DÉPÊCHE TÉLÉGRAPHIQUE. Marseille, i" octobre.Des nouvelles de HOLLANDE. FRANCE. SUISSE. POLOGNE. timbre se trouve dans des conditions qoi doivent satisfaire l'exigence du collectionneur, sans l'avoir exposé b être atteiot de maladies transmises par le reotact d'uoe bouche malade. HËCL.tnK M" S. Le nouveau sang et bon muscle produits par la Revalenta Arabica Du Barry de Londres, sont dus b l'énergie rendue par ce délicieux aliment aux systèmes fatigués, maladifs ou épuisés. GuèrUon n% 56,935. Brrr (Bas Rbio), 4 Juin, 186». Monsieur, la Revalenta a agi sur moi merveilleusement; mes forces revieuoeot et une oouvelle vie m'anime comme celle de la jeunesse. Mon appétit, qui pendant plusieurs années, a été oui, est revenu admirablement et la pression et le serremeot de ma tête, qui, depuis quarante ans, s'étaient fixés l'état chronique, ne tne tourmen tent plus.DAVID RUFF, Propriétaire. Eu effet, plus de 60,000 guérisoos par cet ex cellent aliment prouvent que les misères, dangers et désappointements que, jusqu'ici, les malades ont éprouvés dans les drogoes nauséabondes, se trou vent h préseot remplacés par la certitude d'une radicale et prompte guérisoo moyennant la déli cieuse farine de santé Rtvalenta Arabica Du Barry de Londres, qui reud la parfaite santé des organes de digestions, des nerfs, poumons, foie et membraoe muqueuse, aux plus épuisés mèiue, dans les mauvaises digestions (dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipa lions habiiuelles,béworihoïdes, glaires, vents, palpitations, diarrhée, gonflement, étourdissemeut,bourdonnemeo taux oreilles, acidité, pituite,migraine, nausées et vomissement; douleurs, aigreurs, crampes et spasmes d'estomac; insomnies, toux, surdité, oppression, asthme, bronchite, phthisie (consomption), dartres, éruptions, mélan colie, dépérissement, rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhe, hystérie, névralgie, vice du sang, hydro- pisie, manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. MAISON DU BARRY, 12, Rue de l'Empe reur, Bruxelles. En boîtes de t|2 kil., 4 fr.; t kil., 7 fr.; 2 t|2 lui., 16 fr.; 6 lui., 62 fr 12 kil., 60 fr. Contre bon de posie Se vend Ypres, chez MM. Frysou, p/iarm., Becuwe, pharm., G. Veys, pharm., Mahieu et les premiers Pharmaciens, Epiciers et Confiseurs daus toutes les villes. 7 Grèce, du 25, disent que la liste civile demandée aux dépotés est de 85o mille drachmes. Le Roi se cootentera d'uoe maison particulière jusqu'il ce que loi) prise une décisiou irrégulière relativement la propriété du palais de i'ex-roi Oibon. Pendant la dernière huitaine, huit pinques h harengs sont arrivées Schéveningue, apportant ensemble 490,000 harengs. Le plus haut prix était de fl. 3g, le plus bas était de fl. 25 le mille. On lit daos la Patrie Il n'y a plus de doutes h conserver sur l'accep tation de l'archiduc Maximilien. Ou croyait même b Vienne, b la date de nos dernières correspondances, non seulement qu'il n'y n'y avait pas d'objections sérieuses b prévoir de la part de Son Altesse Impériale, mais même qu'il était possible que le prince n'attendît pas, pour se rendre au Mexique, l'entier accomplissement de telle des conditions, en très-petit nombre d'ailleors, qui ont déjb fait l'objet de pourparlers confidentiels, soit entre les cabinets, soit entre l'archiduc et les représentants de la junte Mexico. Voici les dernières nouvelles que nous apportent les journaux dn Beaujolais, do Méconnais et de la Bourgogne sur les vendanges; elles peuvent se résumer ainsi la quantité sera inférieure b celle de l'annee dernière, mais, en revanche, la qualité du vin sera égale b cet le des meilleures années. Les ambassadeurs annamites continuent, en attendant l'arrivée de l'Empereur b Compiègne, où ils doivent être admis en présence de Sa Majesté, de visiter, sous la conduite des officiers de marine chargés de leur en faire les honneurs, les monu ments et les établissements les plus remarquables de la capitale. Ou lésa successivement menés dans divers ateliers, b l'usine b gaz et daos plusieurs théâtres de féeries. Mais, contrairement