UNE MAISON W00NHUIZEN ANNONCEE ESPAGNE. ITALIE. Une place de 5™ I1TSTITTTTSTTB, est vacante l'École communale gratuite d'Ypres, le traitement est de fr. 700-00 plus le Logement pour un célibataire. Les instituteurs diplômés et de préfé rence ceux de l'Ecole normale de l'Etat seront seuls admis. Sadresser l'Administration Commu- nale. WLLVERGHEM, FONDS ET JARDIN POTAGER A VENDRE Avec 1/2 p. de prime de mise prix. Le Notaire THERRY Neuve-Eglise ce commis par octroi du Tribunal d'Ypres procédera de l'intervention de M. le Juge de Paix du canton de Messines, la Vente du Bien indiqué au texte et dont la dési gnation suit WCLVERGHE1H. Une MAISON et Édifices avec le Fonds et Jardin en dépendant, de la contenance suivant titre de 4 ares 48 centiares et d'après cadastre section A, numéros 7 et 8, de 5 ares 75 centiares, aboutissant du levant un sentierdu midi M. Hennion et le sieur Deturck-Deneutdu couchant la maison et Fonds du sieur Scholaert et du nord la pâture du sieur Lesage et par la hache ledit Sr Scholaert. Cette Maison est le lieu mortuaire de D,u' Cathérine Heughebaert. L'acquéreur en aura la jouissance du jour de l'adjudication. La MISE A PRIX aura lieu Y Hôtel-de Ville Messines, le VENDREDI 31 OCTO BRE 1862, deux heures de relevée. Et l'ADJUDICATlON se fera le MER CREDI 12 NOVEMBRE suivant, aussi deux heures précises de relevée chez la veuve Vroeman Wulverghem. LEDIT JOUR MERCREDI 12 NOVEM BRE, 10 heures du matin, en la Maison ci-dessus désignéeseront Vendus les OBJETS MOBILIERS délaissés par D<" Heughebaert, consistant notamment en Tables, Chaises, Commode, Armoire, Pendule avec Caisse, Marmite, Bouilloire, Poêle, Pot de Fer, Pelle, Pincette, Rechaud, Plats et Assiettes de Faïence, Pots au Beurre, 2 Bois de Lit, Litleries tels que Lits de Plumes, Traversins, Oreillers, Couvertures de Laine, Draps de Lit, enfin tous les Objets Mobiliers délaissés par la dite défunte. MET LAND, OP PASSCHENDAELE, OPENBAER TE KOOPEN. Van wege de eigenaers stelt men met het houden van 2 zittingen openbaer te koop de volgende onroerende Goederen staende en gelegen op PASSCUENDAELE, IN HET DORP. Eerslen koop. Den oostkant van een HUIS van drie woonsten. afhankelykheden en 10 aren 90 centiaren Erveonder be- bouwden Grond en Hovenier-Hof, palende een voetweg, daerover den heer Pysson- nier, zuid de Tuimelaerstraet, west op gemeen muer en païen, den volgenden koop en noord het land van J" vidua Cappelle. Ttveeden koop. West aen den voor- gaenden koop, de WOONST in het midden van een huis van drie woonsten, afhanke lykheden en 9 aren 90 centiaren Erve onder bebouvvden Grond en Hovenier- Land palende oost koop 1, zuid de Tuime- retirer de la Banque d'Angleterre, qui ne les a jamais possédés! La Banque d'Angleterre prit peur; il y avait de quoi. L'oo put dire dans tous les journaux du soir et dans ceux du lendemain matin qu'à l'avenir elle payerait bureaux ouverts les effets de la maison Rothschild, comme ses propres billets. FRANCE. Le Moniteur universel publie le décret suivant Art. i". M. le prince de La Tour d'Auvergne, notre envoyé extraordinaire et ministre plénipo tentiaire près S. M. le roi de Prusse, est nommé notre ambassadeur près le Saint-Siège, en rempla cement de M. le marquis de Lavalette, dont la démission est acceptée. Art. 3. M. le barou de Talleyrand-Périgord, notre envoyé extraordinaire et ministre plénipo tentiaire près de S. M. le roi des Belges, est nommé en la même qualité près S. M. le roi de Prusse, eu remplacement de M. le prince de La Tour d'Au vergne. Art. 3. M. le comte de Sartiges, notre envoyé extraordinaire et mioistre plénipotentiaire près S. M. le roi des Pays-Bas, est nommé en la même qualité près de S. M. le roi d'Italie, en remplace ment de M. Benedetti, appelé d'autres fonctions. Art. 4. M. Baudio, notre envoyé extraordinaire et mioistre plénipotentiaire près S. M. le roi de Suède et de Norwège, est nommé en la même qualité près S. M. le roi des Pays-Bas, en rempla cement de M. le comte Sartiges. Art. 5. M. Fournier, secrétaire de première classe, est nommé notre envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire près S. M. le roi de Suède et de Norwège, en remplacement de M. Baudin. Art. 6. Notre ministre des affaires étrangères est chargé de l'exécution du présent décret. Faitau palais de Saint Cloud,lei7 octobrei86s. napoléon Par l'empereur Le ministre des affaires étrangères, drouyn de lhuys. On mande d'Ervy, le t5 octobre, an Jour nal de l'Aube Uu