LIVRES 1)1 PRIÈRES
OOGZIEKTEN.
MEUBELEM
3
LISSEWEGHE,
W 18.
EN VENTE
i.»Miii>-noinn;u,
HENRI VAN LERBERGHE,
jendiedi dernief^ vappgite \\4ulorité de
Duaterguc, la foudre ejt trjrabéei'b Arleux en-
Gofcelle.BOP-des oonrim qui.fravaillanb dunifles
chaixpj, is'étaieiti! mis in îl&taot 1 S' Pabri Soux*
dès'tiBres.' Une femme de 5t inb, aébitopagôint
deux en fané»,4 est morte sur le coup; deux autres
persorfôes bnfçté frappéejr&è'Wç. roànïère par le
fl ai de. qdàit C Isll piir «en b qu'après'jlngi minutes
d'efforts b lesVàppelerb la vie. Une dizaine d'autres
victimes ont été plus ou moins contusionnées.
RUE 1>E LILLE, 10,
T??.3î3. t!
IVÎ D I T A T I 0 N S
Garnis du non garnis, en différentes
langues et reliures diverses en ivoire,
écaille, velours, chagrin, maroquin,
basane, etc., des prix très-modérés.
Heeft de eer het Publiek kenbaer te
maken dat men betn aile dagen kan raed-
plegen ter zyner wooning, Stalie Plaets,
K* 3, te Kortryk. 1
n v noiiJi uJtlnityn. ojuj un
De armen wonlen gratis gemeosterd.
EN EFFECTElN VAN MENAG1E,
iiiaaaaiûibiïii i'V.ti 'KU
TafelS, StoelenpScbâprade, Slagborlogie
rnet Ras, Lidkanl, Koper-i Tin-, I YzérV
Blik-, Gleisch-, Glas- en Aerdeworkj KuijB
enKeernallxem,'Hàelkuip^2 Rbrdewageàs,
2 Leedersi 2 Lyîheggan,' I Lyfrolle, Spa^
den, Houwen, Rakefs,:Vorkfen, Drytanden,
Greepén,' Handmessett, Happeny Hotiweel,
Klifhamer eri ^V«ggéhf fe«ne.boe.veelbeid)
Brandhout, DiltperssenvAerda'ppelen, Bit*-,
rapen, ongedosschen Peerdeboonen, lloèi,
Slrooi, 200 rogge Geleyen al$mede eeneî'
zee¥ seboone bekairdè-Melkioey oad S
jaren en meer andere voorwerpen. ub
Met tyrl van befaling voor de koopën
boven de 10 francs^ntits-stelleiide goede en
ivclbèkende tiorgen en gereed mtdoeiide de
koopen daer onder en den 10e" pennink: m
Dat men het vootls zegge.
Le 28 février dernier,une barque de pêcheurs
d'Ajaccio a capturé uoe'espèce de lameutin (manœ-
lus) appartenant au huitième ordre "dés Mammi
fères ou cétacés, par la présence des poumons et
des mamelles.
Le public, dit 'e Journal de la Corse, a été ému
devoir ce singulier animal quatre mamelles, dout
l'apparition a pu faire croire quelques naviga
teurs qne les sitèéesTt les tritons desaociens étaient
des.êtres existant .réellement dans la oatnre. lia
quinte pieds de long) les jeux h pupille ronde et
noirs, des moustaches fortes de cluque côté de la
gueule, le poil ras sur tout le corps avec quelques
taches parsemées d'une, teiute bruue près des deux
pattes-nageoires du devant, armées d'ongles apla
ties au uouibre de cinq; la bouche, comme celle du
veau, avec molaire b couionue plate; la queue
ovale-obton - gue la forme du corps cylindrique;
l'angle facial,tomme celui du veau, arioodi; les
narioes placées a l'extrémité du museau. Cet
animal amphibie vit sur les rivages et dans le sein
de la mer b peu de profondeur,;près de.oôps où
les algues croissent sur les rochers; il se nourrit de
végétaux el de poisspps, il habite toutes les mers,
les mouvements qu'il exécute avec ses niaios sont
d'une adresse admirable; il se tient perpendiculai
rement dans la ruer, la tête hors de t'éau; ses ma
melles saillantes, sur la poitrine, sont au nombre de
quatre; la femelle allaite son petit en le tenant
serré conlje son seiu au moyen de ses nageoires.
Ce célacé a été pris vivant; il a été embarqué le
5 mars pour le coÇtiueuJ,
_VUo'r>ëvéneMeril tffèn doulotfteux est arrivé
jeudi b Rouen. Les époux Florimond, journalieis
et domiciliés rue de la Chèvre, s'étaient reodus le
malin leur travail accoutumé en laissant conchés
daos leur berceau deux jèOffés ebfaOts, LouisAet
François, le premier âgé de dix-huit mois et le
second de quatre ans.
