VANDENBERGHE y DIPLÔMÉ de oogziektenT" 20 ANNEES D'EXPERIENCE. HENRI VAN LERBERGHE, 4 5 FRANCS LA DENT POLOGNE. Le grand duc l'autorisa alors a se consnlter avec ses concitoyens. Snr cette invitation les élus dn pays entier se réunirent b Varsovie, au nombre de deux ceots environ, et se mirent b délibérer. Après qnelques jours de pourparlers on s'arrêta au parti d'envoyer une lettre an comte Zamoyskien le priant de la mettre sous les yeux dn grand-duc. Cette lettre était revêtue de plus de deux cents signatures. Elle parvint an grand-duc. Aussitôt parut dans nos journaux un communiqué qui niait que le grand-duc eût donné aucune autori sation, et qui déclarait qne comme les arrivées simultanées et les réunions chez le comte Zamoyski avaient en lieu b l'iosu du gouvernement, par con séquent d'une manière illégale, le comte était ap pelé b Pétersbourg pour s'y justifier. AFRIQUE. AMÉRIQUE. Heeft de eer hel Publiek kenbaer te maketi dat men hem aile dagen kan raed- plegen ter zyner wooning, Stalie Plaets, N° 3, te Korlryk. De armen worden gratis gemeesterd. A consulter Ypres tous les Lundis de chaque semaine partir du Lundi 8 Sep tembre, VHôtel de la Tête d'Or. la commission médicale de Bruxelles et d'autres, avantageusement connu pour sa pose des dents et dentiers hygiéniques d'une simplicité de mécanisme qui n'exige aucune opération préalable et s'adoptant indistinctement avec grand succès sur toutes les gencives, même dans la bouche la plus délicate, ne couvrent pas la voûte palatine de la bouche d'une plaque mêla- lique, d'os ou caoutchouc; le goût, la mas tication et la prononciation se facilite par ce nouveau genre de dentiers. Tout ouvrage est garanti par écrit. Consultations, opérations, guérison des maux de dents, nettoyage, obturation des dents creuses, redressement et raccom modage de dents et dentiers. y a des maîtres qui ont en ce moment une tren taine d'ouvriers travaillant jusqu'à une heure avan cée de la nuit et recevant un salaire plus élevé que partout aillenrs en Autriche et en Allemagne. Les propriétaires des vignes comptent sur une quantité telle, qu'ils craignent ne pas trouver assez de fûts. On écrit de Varsovie Un fait d'une extrême gravité vient de se passer dans notre capitale. Le grand-duc Constantin, ayant mandé le comté André Zamoyski, lui dit que lé pays glissait visiblement vêts un abîme, et Ini demanda quels moyens on pouvait employer pour rétablir la tranquillité. Le comte Zamoyski répli qua qu'il n'avait pas les pleios ponvoirset ne saurait répondre au nom de la nation. Le comte Zamoyski refusa d'obéir b nn ordre pareil avant de s'en être expliqué avec le grand- duc on le cooduisit deux fois sous escorte mili taire au palais de Lazieuki, résidence de Constantin. Le grand-duc répondit b ses questions que l'ordre de départ était émané de Pétersbourg, qu'il en ignorait le motif, que d'ailleurs tout s'expliquerait là-bas, sur place. On écrit de Varsovie, le t5 septembre, b la Gazette de Silésie Ce matin, b 7 heures, la police a occupé le palais dn comte André Zamoyski, et y a fait une petqnisiiioo qui s'est continuée jusque dans l'après- midi. Quand la nouvelle s'en fut répandue, toos les amis et les partisans du comte accournreot de toos côtés pour le voir; mais personne ne le vit. Vers 11 heures, le comte fut conduit au grand duc dans une voiture fermée, avec nn cosaque b chaque portière. Revenu de Ib, il remoDla de nouveau en voiture vers 3 heures, avec le chef de la police, de Muchanow; il fut conduit b Praga, d'où il va être envoyé b Saint Pétersbourg par le chemin de fer et comparaîtra devant l'Empereur. Le conronnement de Radatna II, comme roi de Madagascar, a en lieuassnre-t-onle 20 de ce mois. On parle beaucoup de décorations que ce souverain anrait envoyées b plusieurs notabilités enropéennes; mais ces décorations, qui se portent accrochées au nez, ne seront sans doute l'objet d'aucune demande d'autorisation. Le plus grand réservoir d'eau qu'il y ait au monde est celui de New-York, terminé le mois dernier. Il est situé dans le parc central de cette ville. L'achat de la superficie qu'il occupe a coûté 100,000 I. st. (2,5oo,ooo fr.) et la maçonnerie 3oo,000 liv. st. Il y a Ib 96 acres couverts d'eau sur une hauteur de 5o pieds. Le réservoir de New- York contient un milliard cent millions de gallons d'eau. On écrit de Boston le 5 septembre b la Gazette des Tribunaux Il y a quelques mois, nue jeune fille appartenant une famille honora ble de cette ville, recevait les adieux de son fiancé, qui partait pour la guerre en qualité de capitaine dans no régiment de Massachusetts. La séparation fnl très - douloureuse le jeune soldat, malgré son énergie et l'ardeur de son enthousiasme militaire, avait les larmes aux yeux quand il s'arracha des bras de celle qu'il aimait. Hélas! ils ne devaient plus se revoir dans ce monde. Le jeune capitaine bostonien faisait partie de l'expéditioo dirigée par le général Mac-Clellan contre la capitale de la confédération du Sud. Il se distingua par son courage dans les sanglantes batailles de la Péninsule, et le jrnir inème où il obtenait le grade de major, et que, fier des éloges que le géoéral en chef lui avait adressés person nellement, il brûlait d'avoir nne occasion