acte de courage qui mérite d'être signalé vieut d'avoir lieu h la ferme de Villiers, commune d'Ervy. Cette Ferme possédait, et possède encore, un taureau redoutable, qui avait pris la fermière en haine, de sorte que, depois quelque temps, elle était obligée de se cacher lorsqu'on lâchait le farouche animal dans les prés. L'autre jour, on vint avertir la fermière que les vaches étaient entiées dans une pépinière. Elle y court pour les en chasser, le taureau l'aperçoit. Aussitôt, il fond sur la malheureuse, qui a la présence d'esprit de faire la morte, lui laboure le cou et la poitrine, et lui casse la mâchoire et une clavicule. Sans aucun doute, il l'eut lacérée et tuée sur le coup sans l'intervention héroïque d'un nommé Lépine, qui était accouru aux cris de la fermière. Lépine est doué d'une force herculéenne. Sans caleuler le danger, il se jeta aux cornes du taureau et le terrassa en un clin d'œil. Cela fait, il charge la fermière toute ensanglantée sur ses épaules et ren tre 'a la ferme, Malgré ses graves blessures, on espère la sauver. Lépine n'est pas son coup d'essai; il avait déjà terrassé et dompté le terrible animal dans une autre rencontre. Cet homme coorageux joint h sa force pro digieuse une telle adresse que, lorsqu'il élague des peupliers de 16 h 20 mètres de hauteur, il ne se donne pas la peine de descendre, il fait balancer la cime de l'arbre où il se trouve, et se lance sur on antre, et ainsi de suite, jusqu'à ce que sa besogne soit achevée. Si incroyables qu'ils paraissent, ces faits peu vent être attestés par plus de cent personnes. Nous lisons dans le Courrier de Cherbourg Un passager chinois vient d'arriver Cherbourg par la Forteil s'appelle K.iô-Haog et est natif de la préfecture ou du district deShang-Haï. Cet étranger se rend en Italie, appelé en témoignage dans une affaire criminelle dont quel ques matelots siciliens se firent les héros l'année dernière dans les mers de la Chioe. Il s'agissait, en effet, de l'enlèvement d'un bâtiment italien par son propre équipage, enlève ment accompagné de meurtre, violences: Kiô- Kang a été, parait-il, délégué par les témoins entendus une première fois au consulat d'Italie Sang-Haï, il vient déposer dans ce mystérieux procès, qui ne manquera pas d'originalité sous le rapport de celte assignation extraordinaire. a Reste h savoir maintenant si le greffe do tribunal italien réglera les frais de ce témoin sur le pied de 1 fr. 5o c. par myriamètre. En attendant son départ pour la Péninsule, Kiô-Hang se promène parmi nous. Il est jeune et remplit Shaog-Haï les fonctions d'interprète: il parle avec une grande facilité le français, l'an glais, l'espagnol et l'italien. Il est petit de taille, et a des yeux véritablement chioois. Son loquet, sa loogue natte queue, ses pantalons de soie bleu clair, indiquent au surplus sa nationalité. Un journal de Madrid parle d'un cas fort extra ordinaire d'exemption légale qui se serait présenté devant le conseil d'Etat. Un jeune couscrit aurait demandé être exempte du service militaire pour celte raison qu'il éprouve pour le pain une répul sion bien cousiatée. De nombreux témoins sont venus affirmer que, dès son enfance, le jeune homme a manifesté la plus vive horreur pour le pain. Il suffisait que sa mère lui présentât un mor ceau de cet aliment pour que l'estomac se soulevât. Dans cet état toul-b-fait anormal, le jeune homme ne devait-il pas être considéré comme malade? Turin, 17 octobre. Le ministre de la guerre vient d'ordonner que l'on défère aux tribunaux militaires le général Favergues et son aide de camp. Le général commande un camp près de Bologne; un soir, fort tard, il voulut sortir du camp; la sentinelle, qui avait reçu l'ordre de ne laisser sortir personne, croisa la baïonnette. Le général, accom pagné de son aide de camp, voulut se faire recon naître, mais le soldat tint bon. Uu caporal de garde accourut au bruit et releva la sentinelle de sa faction. Le général, vêtu eu bourgeois, s'approcha du soldat et lui demauda s'il le reconnaissait sur sa réponse négative, il lui donna un soufflet; il y eut ensuite mise en jugement de la sentinelle, qui fut acquittée l'unanimité. La fermeté avec laquelle elle avait observé sa consigne était toute naturelle ancieu soldat du roi de Naples, elle avait, pour avoir laissé dans de semblables circonstances passer uu géuéral, reçu la peine du fouet. près de la place. avec -■ ivi il' i i.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 2