b ce qu'on eût pensé, ce sont les théâtres qui causent le moins d'admiratioo aux chefs de l'ambassade. Les grands décors, les trucs les plus surprenants ne leur arra chent pas un mouvement de surptise. Il faut dire toutefois que, taudis que les trois hauts diguitaires de l'empire d'Annan» se montrent froids et impassibles, jugeant sans doute au dessous d'eux de s'amuser de choses si futiles, leur suite ne manifeste pas le même dédain. Chaque soir, les officiels et les serviteurs rentrent franchement et naïvement émerveillés, ne trouvant pas de termes pour peindre le charme que leur cause l'habileté de nos machinistes et de nos décorateurs. Mais le cootraire a lieu quand il s'agit des établissements industriels, ces prodiges véritables et sérieux de l'art moderue et de notre civilisation. Pbau-taug-Giaug et ses deux compagnons écouteut avec uu recueillement qui tient du respect, nous dirions volontiers de la vénération, les explications que leur douueut les habiles interprètes français. Ils suivent chaque démonstration, et la fout quel quefois répéter ils posent des questions très-justes. Leur curiosité intelligente n'a plus de bornes quaud des explications ou passe b la pratique, b la mise en œuvre. Ils témoigoeut uri désir ardent de s'tusiruire,de s'initier, s'il est possible, bces grandes applications de la science, si nouvelles pour eux, et qui ouvreot b leur esprit des horizons si vastes. Ils preuuetit des notes minutieuses sur tout, séance tenante, et, rentrés dans leur hôtel, ils se fout expliquer de nouveau tout ce qu'ils oui auuolé, de manière b ue pas l'oublier. Par malheur, leur iguoiance absolue des notions les plus élémeuiaiies de la chimie et de la physique reud ces explications très difficiles, malgré la connaissance parfaite de leur langue acquise par leurs guides pendant un long séjour en Cochiuchiue. Comme il n'y a pas dans cette laugue de termes pour expliquer des choses si spéciales, il faut recourir b des cucoulo- cutious, b des comparaisons, a des périphrases. Mais, loin de les rebuter, ces obstacles redoublent leur iutéiêt. Le gaz b éclairage est un des phénomènes qui leur causeut une admnaiiou coustate et sur laquelle ils ne tarissent pas. Ils sout happés de la faculté avec laquelle il permet de donuer eu uu iuslani b nos tues, b nos boulevards et b nos iutérteurs l'éclat du jour, même peudaul les nuits les plus obscures. Ils sout fort préoccupés de savoir si, comme on le leur a assuré, il serait possible de doter la ville de Hué, ou plutôt la parue qui cousiitue le palais de leur empereur, d'uu si grand miracle. Ils voudraient déjb voir des ingéuteuis et des géo logues explorer en Cochiuchiue les basstus qui dotveut couteuir les gîtes houtllers dont la Chtue abonde. Ayant appris que la plupart des souveraius étiaugers, et notammeut ceux du Levant et de la Perse, entretieuueui daus les écoles de Frauce un certain nombre de jeunes geus, choisis parmi les plus disitugués et les plus intelligents, ils se sont informés avec erupressemeut des conditions de cette éducation. Apres s'être ooncertés longuement ensemble, ils oui demaudé si de jeunes Auuamiies seraient admis b la même faveur, et comme la réponse a encore été affirmative, ils oui exprimé l'iuteutiou, dès leur rentrée daus leur pays, d'eu- voyer, sous la proiecttou du gouverneur français de Saigon, une petite coloute d'éleves faire leurs études chez nous, afin de doier l'Auuam des bieo- fatts des découvertes qui les ont si vivement frappés. (Patrie.) Oo écrit de Cannes que M. le duc de Som- merset et M. le duc de Norfolk oui chassé un sanglier daus les belles forêts de Maudelieu. Le duc de Sommerset a tué uu sanglier, non sans courir des daugers sérieux. Sa Graudeur rencontra, vers le soir, un sanglier énorme, sur lequel il fit feu; l'auimal, blessé b l'épaule droite, et devenu furieux, s'élança soudain sur son eunemi, qui lâcha sou second coup sans tuer le sanglier; celui ci s'appro chait de plus en plus; au moment propice, avec un admirable sang-froid et uue grande adresse, le noble lord enfonça dans la gueule