HUIZEN ENERVE VENDITIE VAN BOOM, HUIS MET STALLING, OVE11SLAG TE LANGHEMARCK. GELEGEN TYPER, IN HET DORP. Den Noiaris CS?.IST2£,31T zal op den 25" Novembei» I8G3, ten 3 uren naraiddag, ten dorpe van Passchendaele, ter te verkoopen herberg, overgaen tôt den OVERSLAG van I' Een HUISMagazyn, Stalling en 7 arcn 60 centiaren Erf en 2" een HUIS van twee verdiepingen, zynde herberg de Espérance, met 5 aren 62 centiaren Erf, op Passchendaele in hetdorp. Ingesleld fr. 6,000. De voorwaerden by dito Notaris. De Notaris B7?0?,T, te Ledeghem, zal Dyssendag 8" December 1863, ten 9 uren voormiddag, openbaerlyk Verkoopen op het verzoek van Juffrouw Maria Cornillie, weduwe van Mynheer Josépuus Debacker, le Moorseele, op haere Hofstede gebruykl door IiarolusLudovicus Syssauw, te Langbemarck, een groot getal schoone en zwaere EYKEN, ABEELEN, OLMEN en POPELIEREN BOOMEN van 2 toi 21/2 rneters omtrek, eenen groolen ESGH en FRUYTBOOMEN. Op gewoône conditien en Iangen tyd van betaeling. REMISEN EN ERVE Een HUIS met Stalling, Remisen en 6 aren, 13 c° Grond en Erve, laelst gebruikt geweest door d'Heer Auguste Vanden Bo- gaerde ten dienste van GENEVERSTOKER Y, staende en gelegen binnen de stad Yper, aen de oostzyde der Kaeystraet, hebbende Koetspoort komende op S'-Maertens Nieu w- vveg, bekend op cadaster sectie F, N0' 139' en 139lbi', palende van zuiden aen het huis van M. Charles Verschaeve, west aen de Kaeystraet, noord aen S'-Maertens Nieuw- weg en oost aen het Scherminkelstraelje. Om er van in genot te komen 3 maenden naer den Overslag. Den INSTEL zal plaets hebben in de estaminet den Salon cCApollon, Lombaerd of Vulderstraet, t'Yper, den Donderdag 26° November 1863, ten 5 uren namiddag. En den OVERSLAG ter estaminet het Zilverhoofd, in de Rysselstraet, ter zelve stad, Donderdag 10° December 1863, 00k ten 5 uren. De voorwaerden en eigendoms titelen Jen kantoor van den Notaris LAMBIN, 't Yper, met deze verkooping belast. Dat men het voort zegge. Co,, ne pat résister l'orage, et succomba comme tant d'antres maisons des mieux établies le firent la même époque. Mais M. James Mac Henry, qui n'avait laissé qoe sa fortune dans le naufrage et sauvé intacts sou honneur et sa réputation d'intégrité, est par venu eo quelques années h se refaire eo Amérique uoe position commerciale supérieure celle qu'il avait perdue en Angleterre. La maison de banque de M. Mozley était le principal créancier dont les intérêts avaient été compromis dans la déconfiture de i85y. Il y a quelques jours, M. Mozley trouva dans sa corres pondance de Londres une lettre renfermant un chèque de 47,000 Iiv.(i,i75,000 fr.)sor!a Banque d'Angleterre, et signé James Mac Henry. Cette somme représentait intégralement, en capital et intérêts, la dette laissée impayée par ce commerçant lorsqu'il avait dû suspendre ses payements. Un bonheur n'arrive jamais seul; M. Mozley, quelques jours après, fut nommé maire de Liver- pool, et il veut, dit-on, consacrer 20,000 liv. (5oo,ooo fr.) h des fondations d'utilité publique. Le Times dans un article sur les affaires d'Amérique, dit que, d'après les appareoces, la guerre n'est pas arrivée plus près d'une solution h la fin de l'année qu'elle ne l'était au commence ment. L'Angleterre, qui devient chaque jour plus indépendante de l'Amérique pour ses besoins ma nufacturiers finira par être, commercialement parlant, tout h fait désintéressée dans le différend qni sépare les deux parties; mais elle n'en conti nuera pas moins de déplorer, dans l'intérêt de l'humanité, des hostilités qui coûtent la vie h tant de milliers d'hommes. Le Times demande si le momeot ne serait pas venu de faire de nouvelles tentatives pour terminer pacifiquement le conflit. C'est dans l'intérêt de l'humanité et de la civi lisation,dit-il, que nous demandons au Nord si les confédérés n'ont pas encore fait assez pour prouver qu'ils sont déterminés h avoir leur indépendance et qu'ils sont assez forts pour la maintenir. Le Times publie, sur les préparatifs mariti mes de la Russie, les détails suivants puisés dans une lettre de S1-Pétersbourg du 4 novembre: Indépendamment de la frégate cuirassée le Sèbci8lopolqui a été dernièrement lancée h Cronstadt, un autre bâtiment de même classe, ap pelé le Petropawlosk, vient d'être achevé. Ces denx frégates sont destinées h recevoir une armure d'un nouveau modèle dont l'épaisseur sera de n4 millimètres au milieu du navire, et s'abaissant gra duellement jusqu'à une épaisseur de 63 millimètres aux extrémités. Ou espère obtenir par ce système une force supérieure tout ce quiaéié fait jusqu'ici. a Les bâtiments vapeur le Constantin et le Nicolas I" vont de plus être convertis eu navires cuirassés et recevoir on double rang de canons d'après le modèle du Pervenelz, qui pesse pour uu navire de guerre cuirassé