W 0 0 N H U I S
ZAEILANDEIV,
proposaient de montrer, moyeonaot une rétribu
tion, aux Parisiens de i864, ce théâtre de Guignol
d'il y a trois cents ans; mais l'autorisation ne leur
fut pas accordée; on craignait l'effet réellement
saisissant de ce grand diable de diable. C'est alors
qu'ils se décidèrent a traiter avec le musée de
Cluoy.
Quels ont été les propriétaires piiiuitifs de cet
engin diaboliqae Dans quel milieu et sous quels
yeux fonctionna-t-il Dans quelles circonstances
L'imagination du lecteur peut se donner libre
carrière.
iicclimk
Les gastrites,gastralgies, toux, consomption
dépérissement pour lesquels la médecine n offre
aucun remède efficace, sont parfaitement guéris
par la délicieuse Revalenta Arabica Du Barryde
Londres. Paris, ce 17 avril 186:1.
Monsieur, par suite d une maladie du foie,
j'étais tombée dans un état de marasme qui a
duré sept ans. Jl m'était impossible de lire ou
écrire; j'avais des battements nerveux par tout
lecorps, la digestion fort difficiledes insomnies
persistantes et j'étais en proie une agitation
nerveuse insupportable qui me Jaisait aller et
venir, sans pouvoir me reposer, pendant des
heures entières: j'étais d'une tristesse mortelle.
Plusieurs médecins anglais et français m.'ayant
prescrit des remèdes inutiles, en désespoir de
cause j'ai voulu essayer de votre farine de
Santé. Depuis trois mois, j'en fais ma nourri
ture habituelle. La Reialenia Arabica est bien
nomméecar béni soit le bon Dieu! elle m a fait
revivre; je puis maintenant m'occuper, faire
et recevoir des visites, enfin reprendre ma
position sociale. - Marquise DE B RE H AN. -
MAISON DU BARRY, 2, rub de l'Empe
reur, Bruxelles - En boîtes de 172 kil., 4 fr.;
1 kil-, 7 fr.; 3 172 kit., 16 fr.; 6 kil., 3a fr.; 12
kil., 60 fr. Contre bon de poste. - Se vend
Ypres, chez MM. Frysou, pharm-, Becowe,
pharm.,G. Veys, pharm., Mabieu et les pre
miers PharmaciensEpiciers et Confiseurs
dans toutes les villes 8
Voir aux AnnvncM.)
AMÉRIQUE.
On écrit de Valparaiso, le 1 7 décembre Une
épouvantable catastrophe vient de désoler la ville
de Santiago, capitale du Chili.
Le 8 de ce mois, sept heures do soir, une
réunion déplus de 3,000 persounes atleudait dans
l'église appelée la Compagnie que l'on commen
çât une fête religieuse en commémoration de l'Im
maculée Conception. Par uue fatalité inconcevable,
le gaz qui se trouvait placé autour du socle d'une
image de la Vierge communiqua le feu aux nom
breuses tentures et bannières qui servent d'ornement
en pareille circonstance. On crut d'abord pouvoir
s'eu rendre maître, mais les flammes se transmirent
avec une rapidité effiayante dans toute l'église. Les
personnes les plus rapprochées des portes réussirent
s'échapper, mais bientôt la confusion, la préci
pitation, l'effroi furent tels que les portes s'obstruè
rent d'une muraille vivante et compacte qui ferma
toutes les issues.
Pendant ce temps, l'incendie faisait de rapides
progrès; les milliers de cierges, de bougies et de
petites lampes gaz portatif répandaient de tout
côté des matières enflammées sur les malheureuses
victimes dont les efforts pour fuir étaient impuis
sants. L'église, en un instant, devint un foyer dans
lequel se tordait uue foule incendiée, poussant des
cris déchirants.
