OOGZIEKTEN.
HUIZEN
LYNWAEDBLEEKERY
UN JARDINIER
ON DEMANDE
HENRI VAN LERBERGHE,
SCII OO NE
ITALIE.
ALLEMAGNE.
RESSIE.
AMÉRIQUE.
Sadresser chez Madame Cleenewerck rue
de Lille, Bailleul.
Heefi de eer hel Publiek kpnbaer te
maken dat raen hem aile dagen kan raed-
plegen ter zyner wooning, Statie Plaets
N* 3, te Korlryk.
De armen worden gratis gemeesterd.
OPENBAERLYK TE KOOPEN.
2" lioop. Een HUIS en voordere Ge-
bouwen met grooten Terrein dienende
voor Wasschery en Lynwaedbleekery by
cadaslerseclie J, N°* 183 184 en 185,
grool in oppervlakle 21 aren 83 cënliareD;
geslaen en gelegen binnen de stad Yper,
aen de zuidzyde der Arme-Meisjestraet;
aldaer geteekend N° 1; hebbende eene
Koelsepoorl, mel vryen uiigang, lot de
Kysselsiraet, al door bel gemeen straetje
van noorden hel huis onder den voor-
gaenden koop; Tegenvvoordig gebruikl
door sieur Louis Gouwy.
--
rasser parce qu'il a»aii mordu sa maîtresse. Celle-ci
lai avait donné le nom de Sabin, trouvant que son
jades avait quelque ressemblance avec le visage de
l'idiot.
Les sergents de ville et de dénonciateur lui-
même prirent part de bon cœur b l'hilarité provo
quée par ce singulier quiproquo.
On lit dans V Armonia, a propos de la séance
du 2 août du Parlement de Turio
Il est impossible de dépeindre par des paroles
la scène qui a eu lien samedi b la Chambre des
députés. Pendant que le professeur Ferrari faisait
ses interpellations sur la proclamation du Roi, deux
fois le fracas du tonnerre et le bruissement d'une
pluie extraordinaire ont étouffé sa voix. On aurait
di: le ciel ne voulait pas laisser entendre les paroles
de celui qui a déjb du dans la Fédération répu
blicaine des peuples fchap. î.J L'Eoiope a
déclaré Rome une guerre de religion, et nous ne
pourrons avancer d'un pas sans renverser la croix.
Il semblait que le ciel voulait donner un avertisse
ment b celui qui dans cette même séance avait
oser se vanter d'avoir toujours combattu le Pon.ttfe
sans restrictions Oo dira que ce sont là des cas
fortuits. C'est fort bien, mais nous n'avons voula
qu'une chose tenir-note d'uo nouveau cas de cette
espèce.
La petite ville de Naila dans la Haute Franconie,
en Bavière, est devenue presque entièrement la
proie des flammes, le 3 de ce mois. De ses 474
maisons, peine reste t-il 4o des plus petits bâti
ments; l'église, le presbytère, l'école, les bâ'itnents
communaux et plusieurs hôtels sont réduits en
ceodres. La tour de l'église, ainsi qu'une partie de
la toiture se sont écroulés. Le feu a été mis b une
grange par un enfant de 8 ans qui jouait avec
des allumettes phosphoriques, et s'est propagé
avec une rapidité effiayante.
On écrit de Dusseldorf (province rhénane),
2 août Hier, un étranger entra dans la boutique
d'un orfèvre et lui ofLit des pièces d'argenterie
brisée. L'orfèvre pensa tout de suite qu'il avait
affaire h un voleur, et pendant qu'il pesait, exami
nait et passait sur sa pierre de touche chaque pièce
d'argenterie, un de ces ouvriers auquel il avait fait
tin signe, était allé chercher un agent de police. A
la vue de l'agent qui entrait, l'étranger prit la fuite
par une antre porte, mais l'homme de police se mit
b sa poursuite. Il allait atteindre l'inconnu, lorsque
celui ci tira rapidement un pistolet de sa poche,
l'approcha desa bouche et se fit sauter la cervelle, a
11 paraît que les crinolines sont très-peu en
faveur en Allemagne. Ainsi on mande de Dresde
au ffanderer qu'un jeune homme de cètte ville,
qui vient* de se marier, avait exigé de sa fiancée
qu'elle promît de reooncer b la crinoline quand elle
serait sa femme. La Gazelle de Bromberg raconte
également que la police, dans plusieors petites
villes de la Posoanie, a défendu récemment, aux
bonnes et aux cuisinières, de porter descrinolir.es.
PRESSE.
La Nouvelle Gazette de Prusse raconte ce qui
suit Dernièrement, dans un des waggons du
train qui part de Presbnurg pour Vienne, se
trouvait uu voyageur accompagné d'un petit garçon
qui paraissait n'avoir pas dix ans. A la grande
surprise des voyageurs, l'enfant ne tarda pas
b allumer uu cigare. Arrivé b la dernière siation, le
couducteur se fit rendre les coupons; le jeune
voyageur présenta un billet d'enfant, payant demi-
place; mais le conducteur le refusa, en disant
Un eofaul qui fume est un homme aux yeux de
notre administration. Et le voyageur dut payer
on supplément pour le petit fumeur.
Un ukase impérial du 29 juillet prive de leur
position b part les princes et princesses des familles
jadis souveraines de Géorgie et d'Iméritie, lesquels
recevaient depuis i842 des peusions considérables
de l'Etat. Au lieu de ces peosions, on leur verse
une fois pour toutes un capital fixe. Les voilà donc
mis au rang des simples particuliers, et ils peuvent
se faire inscrire dans les registres de la noblesse des
gouveroemeuis qu'ils habiieut.