béante la baïon nette de son fusil, dont la pointe vin7^o^jP~~~" Its deux oreilles, b l'occiput du terrible fau./"''5 pour cette fois, tomba b ses pieds raide mort Les avis parvenus des truffières les 1 renommées du Périgord constatent que |es seroot moins abondantes que l'année dero Elles apparaissent déjb presque b fleur de t mais elles sont généralement petites et clair semé/ Oo ne peut rien préjuger encore de leur qualité, Ce o'est que daos deux mois qu'on saura b s'eo tenir sur le parfum du précieux cryptogame On écrit d'Argovie que, le 19 septembre,;, serrurier Steger, de Vtlmergen, faisait baptiser Soo vingt - unième enfant. Ce brave hoiutne n'entend pas s'en tenir là, car il a déclaré que, dans un d'ici, il espérait bien faire baptiser le vingt - deo xiètne, afin d'avoir un représeutaDt pour cbaon, canton confédéré. On mande de Varsovie, le 12 septembre,aQ journal russe Nouvelles de Saint Pélersbourg du 1 g septembre La police militaire russe entre aujourd'hui eu fonctions. Le général major Trepoff en a étéuonnu, chef, sous le titre de mioistre de la police. Oust rappelle que dans le temps cet officier a déjà occupe la charge de chef de la poiice de Varsovie, fonc tions qu'il remplissait avec une certaine énergie. Voici un fait qui m'a été communiqué par 00 agent de police Le conseil municipal avait désigné une maison destinée b servir de caserne pour les officiers et les soldats de la police militaire.be chef de la police fuit part de celte décision au pro priétaire de la maison, avec ordre de préparer les logis daos les quarante huit heures. Ou lut annonce le Itndemaiu matin que la maisou est pré t. Voilà ce que c'est que la police militaire! une put s'empêcher de s'écrier le ministre de la police. Parmi les clauses contenues dans le règlement de la oouvelle police, on remarque la suivante: Les officiers servaot dans la police ont le droit d'arrêter tout individu considéré par eux comme suspect partout où ils le rencontreront, et de le conduire au poste. Lb, on s'assurera si le prévenu ne porte pas d'armes sur lui. Celle clause do règlement sera facilement appliquée: plusieurs officiers, assistés chacun de deux soldats, seroot, dans chaque quartier de la ville, continuellement! la poursuite des personnes suspectes. Les officiers servant daos la police garderont l'unifonue de leurs régiments respectifs, et seront considérés comme remplissant momentanément les fonctions d'agents de police. Ils pourront reprendre le ser vice dans leurs régiments, si celui de la police le leur couvieudrait pus. Leur traitemeut a été augmeuté de 365 roubles par an (i,46o fr. envi- rou); ce supplément de solde est destiné b couvrir les frais de voyage qu'ils pourraient eotreprendre pour le service de l'État. Oc écrit de Lublin Malgré le désastre Tajslawice (24 août) et la défaite de Batoo (6 sep tembre), l'insurrection n'a pas faibli un seul instac- duos le palatinat de Lublin. D'un côté les mouve ments des Polonais, d'un autre côté les marebese- contre inarches des Russes, tel est le spectacle q«e présente tout le palatinat. (Crû»-) Il y a une quinzaine de jours, dans la Pe"' église catholique de Pyrmont, ville de la princip»"e de Waldeck, et que baignent les eaux de l'Eiuœf deux jeuues mariés s'agenouillaient au pied de" chapelle de la Vierge. Les témoins qui les >ss" taieui appartenaient tous b l'aristocratie polonais-- le marié, le bras eu éebarpe, portait en outre sa' sa figure une balafre glorieuse reçue dans la gt't,r- eu luttant pour la sainte cause de l'indépendant- La jeune épousée, frêle et timide enfant, couler des larmes abondantes sous son voile fête, et un caractère grave, sérieux, pénible me|Ui| présidait b cette solennité d'ordinaire égayée p'^ les plus douces espérances et les plus charma" réalités. C'est que les deux jeunes époux qui s uniss»1^ pour la vie avaient suivi, la veille, un cercu j c'est que le jeone homme était un Proscr!'I,ic, jeune femme une fille russe; c'est que, de»

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Le Propagateur (1818-1871) | 1863 | | pagina 2