BATIMENT D'ÉCOLE COMMUNALE
VENDITIE
VILLE DE WEBVICQ.
ÉTAT-CIVIL D'YPRES,
if
ANTI-RHUMATISMALE
ADJUDICATION AU RABAIS
3
COMMERCE.
TE OOSTVLETEREÎV.
INSTEL.
TRAVAUX PUBLICS.
m
MARCHÉ D'YPRES.
DINSDAG 6" OCTOBER 1863 en vol-
gende dagenl'elkens te beginnen ora
9 ueren s'raorgenszal den Notaris
ter residenlie van Ooslvle-
leren, aldaer op de plaets, ten huize van
Jan-Benjamin Wulleman Devtooopenbaer-
lyk Verkoopen aile de MEUBELS EN
EFFECTEN, veel Brandhout, de Yrugten
in de scheur, aile de Winkelgoederen en
Winkelallameneenen Hooischelf, de
Aerdappelen te velde by de plaets en veel
andere voorwerpen.
Voorts den WOENSDAG namiddag
eenen Brankaert Chiese, een Peerd van
twee diensten, 4 goede Melkkoeijen en
twee vette Zwyns.
MAENDAG 5e" OCTOBER 1863, ora 3
ueren namiddagin d'herberg van S'
Debyzerop den Kortenkeer, zal den ge-
noeinden Notaris voortgaen
toi den Instel van een schoon groot HUIS
met Cour, Erve en Hof 1er plaetse van
Oostvleteren gebruikt door Jan-Benjamin
Wullemanen van eene goede partie
MAEIGBAS groot 63 aren 37 cenliaren,
gelegen in den Kaesbroek te Oostvleteren.
Elk zegge hel voorts.
(EammiFacBiiïîîa
AVEC HABITATION POUR L'INSTITUTEUR.
Le Collège des Bourgmestre et Êchevins de la ville de Wervicq, arrondissement d'Ypres,
province de la Flandre-Occidentale,
Fait connaître que le JEUDI 8 OCTOBRE 1863. neuf heures du matin, il sera procédé
l'Hôtel de Ville dudil lieu, l'ADJUDICATION PUBLIQUE AU BABAIS. des Travaux
de Consiruclion d'un BATIMENT D'ECOLE COMMUNALE avec HABITATION POUR
L'INSTITUTEUR; ces travaux, comprenant le Mobilier classique et la fourniture des Maté
riaux de construction, sont évalués, d'après devis estimatifs dressés par M. Croquison,
architecte provincial Courtrai, la somme de francs 26,141 99 centimes.
Les plans détails, devis estimatifs et cahier des charges sont déposés l'inspection du
public, au Secrétariat communal.
Fait Wervicq, le 24 Septembre 1863.
J.-B. DELVA.
peot-être, le mari allait quitter sou épouse pour
voler a de oou»eaux combats.
Les éténemeots qui oot précédé ce mariage
méritent d'être relatés.
Le jeune comte de Z... fujait devant les sbires
moscovites; sa tête était mise prix, et ce fut au
milieu de mille dangers qu'il parvint k se réfugier
a Varsovie, sous le toit de l'un de ses plus cruels
ennemis dans la rnaisoo même du géoeral 3... Le
comte Z..., en choisissant ce refuge, n'était point
guidé seulement par une audacieuse adresse; l'amour
l'attirait chez le général B..., dont la fille lui avait
promis depuis longtemps de n'être jamais qu'à lui.
Avant l'insurrection, le comte était l'un des
commensaux ordinaires de l'hôtel du général; un
vieux domestique, son compatriote, lui permit de
passer une Duit dans les combles du château; le
lendemain matin, comme le vieux Polooais venait
apporter quelque nourriture au comte, il s'aperçut
qu'il était parti. Eu même temps, le bruit circulait
dans l'hôtel que la fille du général avait aussi
disparu.
Huit jours après, le général, prévenu, arrivait
anx eaux de Pyrmont, où les deux fugitifs étaient
allés cacher leur amour et leur bonheur. Le général
reprenait sa fille.
Mais, dans la soirée, comme la fiancée du comte
entrait dans le cabinet de sou père pour implorer
soo paidoo, elle le vit immobile, paraissant écrire
devant son bureau; elle se jeta k ses pieds, mais le
général ne bougea point; une plume daus la rnaio
droite; la main gauche appuyée sur ses pistolets, il
semblait sommeiller. Le général était mort d'une
apoplexie foudroyante, au moment où il rêvait de
oouveaux projets de vengeance.
Voila pourquoi les deux jeunes mariés étaient
si tristes.
AMÉRIQUE.
Un officier confédéré, dans un récit détaillé de
ce qui se passait k Port Hudson pendant le siège
de la place, raconte que ce fut le i" juillet (le
dernier quart de ration ayant été distribué aux
troupes le 29 juio) que, k la demande des officiers,
on abattit, pour la manger, nue mole qui avait été
blessée par accideot. Tous ceux qui ont eu part
au festin, dit le narrateur, s'en sont léché les doigts.
La chair de mule est d'une couleur plus brune que
celle de boeuf, d'un grain plus fin, tendre et pleioe
de suc; sa saveur est celle du bœuf avec un arrière-
goût de venaisoo.