Le Chromcle de Québec, du 22 juillet, raconte
une horrible tragédie qui a eu pour théâtre la ville
de Stanford, b environ trois milles de la station du
chemin de fer.
Une personoe du nom de Mm° Bourrel, en qui
on avait remarqué, il y a quelques années et avant
son mariage, des sytup'ômes de folie, aurait assas-
siué ses septs enfants et se serait ensuite coupé la
gorge. Soq mari est en ce mouieol aux États Unis.
Il paraît que dimanche il y eut veillée s sa rnaisou,
el les choses allèreot au mieux.
Le lendemain matin, la fille de !Vlm' Bourrer, qui
assistait b la veillée, mais qui demeure b Saint-
Norbert, vint chez sa mère et trouva la porte fer
mée eu dedans. Elle regarda par la fenêtre et
demeura atlérrée en voyant huit cadavres étendus
sur le plancher. Une fille de quatorze ans, l'aînée
des enfants assassinés, paraît avoir fait des efforts
désespérés pour défendre sa vie, car son corps et
celui de sa mère étaient l'un b côté de l'autie, et
céttè dernière portait au bras des blessures qui ont
dû lui être faites avec une bâche qui était près
d'elle. La fille avait la gorge et les bras coupés; la
mère tenait encore uu rasoir dans ses doigts c ispés.
Toutes les portes et les fenêtres étaient barricadées
en dedans.
■u Le siège de Vicksburg, qui marquera comme
un des faits les plus iutéressauis de la guerre d'Amé
rique a été sigualé par des incidents de plus d'un
genre; en voici un qui n'a d'autre importance que
sa singularité, maisqui,b cetitre, mérite d'être noté.
Taudis qu'une des cauouuiètes du comtuodore
Foote tirait sur la place, une bombe, partie d'une
des batteries supérieures, vint frapper là gueule du
canon Dahlgreen de 9 pouces, tua on canounier
qui le chargeait, entra jusqu'à la culasse, y fit ex
plosion, mit le feu b la bombe qu'elle y rencontra,
et sous la pressioo de cette double décharge, fit
sauter la pièce eu éclats. Par miracle, persone ne
fut atteint, excepté l'artilleur tué au passage.
Ce fait, si curieux par sa rareté, nous en rappelle
uu autre du même genre. On voit au musée d'ar
tillerie, b Paris, un gros carion de cuivre pris
Saint-Jean d'Ulloa lors de la dernière expédition
française au Mexique sous le règne de Louis-
Philippe. L'orifice de ce canou est bouché par un
boulet d'uo calibre supérieur qui est venu s'y jeter
en face et qui y est resté b moitié engagé. Une
inscription porte que le coup de cauon qui a pro
duit cette singularité a été pointée par M. le prince
de joinville.
•-
Un troisième exemple se trouve b Lille b l'hôtel
des canonniers lillois. C'est un mortier autiichien
qui a été engueulé (c'est le terme technique) par
un boulet fiançais pendant le siège soutenu en
1792 contre l'armée de l'archiduc Chai les.
POUR LE
CHATEAU DE MONT NOIR.
«iedekoreerd door Z. ft. de konlng
der Itelgen.
OEEL- EX OOGMEESTER DER Bt'RGERLYKE GODSHIIZEX
DEH STAD KORTRYK
Celte combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des né.
decins remplit avec un hou.
beur remarquable toutes les conditions
MJjÊm m I IlIN du problème de la médication purga.
tive. A l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqu'il
Pris avec de très'bons aliments et <les
boissons fortifiantes. Il ne manque pas
son effet, comme cela soureut
l'eau de Sedlilz et d'autres purga.
tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in
dividus. Les enfanta, les vieillards et les malades les plus dé
bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation étant
complètement annulée par l'effet de la bonne alimention près-
•rite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce nioten,
ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'altaiblir. La lun-
gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque lé mal
exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, ou
n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant
la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements,
affections tutanéu, catarrhes et bien d'autres maux réputes il-
curables, mais qui cèdent une purgation régulière el long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du
docteur IXehaut, volume de 264 pages, dpnué gratuitement.
Paris, pharmacie du D' Uehaut, el dans toules les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.
Déposé la Pharmacie de FH YSOV - V ANOTJTKIV E
rue de Dixmude, 35. Yprès.
EN
d" lioop. Een seboon HUIS, ge-
teekend N* 70, met deszelfs Grond en
Erve, Koelspoorl, Cour en groolen Hof,
Remise, Peerdesial en voordere depen-
demie», zoo als helzelve laelst gebruikl is
geweest door wylen den heer Louis Vandes
Peereboom. En S. Een ander HUIS, ge-
teekend N* 72, met deszelfs Grond en
Erve; thans gebruikl door sieur Charles
Dehouck; te samen uitmakende eenen
blokgeslaen en gelegen binnen de slad
Ypre, aen de westzyde der Kysselsiraet,
en hebbende twee vrye uiigangen door
twee gemeene straeljes, van zuiden en van
noorden.
Deze Verkooping zal geheuren in eene
enkele zillinof, vaslgesleld op MAENDAG
18° AUGUSTY 1862, om 4 uren namiddag
in de estaminet den Gouden Arendop de
Groole Markt, binnen Ypre, ingevolgede
voorvvaerde» beruslende len kanloore van
den Noiaris VAXDERMEERSCH, le Ypre re-
siderende.
LtUBlv-LtHUiV, éditeur.