MAISON DE MAITRE, M E U BE L E N BELLE 1 SUSSE. AUTRICHE. AMÉRIQUE. VttEE B'ïgaES, A VENDUE. Une grande el très belle MAISON DE MAITRE, solidement construite el en par fait état d'entretien el de décors, avec Jardin, Cour, Ecurie pour deux chevaux, Hemise el autres dépendances, située en la ville d'Vpresl'ouest de la rue de Lille, y ôtée N° 44 el ayant une Porte cochère dans la ruelle de L'A, B, C. Présentement habitée par M' Aeben. L'acquéreur entrera en jouissance dès le jour du paiement de son prix d'achat; Les amateurs pourront visiter la Maison tous les jours, sauf les dimanches, de 2 5 heures de relevée. Celte Vente aura lieu en la ville d'Ypres l'estaminet le Sultan, Grand'Place, en une seule séance, lixée au LUNDI 27 JUILLET 1863, 2 heures de relevée, d'après les conditions déposées en l'élude du Notaire Y près. DOOlî U1TS CHE1D1 y G FAN BEDRYF. VLKkOOPltVG Beestialen en Vruchten, TE KEMMEL. DONDEKDAG 23" JULY 1863, om 8 uren 's tnorgens, zal er openhaerlyk Ver- kochl worden tpr hofstede gebruikl door sieur André Dulhoil le Kemtneleen kwaitieruers oosl der plaels; de navol- gende Goederen, te welen Jleubelen en Landbouwalaem Sloelen, Tafels, Kassen, Kolïers, Yzer, Koper Tin Blek-, Gleisch Steen- en Aerdewerk. Kuip en Keernalaern, 2 Wagens. 2 Karren, Ploegs, Eggen, Bolle, SloodwagensSpaden Houwen, Bakels Vorken Griepen Mesibaken Schuer en ander Alaetn. Beestialen. Zes schoone Melkkoeïen, twee Jaerlin- gen, drie Kalvers, vier Zwyns en Pluim* gedierte. Vruchten 4 hectaren 00 aren Koorn, 2 00 Boonen, 50 Erten, 44 Hogge, 90 Ha ver, 37 Cameline en ander Vruchten. 'T Hooi van 88 aren Meersrh en généra* iyk ailes wal er ter voorzeide bufstede zich hevind. Deze Verkooping zal gehouden worden met lyd van hetaling door het amht van deo Noiaris VAM EhCKE, le Nieuwkerke. j 000 ff. SuppoMOl qu'on s'éiaii trompé la Banque et qu'on lui a«aii donné en moins ce foa'C'"1, il letouina I» caisse le réclamer mais lb, (U .énOaiil, on put s'assurer q .'nu lui a ail remis daciemetil la somme demandée. E» ce irroment même, le sieur Eugène Geor ge domicilié rue des Krodenrs, l4, se présenta b |a caisse, et annonça qu'il venait de trouver, rue Croix des Peti's Champs, b l'angle de la rue de la Vfill'ère, un rouleau d'or de 1.000 fi.J il ajouta qne, supposant qu'il avaii pu éire perdu, en joriant de la Haiique, par une personne qui pour rai! l'y venir iéi Ciue-, il a-ail cru devoir venir jdiiiiédiaiemenl dé| o-er les i ooo fr. entre les UdiriS itu caissier. C'était le rouleau qui avaii ëic perdu par le gaiçun de lecrtie, er q-ii lui fut remis Pir le champ, l e sieui E-igèiiC (vriiigel se relira ensuite, satisfait rl'êie a-tivé b teiups pour npe'ier le dé) et <)issiper l'inquiétude et le chagriu du ga-ç-ni «le receiie. Une -les maisons du boulevard Malesheihes, i Pans, verrait île rrce-oli sa dennè-e piene, Cl, comme il est d'usage, le consnocieur et le pro priéiai e, s'y en-lu enI pom arroser le bouquet 01 lié -le rubans qui se 1-aUnçail capiicieusetueul sur la plus élevee des i heiiiliiét-S. I.e piopiiéiaiie, que la vue de celle belle con- lliticiion a-an mis île f«»:t bonne hi-.rueiir, cuipli- in-ni d'abord le» couvreurs, puis leur dil Vies clieis enfants, pour vous -éiuoigner nia talisfaelioii, je vous paie mi bon iti c au laba-èl que vous choisirez. Pa-lez donc, et je suis b votre disposition puni la somme qui vous est nécessaire, u Les ouvriers se regardèrent avec embarras; puis, spiès s'è'ie concertés un moment i voix basse, I un d'eux répondit a Vous ères bien honnête, mon sieur, et nous sommes bien reconnaissants de voire nff' e niais vnus savez qu'un de lins cainara-les a élé blessé dangereusement par suite d'un accident sirivé pendant qu'il faisait avec nous voire con- st'union; or,il a une femme et cinq petits enfants qui s-iiit sans ressource, tandis qu'il est II l'liô|-iial; lions vous demandons dune de vnutuii bien donner b ce pauvre monde l'aigetit que vous destiniez notre dîner, a I.e pinpiiélaire est riche, il esl bon. aussi fut il piufiiiiiléuient louché, a C'est bien, mes enlaots, s'éc.iia t il, c'est r-es bien aussi vous ameZ volie dîner, mm bleu er e'esl mol q >i 'e comiliandeiai pour qu'il soit le meilleur. Vlais In femme ei les enfants de vniie cameiade n'eu seiout pas oiuins secourus pour cela, je vous en donne m» paoie d'honneur a En t(T t, pendant que les bra>es ouviirrs man geaient gaiement, car rien ne rend le ice-n joyeux Comme une bonne a< don, ceux quitteraient voulu si gé-.