que l'aspect d'une vaste rivière enflammée. Là, la liqueur de feu tombait dans le cours d'eau qui passe en cet endroit* Toutes les maisons qui bordaient cet horri ble ruisseau étaient menacées d'incendie. Maie ou et comment conjurer.un tel fléau qui menaçait de tout envahir Les pompiers de la ville de Rouen, conduits par le capitaine Besongnet, et aidés puisamment dans leur service par le secrétaire de la préfecture, le maire et ses adjoints, le commissaire central et les commis saires des divers quartiersattaquèrent l'incen die dans son foyer principal, pendant que quelques uns d'entre eux comprimaient l'incen die qui éclatait de toute part sous les flots de jeu qui roulaient dans la rue. On ne pouvait songer arrêter l'incendie avec de l'eau on fil dépaver une partie de la place Saint Marc et on jeta alors sur le liquide en combustion des quantités innombrables de terre et de sable. Peu peu le danger disparut de ce côté écoulement des eaux de-vie étant épuisé, la rivière de jeu se transforma en un ruisseau de vin. Les caves où était renfermé ce liquide venaient de s'effondres. Mais les vastes magasins et les maisons situées côté se consumaient rapidement des pompes furent placées de tous lescôtés les pompiers, sur les maisons avoisinanteslancée rent de cette hauteur, sur le foyer principal, des quantités d'eau prodigieuses. Enfin, tant d'efforts devaient être couronnés de succès, et après un travail opiniâtre qui n'avait pas duré moins de trois heures, l'élément destructeur était vaincu. A cinq hle danger avait cessé sept heures, les maisons de M. Sasle s'effondraient et ne laissaient plus voir qu'un immense monceau de ruines. Les principales conditions du traité conclu par l'amiral Bonard avec l'empereur d'Annam sont i" Une indemnité de vingt millions l'étendue de l'empire d'A{Pays.) m 1 4 l J i l* i 0 r îîl- U'M 1 C.J i.ll'i -if* i il 10 '-'ï fi L 5° Liberté pour les cultes chrétiens dans toute I j V i i i" i ;y\ v y i t v l*' sv. t lV i t k 7 X -1 k - V i fênfl lit IJ 4 1 V fI i v i - l V v JPÉ Al P r; f 1 v\ 1 jFf ffr I 111 I *1 llffl t*'4 4 t 4 i fl ft) -, 4 "9 I j W ij- i i1 1 - 0 m qr i p t 'f.I V. 3? 4 - -• I -.y 9 S éti y 4 f v f 1 Cedekoreerd door T. 11. de Konlng r'*-'!.". der Hel^en9 DER STAD KORTRYK, v y r. Cette combinaison nouvelle, basée sur des principes non connus des mt> decins anciens, remplit avec un hon- heor remarquable tontes les conditions du problème de la médication purga« tive. l'opposé des autres purgatifs, celui-ci n'opère bien que lorsqu'il «*st Eris avec de très bons aliments et îles oissons fortifiantes. Il ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent H l'eau de Sedlitz et d'autres purga tif». La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue île la pnrgaiion étant complètement annulée par l'effet de la bounc alimcnlion pres crite, on se décide facilement recommencer anssi sotivenl que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce .moyen, ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, s«uis pré texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir, La lon gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mai exige, par exemple, qu'on se"purge vingt fois de suite, en n'est plus retenu par Sa crainte d'être obligé de renoncer avant la fin.Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s'agit de maladies sérieuses, telles uue tumeurs,cngorycnivnls, affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in curables, mais gui cèdent une piirgatiou régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du docteur Dehaui, volume de 264 pages, donné gratuitement. Paris, pharmacie du Dr Dehaui. et dans toutes les bonues phairmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. Déposé la Pharmacie de fftysou - VANOtJTKlVE, :»rut de Dixmude, 35, Ypres. f SITUÉS RUE DE DIXMCDE, N° A9, A IPRES, éditeur. V V i 1 ;c 2° Cession de trois provinces la France 'i f M 15 ,i ^jJJl m jp u. «y ICI T 74# w fi v i IV i» i mm v# wfm I» M »»7 f i - 4 *i i a i i J i r» 1 J J v I r 7 f T k r' I i. I i ,t ANNONCES. OOGZIEKTEN. A LOUER MAISON ET MAGASIN,

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 4