ETAT-CIVIL D'YPRtS, ANNONCES. M E U B E L E N, COMMERCE. VERKOOPING AERD'APPELEN, TE ^©(NllKlEiEKI, De koopen van 5 francs en min komp. tant geld; voor de andere kôopen gewone- lyken tyd van belalingrails bekende medekoopers of borge te verleenen. De Verkooping zal just op de gestelde uer beginnen. Elk zegge het voorts. reprodoisant cette communication, les noovelles je Mexico prouvent que l'occupatioo de la capitale est loto d'avoir mis le pays entier h la disposition da maréchal Forey. On écrit de Venise au Moniture de Bolo- gna Detnaio, les soldats de l'ex duc de Modène doi>eot se prononcer et opter entre être licenciés oo être incorporés dans l'armée autrichienne. Le 5 septembre, ils seront déliés du serment de fidé lité, et commenceront les opérations de congés pour ceux qui préféreront se rapatrier et d'eorôle- œent pour l'armée autrichienne. Les nhevanx du train sont déjà vendus et l'armée dissoute. Le drapeau sera eo»oyé Mantoue. TERQU1E. Parmi lesobjets précieux que renfermait le palais de Top Kapou, dont nous a»ous annoncé l'incen die, se doutaient des portraits dus aux pinceaux d'artistes renommés, et plusieurs tableaux que les républiques italiennes, au seizième siècle, avaient donnés eu présent aux sultans ottomans. Ces œuvres d'art étaient reléguées dans une salle et oubliées! C'est Nousrei Pacha qui lésa sauvées de l'incendie. Les pertes causées par l'incendie de ce palais sout évaluées plus de cent millions de piastres. Le plafond d'uue des salles était tout émail sur or, orné de miuiatures. Il avait coûté dix millions de pisstres. AMÉRIQUE. VAlla Calijornia, journal de Sau Francisco, rapporte uu trait de courage et de sang froid re- maïquable, accompli par uue feuruie, dans les circonstances suivantes Celle dame, dont le nom est M"" FanDy Gertish, était venue San Francisco pour visiter sa famille. Après uu séjour de quelques semâmes dans cette ville, elle se mit eu route pour retourner Deuvet City, où habite sou mari. Elle avait pris place daos la diligence transcuutiueutale. La voilure ue contenait, outre Mme Gerrish et sou petit enfant, qu'un voyageur et le cocher, placés tous deux sur la banquette de devant. La première partie du voyage s'accomplit sans encombre; mais arrivée euvirou huit milles au delà de Catsou Station, la diligence fut attaquée par les Indiens, qui fiieut feu sur les deux bornâtes. Le voyageur tomba terre, mais le cocher roula sur le plancher de la voiture, mouraut, mais lèoaul encore daus ses mains les rênes et le fouet. i> Les chevaux partirent au grand galop, tandis que les luJteus couliuuaieut tirer sur la voiture; les balles, fort heureusement, n'atteignirent pas Mm* Gerrish. Sans perdre uu seul instant sou sang-fruid, elle cacha soueufautsousune banquette en l'eutouraut de coussins pour le protéger contre les balles, ensuite elle sortit du compartiment où eile était enfermée et gagna le devant de la dili gence. Au milieu des balles qui sifflaient ses oreilles, elle parviut se reudre maîtresse des chevaux et diriger leur course. Pendant plus d'un mille elle les fii ainsi galoper ventre terre; mais •oui coup la diligence s'arrêta l'un des chevaux tenait de tomber mort; il avait éié frappé d'uue balle dès le commencement de l'attaque, et la perte do sang avait causé sa mort. La situation de Mm° Gerrish était plus critique ■Joe jamais; cepeodant elle ne perdit pas courage. Elle descendit de la voiture et se mil couper les harnais de l'un des chevaux survivants, dans le hol de le mouler et de se sauver ainsi en emportant 'oo enfant. Au momeot où elle allait mettre son projet ^écutioo, la diligeuce transcontinentale de l'Est hl son apparition sur la roule et arriva rapidement "ptès de la malheureuse femme. Cette seconde i voiture était pleine de voyageurs, qui se bâtèrent de descendre pour faire face aux Iodiens. Ceux ci, fidèles leur tactique habituelle, battirent piécipi- tamment en retraite, et on ue les revit plus. Mrae Gerrish fut ramenée Sao Francisco; puis, après s'être remise de ses fatigues et de sesémotioos, elle est repartie par la même route et est arrivée sans encombre cbez son mari, Oenver-City. Une ménagerie était arrivée daos un village du comté de Mouroë ^New-York;, et parmi les animaux on remarquait un superbe ours noir. Il était enchaîné, mais on le croyait très-doux. Samedi i5 août, Mrs Sutteru, qui appartient la ménagerie, s'approcha de l'auimal pour lui doooer sa pitance. Taudis qu'elle était courbée vers la terre, l'ours bondit sur elle la tua d'uo coup de patte sur la tète et se mit dévorer le cadavre. Lorsqu'on arriva enfiu au secours de la malheu reuse leuiue, le corps était déjà eu lambeaux. Il fallut tuer l'ours d'uu coup de carabine pour pouvoir s'emparer de ce qui restait du cadavre. L)L 29 AOIT AL 4 SEPTEMBRE INLLLS. Naissances 12. Sexe tuasc. 