é pusemeiti secourir ëiaieni tirés île leur misère par le propriémiie. qui a hier- certainement (an a, ■•si descenJie la béuédicliou de Dieu sur sa Ulriisoll. I-'Uiiort de la Sarthe rapporte qu'un jeune bomuie de Crissé, ayant invuluutaii eurent occa- JUinné la chute d'un vieillard qui esl mort des S-iiies, en a éprouvé laut de ebag-tu qu'il s'est pendu, On écrit de B-rne, le 3 juillet Le comte de Flambe, accompagné seulement de deux aides de V es t»p. dont l'un est M le major Hu-nell.esi arrivé b B-rne aujourd'hui. S A. R.. qui est descendue b l'hôtel Xii Berner llojcoutigu au palais fé létal e' j-iuissaill de la vue la pin, ravissante sur la chaîne des Alpes de l'Ol-erland, par-ti avoir l'in 1er»iort de passer quelques jours b Beine. E"e se rendra si-suiie a liiierl-ken, d'..ù on coi' qu'elle ira b T-"Ste voir sa vce-ir, l'a-elii lo- hesse Charlotte, a ESI'AGN E. Uog lénébruse affilie vient de se passer b Mxdnd. Uq uulltoQuaire igéctsiuseofzui», nommé a Pedro Gabello, vivait presque seul dans la rue de Pa v la. Un complu) fut ourdi par divers nierubies de sa famille auxquels s'éiaieui affi lées plusieurs peisunnes. A la suite de conciliabules tenus eu plein air sur la pioiuenade du Piado, il fut convenu enlie 1rs complices qu'un pn-fiieiaii d'un inomeut favorable pour éiouidir le vieillaïc eu le fr.ppaul b la nuque sur la rue. La blessure auraii été attribuée a un accident, on aurait porié le vieillaid chez lui, où ou aurait pn.fi'é rie sa faiblesse poui lui fane signer un lesiau-en: coi-lunne aux inié-êis 'les conjurés. Ou l'aman ensuite aihevé b i'aide d'un anesihésique. Afin d'évi'er luui soupçon, les complices cbenbè ieui ii gagner b pi ix d'or un cffi-.ier de paix qui, dans celte himib-e comédie, auiait été chargé de r.onstaier l'accident de la tue. Un agent de police lui son-lé a cel effet, il fil seinb am d'entier dans le complot, assista b divers cociiiabules, et promit son concouis pour le jour et l'heure fixés. Peu liait i ce lemps, flp.ier de paix avaii donné avis de ce qui se préparait au g-tuverneuieni de Ma-I ni. A l'heure désignée, une juge d'insn ucilou el d- s agents eiaieul Cachés non loin du lieu choisi pour l'exer u ion. Q -elqnes uns des complices qui S e i m le u i rendus sur les lieux, s'apeiçuienl qu'ils étaient surveillés el p'Iieul la folie. On eu aiièia un ceriaiu nombre et l'on n'eut pas de peine b l'assuier que les iévélali..ns de l'officiel de paix étalent coiupléieiuenl txacies. Parmi les personnes anêiées figuiem un iiiédecin, un notaire el d'autres individus assez connus b Madnd. L'iusliucliuu de l'..ffaire se comiiiiie. PUISSE. On écrit de Bi*iliu au Journal (allemand) d* Franijort t. Ou sait que le utnn de Mayer est liés commun parmi les isiaéliies; en P.usse, il y a des milliers de coieligiotmanes qui s'appr-lleut ainsi. A la dernière fiecilnu, qui a eu lieu le B juin, des membres 'lu couiné Israélite, un bulletin poilaii pour les viugi deux places vacantes rien que des noms de Mayer, qui ne poovaieut être disiing-és cuire eux que par les prénoms. ALLEMAGNE. Il rxisle en Allemagne 1,784 sociétés de gym nastique. Cela lait une pai io milles cariés et 38,xb8 âmes de population. Elle comptent euire elles louies g6 772 memlnes actifs, 38.235 iiiem- lues p.ssifs, 71.463 élèves masculins et 3,172 élèves féminins. Les plus grandes sociétés sont celles de Leipzig, Vienne, Hambourg et Nurem berg. 42 des gymnasies sont artisans, 23 négociants ou lih'aiies, 6 agriculteurs, 5 *j, foiicliorilraires, u savants, 2 112 artistes. Cent bâ'iiuents oui élé la proie des flammes, le 29 juin, b Puiib, aux environs de Nuremberg. VlENNR, 3 juillet L'archiduc M-ximilien d'Es'e, décédé ces juins ci, a légué toute sa for lune, qui est considérable, b la comtesse de Ch amboid. L'héritage, déduction faite de plusieurs legs, se monte b 75 millions de francs. On lit dans le Commerce, journal de New Yotkî a D'ap les nouvelles arrivées ici de toutes pans, nous n aurons pas eu depuis bien des années une lécolie aussi ationdante que celle de i863, surtout en fr ornent. C'est de la Californie, qui tient aujourd'hui nue des premières places parmi les E als ag-ico es 'le l'U">ou, et dont l'exportation a augmenté cnniiuuelh-ment. que nous viennent les nouvelles les plus favorables. Dans mute la partie occidentale des E ais Unis, la lécolte s'aoQonce sous les plus heureux auspices. située en la r-Tf"ir- RUE DE LILLE. LA»DKOLWA LA EM,

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Le Propagateur (1818-1871) | 1863 | | pagina 3