Après la première épreuve, il y eut une demande
générale, et le nombre des mules tuées par le
commissariat s'accrut journellement. On a abattu
aussi des chevaux, dont la viande fournissait un
bon aliment, mais pas aussi délicat que celle de
mule. Les rats, qui abondent généralement dans
les camps, étaient extrêmement recherchés. Mais
ils étaient devenus rares, parce que les soldats les
mangeaient avidement, même avant les jours de
disette; dans les derniers temps, c'était un grand
luxe; les connaisseurs prétendeot que leur chair
est plus fine et plus exquise que celle d'un poulet.
DU Î6 SEPTEMBRE Al) S OCTOBRE INCLUS.
Naissances 6. Sexe tuasc. 3, idem fém. 3.
Mariages. Roscamp, Florimood, plafon-
leur, et Casier, Marie, dentellière. Maes,
Lié •io, tisserand, et Mooteyne, Barbe, dentellière.
Lefebvre, Pierre, barbier, et Matthieu, Xavière,
dentellière.
Dècfes. Tyckaert, Charles, 53 ans, soldat au
6* rég' de ligne, rue des Bouchers. Heonion,
^ao, 11 ans, rue de Lille. Dehouck, Sophie,
Sa ans, religieuse, rue de la Boule. Deratbé,
Colette, 67 ans, laveuse, épouse d'Antoine Cortein,
'oe de Meoio.
Enfants au-dbssous de 7 ans 6. - Sexe
1, sexe fém. 5.
COURTKAI, 38 SEPTEMBRE.
Froment, prix moyeu par licct. fr.
Froment ronge.
Seigle.
Avoiue.
Pommes de terre par 100 kilo.
Beurre par kilogra.
Huile de colza, par io3 kilo. fl.
Huile de lin
FDRNES, 3o SEPTEMBRE.
Froment, par sac de il^S litres, fr.
Seigle.
Escourgeon.
Avuine.
Fèves.
POPERINGHE. a OCTOBRE.
Froment, prix moyeu par hectolitre fr.
Seigle id id.
Avoiue id. id.
Fèves id. id.
Pois id. id.
Pommes de terre par 10a kilogr.
Beurre par kilogr. n
Houblon tes 5o kilogrammes
ËTAT Indiquant les quantités et le prix moyen
des Crains, Fourrages et autres produits atcrl-
roles, vendus le 3 •CTOUHK au marché
de cette ville i
9-33.
iS-ot.
11 .to.
7-58.
4-i5.
1-3$.
5a-i5.
57-10.
36-90.
19-00.
I7*5O.
îaaâ.
i8-5o.
18-95.
12-5o.
7-5O.
13-a5.
14-00.
4~oo.
2-3o.
100 110.
NATURE
quantités
PHIX
E
M l
-t;
VENDUES.
•il 0 1 1:
0 0
DES
par 100
a
Graltift et llenrées.
Kilogramme».
kilogrammes.
0 j> 1
Om
Kiovneot
104,200
24-25
78
Seigle
i4,4oo
16-25
73 60
i,4oo
16 5o
46
1,800
18 00
80
Fé«eroles.
4oo
21 - 00
80
Pommes de terre.
11,000
4-75
Beurre
I
ko
ol
o
o
o
Pain de farine de froment brute 23 c* le kilo.
Idem pour les Fondations de 3o c*, i,36o
grammes.
VÉRITABLE OUATE
Il Dr l't ll.NOV,
A 1 FR. 50 C. LE paquet, A 80 C. LE DEMI-PAQUET.
EN VENTE CHEZ M. BECIWE, pharmacien.
Remède sûr et prompt contre les douleurs rhoma-
tisoiales de toute espèce qu'elles aient leur siège
dans les jambes, les bras, le dos, les mains, daus
le cou, etc.
Depuis de lnugues au m'es, le soussigné souffrait de fortes
douleurs rhumatismales; d'abord partielles puis dans tout le
corps. Apres avoir essayé, mais en vain, toutes sortes de remè
des, je lus un j »ur, daus une feuille publique, l'annonce de la
ouate du Dr Pattison. Sans penser le moins du monde que
cette ouate aurait pour moi de si heuieux résultats, j'en lis
venir un paquet uniquement pour pouvoir dire que j'avais
tenté tous les remèdes possibles. Mais quel fut mou étouue-
meut, eu m'apercevait! qu'au bout d'un jour peine toutes les
parties souffraiitesde mon corps était entièrement débarrassées
des douleurs aiguës qui les affectaient précédemment. XJn
rhumatisme chronique de la poitiine, surtout, a disparu comme
par enchantement, au moyeu de quelques paquets du précieux
remède. Eu conséquence, je recommande avec instauce
ceux qui souffrent de douleurs rhumatismales, la ouate du Dr
Pattison; ils obtiendront sans doute comme moi, de précieux
résultats au moyen de ce remède, qui, ehoseà lemarquer, est
la portée des bourses les moius garnies.
Riudorf, près Neustadt sur la Saale, 8 Mars 1862.
CHR. AVEIGAND, instituteur.
La ouate Pattison m'a guéri de douleurs si violentes dans le
dos, que je ne pouvais ni me tenir debout, ni m'asseoir;
l'adoucissement se fit sentir aussitôt l'emploi du remède et la
douleur disparut comme par enchaulemeut.
Herrliberg, cauloii de Zurich, 27 Décembre 18.62.
JACOB STAUB, conseiller communal.
DE LA CONSTRUCTION D'UN
SI ni
les bourgmestre f,T échevins,
par ordonnance
te Secrétaire,