Ces deux pauvres petits jouaient ensemble
quand l'aîné eut la fatale idée de se saisir d'allu
mettes chimiques laissées b sa portée. Ils les eoreot
bientôt enflammées et le fen se communiqua b la
paillasse de leur couèhette. La fumée leur faisant
éprouver uoe vive douleur, ils se mirent b pousser
des cris déchirants. Qiielqoes voisios les entendirent
et, pressentant on malheur, enfoncèrent la porte
dè la chambre; ils se précipitèrent Vers les mal-
heureux enfants, mais déjb l'un d'eux était expi-
et il mourbîr eù' entrants l'hospice où l'ob
de le transporter; quant h J'aîué, sa
l.-LU t>~.
•b."
raot
s'empressa
de le sauver.
On alla immédiatement 'prévenir léi infortunés
parents des victimes nous ne saurions dépeindre
la poignante douleur qui s'empara do père quant)
on lui appui celte funeste nouvelle. Il u'eut pas la
force d'arriver jusqu'à sh démette, il tomba sur le
pavé au milifeu de quelques personnes témoins de
cette scène déchiiante qui le sàisifënt et le tians-
portèrffnt cHe? lui. f.e côrnniencement d'incendie
fut itaàié'diRléftieni comprimé.
Eu racor.rartt hn hfèenrîie qui,' lotrdl dernier;*
a éclaté dans la commune de Fiac. Iç Journal de
r e itiUttu 'j.|. -< iiV.," ïi ^'^iitijtû.0
Lavaur signale la cupidité d un paysan.qnt saova
r -li-ïi
ses vacbes d^e ps^leret^ a sa f^mye, et qui, sans
s'"0flflfY'fr q fp^^leJ'jinfortly^ep^fle craignait jras
de se brûler les doigts pour déterrer qtvejques looi^-
sous la cendr^,
pour
I 00.1 éiio? o.l
Le 6 mars, Georges Tourot, âgé de 08 ans,
journalier, demeorant b Audincourt (Qoubs), était
chargé de la surveillance d'un patouiliet apparte
nant aux forges. Vers les éinq heures du soir, une
pierre se mit entre la base de l'arbre moteur et le
bassin, l.a machine s'arrêta aussitôt Le sieur Ton-
rot, sans prendre la précaution d'ôtet l'eau b la
roue du patouiliet, se mit eu devoir dè faire partir
la pierre, ce b quoi il parvint. Mats aussitôt, la
machine s'étaDt mise eD mouvement, il fut entraîné
par la barre qui remue le minerai, est serré si
fortement coutre la paroi du bassin qu'il fut
étouffe en un instant.
On lit dans l'Abeille jurassienne du 8
Mardi dernier, M. Phellebou, instituteur b Va
lette, après avoir terminé la classe du soir, se
promeuait dans la campagne, sur les bords de
la Cuisance. Arrivé l'Ile Huguenin, il est soudain
assailli par un chien de forte taille. Il repousse du
pied cet animal qui, dans la fureur, se précipite de
nouveau sur lui. D'un saut, \1. Phellebou peut se
jeter b la rivière, peu profonde en cet eudioit, et se
préserver de tout danger; mais il a pensé b ces
nombreux ouvriers disséminés dans les champs,
qui, tout b leur besogne, seraient attaqués b ('im
proviste par ser^tedou table ad ver sa ne, et déjà son
parti était pris. Il attend le cbiea de pied fer tue, le
saisit par le cou, l'étremt entre les jambes et lut
plonge, b plusieurs reprises, dans le cou et dans la
poitrine, la laroe dp Sun couteau de poche.
Enfin ou accourt b ses cris de détresse, et l'on
achève, b coups de bâton, Ip chien qu'il a terrassé.
M. Phelleborr, heureux d'avoir prévenu de grands
malheurs, se soustrait aussitôt aux féiicilatious des
persouues accourues au broil de la lotte, et vient
solliciter b Ajbois celte douloureuse cautérisatiou
au fer rouge (fue M; le docteur Rouget, s'empresse
de pratiquer, i-
Si nos renseignements sont exacts, ce chien,
véritablement bydrophobe, aurait mordu différents
:i la uiruaux tant la Grange-Fontaine qu'aux Arsu- I
res. En tout cas, les mesures d'hygiène nécessitées
par les circonstances ont été prises immédiatement
'Si T wl
P*"W
par M. le commissaire de police.
ihik
Itiq uc
SOU ÉGLISE ET SOS AlIBAIEj
mot
m
vu»
ut
Ccopolît paît J^olUbfkc.
