OOGZIEKTEN. FERME VANDENBERGHE y DIPLÔMÉde BELLE ET GRANDE 20 ANNÉES D'EXPÉRIENCE. HENRI VAN LERBERGHE, SITUÉE A HQUTKERQUE, heel- en oogmeester der burgerlyke godshuizex der stad kortryk, Heeft de eer het Publiek kenbaer te maken dat men hem aile dagen kan raed- plegen ter zyner wooning, Stalie Plaéts N* 3, te Korlryk. De armen worden gratis gemeesterd. Contenant 30 hectares 80 ares, tenant au gravier de Houlkerque Wormhout. Celte FERME bien bâtie et plantée, est occupée par Jean Demol, jusqu'au Octo bre 1866, 2,250 francs par an, susceptible Conditions et renseignements en l'étude du Notaire BSP.TSliTj Poperinghe. 5 francs la dent et au-dessus de 5 francs. A consulter Ypreç tous les Lundis de chaque semaine partir du Lundi 8 Sep tembre, YHôtel de la Tête d'Or. la commission médicale de Bruxelles et d'autres, avantageusement connu pour sa pose des dents et dentiers hygiéniques d'une simplicité de mécanisme qui n'exige aucune opération préalable et s'adoptant indistinctement avec grand succès sur toutes les gencives, même dans la bouche la plus délicate, ne couvrent pas la voûte palatine de la bouche d'une plaque méta- lique, d'os ou caoutchouc; le goût, la mas tication et la prononciation se facilite par ce nouveau genre de dentiers. Tout ouvrage est garanti par écrit. Consultations, opérations, guérison des maux de. dents, nettoyage, obturation des dents creuses, redressement et raccooa- modage de dents et dentiers. par les tainboars et m'emparai de trois appareils de sauvetage. Je retournai b l'avant travers la four naise et remis b M. Vlint et b M. Wood, le comptable, un appareil de sauvetage. Je conservai le troisième pour moi afin de l'utiliser si j'y étais contraint par l'épuisement de mes forces. M. Wood remit le sien b une femme, qoi nonobstant ce secours a péri. a Le navire s'avaDçait vers terre. Un moment il dévia et prit la direction du Nord comme s'il n'était plus possible de le gouverner; mais bientôt il revint b sa marche sur le rivage. Le feu gagnait les pompes, qui ne loi cédaient le terrain que pied b pied. Je donnai avis b ceux qui ne savaient pas nager de s'emparer de tout objet flottant et capable de les souteoir b fleur d'eau, puis de rester calmes jusqo'b ce que le navire touchât le rivage. Plusieurs le firent; d'autres, égarés par la frayeur, se jetèrent la mer. A cinq heures un quart, le premier pont s'effondra et l'un des mâts tomba b bâbord. Peu après le navire toucha. A ce momeot, je criai b ceux qui m'entouraient de sauter b l'eau et de faire de leur mieux pour atteindre le rivage. Les lames poussaient b terre et plusieurs purent se sauver. Ceux d'entre eux b qui il restait des forces prêtè rent assistance aux autres. Le capitaine Hudson et moi restâmes seuls. Les flammes et la fumée nous entouraient. Le capitaine Hudson tomba b la mer et gagna terre. Quant b moi, j'étais épuisé moralement et physique ment. J'avais les mains et les épaules brûlées, et, quoique bon nageur, jamais je n'aurais pu atteindre le rivage sans le secours d'une épave qui me soutint. J'avais essayé d'attacher mon appareil sauveteur; ce fut en vain. Deux fois je fus culbuté et séparé de moo soutien; enfin j'arrivai: j'étais b bout de force. Beaucoup avaient péri. La plage se couvrait de cadavres. Nous étions tons dans la plus sombre désolation. Ce fut b la lumière sinistre projetée par les flammes qoi achevaient de dévorer votre beau navire que nous pûmes amener sur le sable, hors des atteintes du flot, les cadavres que la vague appor tait. C'était une scène déchirante. Vers neuf heures, ce que le feu n'avait pas détruit se brisa sous l'effort des lames, et une partie de notre navire disloqué fut jeté b la rive. Le lendemain matin, plus rien de visible, si ce n'est une fraction de roue qui dominait le niveau de l'Océan. Parmi les scènes que décrivent les lettres des passagers échappés au naufrage, il en est une qui porte en elle de grands enseignements philosophi ques, car elle prouve b quel point l'or peut devenir nu vil métal dans certaines circonstances données. Un témoin oculaire écrit L'or roulait de toutes parts sur le pont. Plusieurs hommes en eussent eu leur charge. Un passager, Brady, jeta pour sa part 3oo onces d'or, enveloppéesdans une chemisedelaine,en s'écriant Si je vais an fond de la mer, duI au moins ne pourra dire que c'est l'or que j'emporte qui m'a fait couler. Il fut sauvé. Un autre, Moran, jetait son or b poignées sur le pont. Il était comme bébété et disait d'un ton étrange En voila del'or, en voilb, qui en veut?» Mais ce n'était pas b l'or que l'oo pensait en ce moment, c'était b la vie, chose plus précieuse. Nul ne ramassait l'or b ses pieds. Voici, d'autre part, un beau trait de dévoue ment L'un des passagers avait 5,ooo dollars en or dans sa ceinture. Il était bon nageur et eût pu gagner la rive avec ce poids. Mais un enfant était près de lui qoi allait se noyer. La ceinture et l'or furent sacrifiés; il prit l'enfant sur ses épaules, et tous deux furent sauvés. On écrit de New - York, le 20 septembreh la Gazette des Tribunaux L'Arkansas est habité par une population ardente, aventureuse, aux passions violentes et sauvages. C'est le pays par excellence de la loi Lynch et du revolver. Les citoyens de cet Etat, armés toujours jus qu'aux dents, fiers de leurs droits et de leur indépendance, amoureux de la force physique, dédaigneux de toute autorité, sont prêts sans cesse se faire justice eux mêmes et laver dans le sang les injures dont ils se