parfait. On a déjà reçu, pour armer ces bâtiments, ceot canons rayés fondus dans on établissement particulier en Prusse. A ces préparatifs, il faut ajouter une série d'autres mesures ordonnées par l'amirauté et qui se rappor tent au recrutement des équipages de la flotte. Elles montrent que le gouvernement russe croit qu'il aura besoin, au printemps prochain, de toutes ressources navales. FRA.NCE* On lit dans la Nation On peut affirmer, sans crainte d'être démenti par les événements, qu'aucun gouvernement ne rejettera en principe la proposition d'un congtès; fats il ressort de tout ce que dous apprenons par •les communications particulières et sûres, que 'a plupart, avant de donner leur adhésion, exige ront que la France précise les questioos résoudre. C est là, quant présent, une sérieuse difficulté qui se complique de cette autre difficulté, qu'il se trouvera certainement telle puissance qui ne vou drait pas faire dépendre une question qui lui est personnelle d'une décision prise la majorité des voix. On nous a cité, ce propos, cette parole d'un homme d'Etat aoglais: L'Angleterre, pas plus qu'on autre gouvernement, ue se laisseia jamais majoriser. On lit dans Y Echo de POise: La cour restera probablement Compiègne jusqu'au 19 ou 20 décembre. Noos avons entendu dire, et nous le répétons sous toutes réserves, que S. M. le roi d'Italie se pro pose de faire une visite l'Empereur pendant son séjour Compiègne. On parle aussi de la visite de S. A. I. l'archi duc Maximilien d'Autriche, empereur élu du Mexique. On écrit de Lille, le xi novembre: Dans la soirée d'avaot-bier, M. Antoine Wattier, notaire Boussu, près Moos (Belgique), arrivait de Paris, par le train de cinq heures et demie du soir, se rendait Y Hôtel Uilleroy, dînait table d'hôte six heures et montait ensuite dans uoe chambre du troisième étage. Il n'avait avec lui qu'un porte feuille volumineux, tel qu'eu portent les personnes de sa profession, et sur le dos duquel se trouvait son nom. Pendant la matinée d'hier, les garçons de l'hôtel se présentèrent plusieurs reprises pour entrer dans la chambre du notaire, mais inutilement. Vers une heure, une servante s'avisa de regarder par le trou de la serrure, dont la clef était absente, et vit M. Wattier suspendu l'espaguolette de la fenêtre, au moyen d'un mouchoir. Le propriétaire de l'hôtel fut prévenu; 00 enfonça la porte de la chambre, et l'ou détacha le pendu. Mais depuis longtemps tout secours était inutile; le cadavre était raide, glacé, et la mort devait remonter la veille au soir, quelques heures après le repas pris la table d'hôte. M. Wattier était porteur d'une somme de 984 fr. Uoe dépêche télégraphique fut immédta- ment adressée au bourgmestre de Boussu; peut-être apprendra-t-on de ce fonctionnaire la cause de ce soicide; cette cause est encore un mystère pour l'autorité qui a constaté la moit. Le Périgord rapporte le trait suivant, qui témoigne d'un courage viril de la part d'une jeuue demoiselle qui en est l'auteur A R..., près Manzac; canton de Saint-Astier, deux jeunes personnes, la recherche de certaines plantes auxquelles on attribue dans la contrée des propriétés médicinales, fouillaient, l'aide de per ches dont elles s'étaient munies, des herbages épais, lorsqu'une d'elles, M11* C... F..., se sentant tout coup piquée au bas de la jambe, pousse un cri, et, frayeur autant que de douleur, tombe en syncope. Au cri poussé par sa compagne, M"' J... L... se retourne, et aperçoit... uue énorme vipère s'en- roulant en spirale, se développant de toute sa longueur, et s'élançant de nouveau, comme un ressort, sur la victime qu'elle avait déjà blessée En moins de temps qu'il ne nous eo faut pour le raconter, M11* J... L... se précipite sur l'affreux reptile, et, de la perche dont elle est armée, écrase sa tète, et réduit son corps en tronçons. 4 Mais l'aiguillon du dangereux ophidien a pro fondément pénétré; M11* C. F... a une plaie la jambe d'où s'échappe le sang en abondance; il lui faut des secours rapides et énergiques. M11* J. L... ne perd ni le temps ni son sang-froid; elle place son mouchoir en forme de ligature quatre ou cinq centimètres au dessus de la blessure et l'étreint fortement, de manière gêner l'absorption, cela fait, elle applique ses lèvres sur la plaie, aspire le sang avec efforts, et lorsqu'elle croit avoir retiré la substance venimeuse, elle charge sa jeune amie sur ses épaules et la transporte l'habitation voisine, où elle complète le pansement par la cautérisation de la blessure. van AENMERKELYKE ALDAER OPENBAERLYK TE VERKOOPEN met gew1n van instelpennink. KAEYSTRAET. eenigen koop. Nota. Den sleutel van dit Huis berust by M. Liebaert-Rabau, brouwer woonende in de Dixmudestraet.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1863 | | pagina 3