Tel cal le litre d'un ouvrage dont la première livrai
son vient de paraître ehei M. Ed. Uallllard, typ.
liruges. liana le l'roapectus l'auteur s'exprime
comme suit
01 S
Im publication des rnqitopraphies de nos édifices offre un in
térêt incontestablcjjour la formation d'une histoire complète de
w< J^î Jva cmssc sVMICIIC IU»I^IC-IC Ut
l art nationa XeS. matériaux manquent encore pour un tel ou-
t raye. Si toub èeuX qui s occupent d'archéologie voulaient éditer
position est des plus jjraies et l'on a peu d'espoir tf'"
j 0 -\ apptecipt^ns diçiee^pAir leurs connaissances et leurs recherches,
le goût des. éludés artistiques n'en deviendrait que plus vivace et
la populanèhiioti de lhistoire monumentale êh s&fait certes la
cqtvrqtençe*
MifbM riftll Mil
En. Belgique surtoutsi riche en souvenirs du passé qui se
To-avi/esteut par Péloquence de ses monuments la nécessité ée
traitas archéologiques élémentaires se fait vivement sentir;
quand cette lacune sera combléealors seulement Part monu
mental, par sa vulgarisation chez 'îeè massespourra s élever
i a hauteur qu il a alitante dans les pays voisins nous voulons
parler prinçipalehienl de P Allemagne et de la Franco, t»ù les
livres de Hotte et de Caumont ont puissamment contribué, pu
déve.oypemeut des étu ies et des goûts artistiques Ce n est que
lorsque chaque édifice de quelque importance aura sa inouo-
grtrphk, qu'on arrivera au mente résultat dans ttvtre patrie',
dont les plus modestes villages possèdent des trésors Urohéalo'
giquAst ^,P#ffy*qutfCotfqffïj( J
Considérations nous ont engagé a présenter au public un
outrage, sàùs te titre'dè llSSEHEGflSOlV ÈèL/^E 'Èr
BOt\ ABBAYEv i 0^
ftotre publiÇatjon iSfrç subdivisée en trois dont le pre-
mier. ^oqisaçrè Pancienne Abbaye qistfrçienne de^jfer Duest,
r$twiera des i lassitudes de cet opulent monastère depuis sa
fondation jusqu'aux premières année* du x\x siècle; Phîst ire de
ses hbb'ës eV Lue ninn&ièMeurèkles hommes remarquable qui y
ont habité t la dè$cripti8i\ dçs bâtiments qui'.ont survécu mux
révolutions et aux dévastations.
Dans Is second nous occuperons de larcdtJcIure'.jè
rÉglisi parfissuh*, un ctis'iifngments %s p (us ihtinessdnts
<juk nord «X lefui le rtknïnd-ujiidl. I ilf'linj
i Quant m troisième et dernier litreil cuetiandra tout, ce que
nous avons pu recueillir sur j onpine du village de Lisseweghe
sur sa situation pendant là périodi féoddle, et sur tmduxÀe
dropiire, qut àhà ite feWxVUièèfe» faisait un dei'endroits
les tyhipjlo Assauts du pays,
L ouvrage sera illustré de plusieurs gravures et de nombreux
dessins intercalés dans le texte.
II vient de paraître b la librairie ancienne de
G.-A. N an Trigt, 3o, rue S'-Jean,h Bruxelles.
LA SOBLESRE DE FLASDRE
DU X" AU xvw' SIÈCLfCt|
d'après des documents aulbemiqviés.
Par le Comte Ern. d"liane de Steenliuyse et
•Tc.rl isb r Huytteria.- .-.'mnOV
Beau volume io-8° fr. 5.
S'adresser b l'Éditeur.'1 tif
C11EZ LA^1B1\-LAMBI\,
SUCCESSEUR DE
~~rn¥^fr-T"j"ni
BELLE COLLECTION
i 4$ DE
ET DE
<;rilekoreer«l «loor Wt, tl. «le konlng
«1er Kelsoii,
UEEL- EN OOGMEESTER DEIIBLRGERLYRE GODSnUIZEN
\Y DEK STAO KORTRYK,
K'i
y.i iq i ;;!i!
BT 8TBR FGeV A t'.' "'«TT»
tiiJiftiv n3
YERKOOPIIVG 1
UiZ
A t'ttiV -Mi'.ii.v
VAN
U
oViq 00£
r;v
SCIIOONE BLKALFDE KOLY, ENZ.,
T'YPER, BUITEN, SINT Jacobs.
Op MAENDAG 23" M A EUT 1863, 'smid-
dags, zal den NolarisL/1 MEUS openbaerlyk
Verkoopen, ten huis en hovenierhof alwaer
sieur Bernaedus Vercamer onlangs over-
leden is t'V'per buileu, (Paddegal) het
volgende te weten llMdyOU i