VANDENBERGHE y
AVIS.
20 ANNÉES D'EXPÉRIENCE.
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5 FRANCS LA DENT
OTHON.
TURQUIE.
AMÉRIQUE.
N'êtes vous pas M. IVard du Kentucky?
A consulter Ypres tous les Lundis de
chaque semaine partir du Lundi 8 Sep
tembre, l'Hôtel de la Tête d'Or.
la commission médicale de Bruxelles et
d'autres, avantageusement connu pour sa
pose des dents .et dentiers hygiéniques
d'une simplicité de mécanisme qui n'exige
aucune opération préalable et s'adoptant
indistinctement avec grand succès sur
toutes les gencives, même dans la bouche
la plus délicate, ne couvrent pas la voûte
dalatine de la bouche d'une plaque méla-
lique, d'os ou caoutchouc; le goût, la mas
tication et la prononciation se facilite par
ce nouveau genre de dentiers.
Tout ouvrage est garanti par écrit.
Consultations, opérations, guérison des
maux de dents, nettoyage, obturation des
dents creuses, redressement et raccom
modage de dents et dentiers.
Den Maendag 17" November
1862, 's middags, zal den
Notaris LA.2A311T open-
baerlyk Verkoopen op de
'landen deelmakende vanhet
Kasteel van Hollebeke 67 koopen scboone
en zware Abeelen, Populieren, Esschen en
Wilgen BOOMEN.
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Hf photographe
i IIliIIII LBi 1 Bruxelles, ouvri
ra un atelier de Photographie en cette ville,
lequel fonctionnera pendant quinze jours,
dater du 15 Novembre prochain.
L'atelier sera établi VHôlel de la Châ-
tellenie.
Entrée par la porte du Vieux Marché
au Bois.
Les personnes qui désirent faire faire
leur portrait, sont priées de se faire inscrire
chez M. Loppens, Marché au Beurre, ou
on peut examiner des épreuves.
Aucun portrait ne sera exposé sans au
torisation.
Les prix des portraits sont les mêmes
que ceux de son établissement, Bruxelles.
12 fr. la douzaine, pour portraitd'homme.
16 fr. la douzaine, pour portraits de
dame et d'enfant.
Inip. de l,A.1iBlX-UUBIS.
patriotisme, messieurs, et doos attendons de vous
non-seulement le maintien de l'ordre et de la
tranquillité, mais cette abnégation qui a toujours
distingué la oalion grecque dans les circonstances
critiques du passé. Ainsi nous espérons que la main
puissante du Très-Haut qui n'a jamais fait défaut
h la patrie, donnera de la force h nos faibles mais
sincères efforts, et béoira ce nouvel œuvre, con
duisant le nouvel ordre de choses la gloire du
nom grec.
A Atbèoes, 11 octobre 1863.
Le président do gouvernement provisoire de la
Grèce. d.-g. boulgàris.
Suivent les noms des ministres.
Le secrétaire du gouvernement provisoire,
N.-A. CLATSOPOULOS.
Voici la proclamation adressée de Salamine
par le roi au peuple grec, et qui est parvenue
Athènes par l'intermédiaire des envoyés des
puissances
proclamation du roi au pbuplb hellène.
Hellènes! convaincu qu'après les derniers événe
ments survenus dans quelques parties do royaume
et principalement dans la capitale, moo séjour en
Grèce dans le momeot actuel précipiterait les
habitants de ce pays dans des conflits sanglants et
difficiles h aplanir, je me suis décidé h quitter pro
visoirement le pays auquel j'étais et je sois encore
attaché par faut d'affection, et pour la prospérité
duquel je n'ai épargné aucune peine, aucun effort
pendant près de treote aos. Eloigné de toute osten
tation, je n'avais en voe que les véritables intérêts
de la Grèce, travaillant de toutes mes forces b en
faciliter le progrès matériel et moral, en appliquant
mon attention particulière b l'administration impar
tiale de la justice. Mais quand il s'est agi de délits
politiques contre ma personne, j'ai toujours agi
d'une clémence, sans bornes et oublié ce qui s'était
passé. En retournant dans le pays où je sois né, je
m'afflige la pensée des malheurs dont cette Grèce
que je chéris est menacée par suite de la nouvelle
tournure des choses. Je supplie le Dieu tout miséri
cordieux de répandre ses grâces sur les destinées de
laGtèce.
Dans le port de Salamine, te s4 octobre 1862.
Le lundi, 30 octobre, vers dix heures et demie
du soir, un iucendie s'est déclaré b Péra, dans un
quartier habité par des familles pauvres, et n'a été
éteint qu'à quatre heures du matin, après avoir
détruit dix-huit rues. Quatre personnes, deux
hommes et deux enfants ont péri dans ce sinistre,
auquel le manque presque absolu d'eau a laissé
prendre d'aussi grandes proportions.