plaignent. Les vengeances impitoyables, les duels en pleine rue, les pendaisons sommaires, sont dans l'Ar kansas des événements d'une occurrence quoti dienne. Le drame épouvantable que nous allons raconter est parfaitement en harmonie avec les mœurs vindicatives elbarbaresde la population de ce fertile pays, dont les immenses plaines sont peine livrées a la culture. d II y a quelque temps, une dame veuve ayant une plantation dans le comté de Philips vit disparaître sa fille unique, âgée de neuf ans. Où l'enfant avait elle dirigé ses pas? qu'était-elle devenue? Un crime avait il été commis? On comprend les angoisses mortelles de la pauvre mère. Elle fit rechercher de la façon la plus active celle qui avait disparu si soudainement du sein de sa famille. Hélas! après deux jours de recherches minutieuses clans les bois qui environnaient la plantation, on découvrit le cadavre de la petite fille. Il portait les traces des plus coupables violences. Le meurtre de l'enfant avait eu pour but, de la part de l'infâme ravisseur, de dé truire toute preuve de son crime. Les soupçons se portèrent sur un jeune esclave nègre en état de maronnage, qu on avait vu plusieurs fois rôder autour de ta propriété de la veuve. Immédiatement les amis et les voisins de celte dame se mirent courir les bois pour s'emparer de ce dernier. Mais leurs efforts furent infructueux,et ils rentraient dans leurs foyers, complètement découragés, quand ils rencontrèrent un parti de guérilleros séparatistes. Ils leur racontèrent le crime odieux qui avait été commis et tes soupçons dont un nègre marron était l'objet. Les guérilleros du Sud ont au plus haut degré la haine des abolitionisles, mais ils délestent encore plus mortellement les noirs assez hardis pour tenter de briser leurs chaînes. Ils offrirent aussitôt leurs services afin de mettre la main sur celui qu'on avait vainement cherché. Connaissant parfaitement le pays, ils commencèrent h se répandre dans toutes les directions possibles. Leur chasse ne fut pas longue au bout de quelques heures ils décou vrirent le jeune nègre qu'on leur avait signalé. Ils s'empressèrent d'emmener leur proie en triomphe. L'arrestation opérée par les guerille ros fut bientôt connue, el une foule avide de sang et de vengeance se porta la maison de la veuve. Le jeune nègre toutes les questions qu'on lui adressait répondait avec énergie qu'il était innocent du crime dont on l'accusait. Il n'était coupable que de marronnage. Un jury est institué par assistance pour examiner les faits de cette affaire. Le chef de ce tribunal populaire ordonne qu'on inffigè vingt cinq coups de fouet l'accusé, espérant, l'aide de cette torture, obliger celui-ci con fesser son crime. Un des guérilleros procède sans retard h l'exécution de cet ordre. Le nègre persiste jusqu'au dernier moment déclarer qu'il n'est pas coupable. Le chef du jury demande s'il n'a jamais vu l'enfant assassiné. Il répond que non. Deux personnes du voisinage ont déposé qu elles avaient aperçu taccusé causer avec la petite fille. L'enfant et l'esclave marchaient dans la direction de la jôret. Des cris de mort contre ce dernier accueillent ces témoignages. L'accusé, accablé par ces dépositions, ne répond plus aux questions du chef du jury. Le jury, l'unanimité, rend un verdict de culpabilitéconlre\le jeune nègre, et le condamne être brillé vif. On l'attache aussitôt un arbre. On l'en toure de broussailles, et ces préparatifs de mort se font au milieu des cris de vengeance de l'as semblée. Quand le feu est mis au bûcher, la vue des flammes qui dévorent la victime, les hourras les plus enthousiastes retentissent dans l'air. Cicdekoreerd door 1. VI. de Konlng der llelgcn, Cette combinaison nouvelle, basée snr des principes non connus des rné- decins anciens, remplit avec un bon- /wf^^n<lkS henr remarquable toutes les conditions MilI 11 du problème de la médication purga. tire. A l'opposé des antres purgatifs celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est Vn4'fiV/Zj pris avec de très bons aliments et des boissons fortifiantes. Il ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent A l'eau de Sedlitz et d'antres purga tifs. La dose est facile A régler selon l'Age ou la force des in- dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la purgalion étant complètement annulée par l'effet de la bonne aiimenlion pres crite, on se décide facilement A recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moven, ne rencontrent pins de malades hésitant A se pnrger, sous pré texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. i.a lon gueur du traitement n'est pins un obstacle, et lorsque ie mal exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on n est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant la fin.Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs .engorgements, affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in- cnrables, mais qui cèdent A nne purgalion régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative dn docteur Dchaut, volume de 264 pages, donné gratuitement. Paris, pharmacie du D' Helmut, el dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. Déposé la Pharmacie de FRYSOU - VANOUTHIVE, rue de Dixmude, 35, A Apres. A VENDRE., (canton steenvoorde nord). de grande augmentation. ADJUDICATION DEFINITIVE, Vendredi 10 Octobre 1862, 2 heures de relevée, Poperinghe, l'hôtel nommé Dunkerque. cj lllip. de «..iVIBlt-tAMBIS.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 4