5, idem lém. 7. Uu moil-ué du sexe masculiu. Uu idem du sexe féminin. Mariages. Ducorney, Isidore, employé de l'admiuisiratioo communale, ei Julyt, Marte, sans profession. Huuiinaii, Charles, employé du chemiu de fer, et Decleicq, Eugéuie, sans profes sion. Liefoogbe, Charles, journalier, et Depoor- ter, Léonie, sans profession. Décès. Denis, François, 63 aos, fabricant, époux de Delphine Debisscbop, rue de Lille. Jacquiuot, Monique, 67 ans, dentellière, céli bataire, rue de Menin. Dael, Amélie, 63 aos, dentellière célibataire, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans iu. - Sexe mas. 9, sexe fétu. 3. MARCHÉ D'YPRES. ÉTAT Indiquant les quantités et le prix moyen des Grains, Fourrage* et autres produits agri coles, vendus le 3 NÉPTEIlBKi; 1*83, au mar ché de cette ville i NATURE QUANTITÉS PRIX E W t Des VENDUES. w 1res C 0 K Z par 100 <r> J» <3 U Grain* et Ucnrées. Kilogrammes, kilogrammes. a. *c j Froment 45,5oo 25-75 78 i Seigle 11,4oo i'6 00 73 60 Avoine 4,3oo 16 00 46 Pois 700 19 5o 80 1 Féveroles 600 21 -00 80 Pommes de terre. 7,4oo O O Pailie 1 Beurre (11 sic 23o-00 Pain de farine de froment brute 23 c' le kilo. Idem pour les Fondations de 3o c', i,3oo grammes. POPEUINOHE, 4 SEPTEMBRE. Froment, prix moyeu par hectolitre fr. Seigle id. id. Avoine id. id. Fèves id. id. Pois id. id. u Pommes de terre par 100 kilogr. Beurre par kilogr Houblon les 5o kilogrammes. COUKTKAI, 3i AOUT. Froment, prix moyen par heot. fr. Froment iu,.ge. SeigU. Avoine. Pommes de terre par 100 kilo. (l863) Fèves. Beurre par i|3 kilogra. Huile de colza, par ro3 kilo. fl. Huile de lin. 19-/5. 12-75. 7- 5o. 4-5o. a-3o. 110-00. 19 85. 19-00. 1 t-"i<). 7-83. 4-v5. 00-00. •-i5. 58-O5. ROCLERS, 1' SEPTEMBRE. Froment, prix moyen part i|4 hect.' "fr. 3o Froment rouge. 48-00. Seigle. 16-73. Avoine. 1 o-5o. Huile de colaa, piy 10Î kilo fl. 5l-,I0. Huile <le lin. 58-to.- FURNKS, SEPTEMBRE. Froment, par sac de Froujc-ul de la reçoive du* 1862, Seigle. Escourgeon. Avoine. Fèves. fr. 00-00. 28-00. 18-5. 19 63. 13-1,7. 33-5O. Celte combinaison nouvelle, basée snr des principes non connus des mé decins anciens, remplit avec un bon heur remarquable toutes les conditions du problème de la médication purga tive. a l'opposé des autres purgatifs, celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est pris avec de très bons aliments et des boissons fortilîanles. Il ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent l'eau <le Sedlitz et d'autres purga tifs. La dose est facile régler selon l'Age ou la force des in dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé bilites le supportent sans difficulté.'Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation étant complètement annulée par l'effet de )a bonne alimention pres crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen, ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous pré texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La Ion*/ gueurdu traitement n'est plus uu obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, (ju'on se purge vingi fois de suite, on n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer'avant la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s agit de maladies sérieuses, telles oue tumeurs,engorgement*, affections cutanees, catarrhes et bien d'autres maux réputés in curables, mais qui cèdent une purgation régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication .purgative du docteur Dehauf, volume de 264 pages, donne gratuitement. Fans, pharmacie du Déliant, et dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. Déposé la Pharmacie de I KVNOr-VAA OKTRIVE, rue de Dixntude, 35, Yprès. Door uilacheiding van bedryf en verandering van woqnst. YAK KEIP EN RFERUE IIALLA.EJÏ, LANDBOUWERS WERKTUYG, EN VAN D1GTE BY DE PLAETSE VAN s'-JULIAENS. Donderdag 24" September 1863, 's raid- dags ten 12ureo just, ter hofsledebewoond by Joannes Cailleau, te Zounçbeke, digle hy S' Juliaens, zal'er, door het arapt van den deurvvaerder ALl'UUMSE SAW.Y, Vendi- tie gehouden worden van 44 aren Aer- d'appelen, Tafels, Sioelen, Dresse, Kasse, KofTers, tvvee Trogs, Kuipen, Koper,- tin- en Yzerwerk, Wind Alolen, groolen Van, 2 ordinaire Vans, Graenzil'lens, Pekken, Zeyssens, Spaen, Hauwen, Baekels, Gree- peu, Diietanden, Vorken, Hauwmessen, Brandhout, goeden Keerne, room Kuipen, Melkkuipen en Seulen, Bolterinynne, en meer anJere voorwerpen. Voors van 6 zeer goede jonge Meikkoeyen, 3 Veersen en 2 Kalvers.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1863 | | pagina 3