On écrit de Saint Louis, le 10 octobre, la
Gazette des Tribunaux Il y a quelques années,
un malheureux maître d'école était assassiné
en plein jour dans le Kentucky par le frère d'un
de ses élèvespour avoir infligé une punition
corporelle celui ci. Celte affaire eut un grand
retentissement, cause du motif du crime et du
nom de l'accuséqui appartenait une des
familles les plus riches et tes plus influentes du
Sud. Le meurtrieren accomplissant son ac
tion avait obéi moins un sentiment de ven
geance qu'à une inspiration de son orgueil
violemment offensé par les coups reçus par un
membre de sa race de la part d'un misérable
Yankee, obligé de donner des leçons pour vivre.
Dans le Nord, l'opinion publique embrassa
chaleureusement la cause du maître d'école, et
réclama haute voix contre le coupable un
châtiment exemplaire.
Dans le Sud, les faits du procès furent
appréciés avec beaucoup plus d'indulgence, et
des journaux de ce pays sans aller jusqu'à
excuser complètement l'acte de l'accuséplai
dèrent en sa faveur les circonstances atténuan
tes disant que sa dignité et son sang aristo
cratique avaient du être indignés du traitement
odieux dont le maître d'école avait usé envers
son jeune frère.
Après de longs débats le jury chargé de
juger celte déplorable affaire rendit un verdict
d'acquittement. Cette décision obtenue par des
influences considérables de famille et d'amis
au service de l'auteur d'un crime patent, ac
compli en plein midi, fut accueillie dans les
États du Nord par des protestations énergiques.
L'acquittement du meurtrier, s'il fut bien
reçu dans les hautes classes du Kentucky, pro
duisit une profonde indignation dans la masse
de la population de cet État. IVard c'était le
nom de C accusé), cédant la réprobation pu
blique, abandonna le Kentucky et alla s'établir
dans V Arkansas. Il possédait dans ce pays une
belle plantation, et sa prospérité apparente
semblait un outrage la justice et la Provi
dence. Mais au moment où ils s'y attendent le
moins, les criminels sont punis comme ils le
méritent.
Le frère du maître d'école, homme hardi et
entreprenant, a épousé la cause du Sud. Après
s'être battu dans le Miisouri, où il était mar
chand avant la guerre, il a été dans VArkansas
continuer ses efforts en faveur du triomphe du
drapeau séparatiste. Il est devenu chef d'une
troupe de partisans dont les exploits audacieux
ont été maintes fois mentionnés dans les jour
naux ou les documents officiels. Récemment
poursuivi Cépée dans les reins par un parti
d'unionistes, il fuyait avec ses soldats en dé
sordre. Accablé de fatigue et de faim, il aper
çoit tout coup, au sortir d'une immense forêt,
une riche maison d'habitation entourée d'une
propriété magnifique. Il est sauvé. Il se rend
aussitôt, avec les quelques compagnons de sa
fuite, la maison de l'heureux possesseur de
cette belle plantation.
En voyant venir des étrangers celui-ci
s'empresse d'accourir pour leur demander ce
qu'ils veulent. Il est heureux d'offrir aux sol
dats du Sud, dit-il, l'hospitalité de sa maison.
A peine a-t-il prononcé ces paroles que le chef
de la troupe jette un cri
Pourquoi me faites vous cette question?
répond ce dernier plus ou moins troublé.
Oh! je vous ai reconnu maintenant.
Vous êtes C assassin de mon frère, le pauvre
maître d'école. Je vais venger, moi aussi, ma
famille.
Et immédiatement il lui décharge en
pleine poitrine son pistolet. Le planteur, blessé
mortellement, tombe pour ne plus se relever.
Le meurtrier, ayant satisfait sa vengeance,
part avec ses compagnons frappés de stupeur,
en proie aux violentes émotions de ce drame,
poursuivi un moment par les cris d'effroi et de
colère poussés par les noirs de la plantation, n
ET AU-DESSUS DE 5 FRANCS.
Dentiste
1 diplômé de
Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé
decins anciens, remplit avec un bon
heur remarquable toutes les conditions
du problème de la médication purga
tive. a l'opposé des autres purgatifs,
I celui-ci n'opère bien que lorsqu'il tsi
pris avec de très bons aliments et des
f boissons fortifiantes. Il ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
A 1 eau de Sedlilz et d'autres purga
tifs. La dose est facile i régler selon l'ège ou la force des in-
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé
bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieui, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation étant
complètement annulée par l'effet de la bonne alimention pres
crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent qie
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen,
ne rencontrent pins de malades hésitant se purger, sous pré
texte de mauvais go6t, ou par la crainte de s'affaiblir. La Ion-
gueurdn traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on
t plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant
n'est plus retenu parRC „lalit
avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements,
affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgation régulière st long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgatire ou
docteur Dehaat, volume de 264 pages, donné gratuitement.
Paris, pharmacie du D' Dehaul, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.
Déposé la "pharmacie de FRYSOU - VANOUTKIVE
rue de Uixmude, 35, A Ypres.
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