de don ner de nouvelles preuves de son dévouement a la cause nationale, il était atteint d'une balle au ccenr, dans une rencontre insignifiante entre quelques compagnies unionistes et quelques compagnies confédérées sur les boids de la rivière James. On comprend la douleur profonde qu'éprouva la jeune fille en apprenant la mort de son fiancé. Ce forent d'abord des explosions des plus violen tes; elle était comme folle et allait jusqu'à maudire la Divinité pour le malheur qui la frappait. Elle se refusait b écouler les consolations de ses parents et de ses amies. Elle voulait, disait-elle, mourir; elle voulait aller rejoindre celui qu'elle aimait du plus ardent amour. Tout b coup, après cet orage de pas sion et de larmes, un grand calme se produisit chez l'héroïne de cette histoire. Etait-ce défaillance de la oature? était ce le retour de la raison reprenant son froid empire sur le cœur de la jenne fille? Sa famille et ses amies, qui avaient craint un moment qu'elle ce se portât, dans l'excès de sa douleur, b quelque extrémité, commencèrent se tranquilliser. L'espoir fondé sur ce calme apparent ne tarda pas s'évanouir. Celle qu'on croyait peut être assez égoïste pour chercher b oublier on plutôt assez forte pour snpporter son malheur disparut un matin de sa maison et malgré les efforts de sa famille et les investigations de la police, il fur im possible de découvrir où elle était allée. Oo sup posa généralement un suicide. Vous savez qne le 29 et le 3o du mois dernier, une lotte rerrible a eu lieu entre les soldats dn Nord et ceux do Sud, sur l'ancien champ de bataille de Bull Rund (Virginie). De part et d'antre on s'est battu avec un couiage désespéré. Parmi les volontaires fédéraux était nn jenne fantassin, dont le visage, quoique souillé de pous sière et de poudre, avait une expression de douceur féminine; il courait au-devant du danger avec une intrépidité incroyable. Paraissant avoir fait le sacri fice de sa vie b son pays, il surprenait ses compa gnons d'armes par son conrage et par son sang-froid extraordinaires. Ses chefs, après la bataille do premier jour, le félicitèrent chaleureusement snr sa brillante conduite. Il fut récompensé de ses services, et promu au grade de sergent. Le lendemain le combat recommença avec pins d'acharnement qne la veille. Notre brave sergent déploya l'ardenr et le dévouement du soldat pa triote qui défend sa nationalité menacée. A la tête de quelques volontaires fédéraux il fut fait prison nier au moment où il cherchait b enlever b an des confédérés un drapean des États Unis dont ceux-ci venaient de s'emparer. Les généraux du Sud étant b court de vivres, ont mis eu liberté on nombre considérable de prisonniers, après lenr avoir fait promettre de ne plus servir pendant la guerre actuelle. Quelle ne fut pas la surprise et la joie de l'hono rable famille de Boston de reconnaître, dans un jeune sergent de l'armée américaine, la pauvre en fant dont elle pleurait la mort Oh! mes chers parents, pardonnez tnoi la douleur que je vous ai causée, mais j'avais juré de venger mon fiancé en me battant contre les ennemis de notre république J'ai tenu ma promesse, et pour cela j'ai dû vous cacher la résolution que j'avais prise. Si vons l'aviez connuevons eussiez empêché la réalisation de ce que vous auriez appelé une folie. Notre héroïne n'eut pas trop de peine b obtenir le pardon de sa famille. Elle est partie immédiate- ment pour la campagne. Aujourd'hui l'intrépide volontaire a fait place b une charmante et douce fille, toujours triste, car elle songe sans cesse b celui qui n'es plus. Cedekorccrd itoor Z. VI. de Koning dcr Belgeii, HEEL- EN OOGMEESTER DER BURGERLYKE GODSIIUIZEN DER STAD KORTRYK ET AU-DESSUS DE 5 FRANCS. Cette combinaison nouvelle, basée sur des principes nou connus des mé decins anciens, remplit avec un bon heur remarquable toutes les conditions du problème de la médication purça- live. A l'opposé des autres purgatifs, celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est --|||^ j pris avec de très bons aliments et des boissons fortifiantes. Il ne manque pas son e(fet> comme cela arrive souvent l'eau de Sedlitz et d'autres purga tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé bilites le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la pnrgation étant complètement annulée par l'effet de la bonne alimenlion pres crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen. De rencontrent plus de malades hésitant se pnrger, sous pré texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, qn'on se purge vingt fois de suite, en n'est plus retenu par fa crainte d'être obligé de renoncer avant la fin. Ces avantages deviennent bien pins précieux, quand il s'agit de maladies sérieuses, telles que lunteurs, engorgements, affections cutanéescatarrhes et bien d'autres maux réputés in curables, mais qui cèdent une purgation régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative dn docteur Deliaut, volume de 264 pages, donné gratuitement. Paris, pharmacie du II' Dekaut, et dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. Déposé la Pharmacie de FRYSOI'-VANOTJTKIVE, rue (le Dismnde, 35, Ypres. Imp, de LAlIBl.l-L.IMBrV.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 4