La Patria, de Valparaison donne les détails
suivants sur ce terrible événement On a cru
qtie le nombre des victimes ne dépasserait pas
cinq cents. I.a clarté du jour nous a montré toute
l'éteudue de l'horrible ravage Les voûtes de
l'église La Compagnie recèlent plus de dix-huit
cents cadavres, et les décombres en couvrent en
core un bien plus grand nombre. Noos avons visité
le théâtre de la catastrophe. Un amas de cadavres
b moitié biulés couvre tout l'espace compris entre
la porte principale et la chaire, dans la nef du
milieu. !l o'y a pas moios de 5oo cadavres dans
ce court espace, presque tous carbonisés et sans
aucun reste de ressemblance; au fond quelques
asphyxiés que le feu n'a pas atteiot. Les nefs laté
rales sont aussi couvertes de cadavres, mais le
spectacle que cet endroit présente la vue est
accablaot. Des groupes de 5o personnes pas com
plètement brûlées conservent dans leur attiluda
les restes de la plus terrible agonie. La plus grande
partie se trouve rangée sons l'épaisse muraille des
arcs des voûtes. Les malheureux s'y réfugièreut
pour échapper aux charbons incendiés qui se déta
chaient de la toiture. Ils soot debout. L'on voit
près de la porte latérale, qui ouvre sur la rue de
la Bandera, peu près cinquante persounes;
plusieurs paraissent intactes, mais brûlées et gar
dant leur position. Il y a des vieillards iuautmes
qui s'appuient encore sur leurs bâtons, des femmes
désespérées qui paraissent diriger leurs clameurs
au ciel, des enfants pressés dans les bras de leur
mère, des groupes frisounauts qui se déchirent. Par
les articulations disloquées et les nerfs marqués b
no sor leurs bras, ils paraissaient lutter eucore
contre le feu dévorant. Un peu vers le dehors,
un demi-mètre de la rue sur le seuil même, il y a
des monceaux de cadavres.
Dans les galeiies extérieures de l'église, il y
a une multitude de cadavres, les uns soins de l'in
térieur, la plus graode partie tombés sur les lieux
mêmes.
Oh la scène fait frisonnier d'horreur. Les
agents de police s'occupent d'enlever les morts.
Chaque coup de pelle découvre un corps, sous
celui-ci un autre; et encore, au-dessous, uu grand
nombre de cadavres. Sous la grande porte, les
recherches soot inutiles; les cadavres car bonisés s'y
montrent par centaines, accumulés de telle manière
que l'on pourrait croire qu'ils y sont eotassés
exprès. Cependant ils u'ont encore été touchés par
personne.
Les murailles du temple écroulées, noires de
fumée; uue odeur nauséabonde insupportable; les
lameutations de ceux qui ont pu pénétrer jusque là,
b la recherche de quelque victime tous ces détails
déchirent l'âme. Ou se retire comme par instinct
d'un aussi horrible spectacle.
On parle de célébrer les funérailles sous les
portiques du temple incendié, et l'archevêque a
douué les ordres nécessaires pour que cela s'effectue.»
MEERSCHEN EN BOOMGAERD,
i.i i m.i v ol»
iittt JSdf &A2 a
Ol'ENBAER TE KOOPEN.
Van wege de eigenaers stelt men met
het houden van 2 zittingen openbaer le
koop, de volgende Goederen, bezwaerd
met Vruchtgebruik gedurende het leven
van Sr Ivo Dewachter, geboren den 13'°
September 1799, gelegen op
PASSCIIENDAELE, (in het dorp.)
1" Koop. Eene pariy Zaeiland, groot
18 aren 40 cenliaren, palende oost den
steenweg naer Moorslede, zuid het land
van M. Hynderick, west koop 9 en noord
den bebouwden grond van S' Joseph
Masschelein, thans gebruikt, door Sr Pieler
Devacht.
2" Koop. Zuid-west van den voor-
gaenden koop, een Woonhuis, afhankelyk-
heden en 24 aren 51 cenliaren Erve onder
Bebouwden Grond en Land, palende oost
een uitweg, zuid het land van de weduwe
en kinderen van Félix Vanoverberghe en
den bebouwden grond der weduwe Braem
en noord den steenweg. gebruikt door de
weduwe Vamvalleghem.
VERRE ZCIli-WEST VAS DE KERK.
3'" Koop. Ejen perce.d Land en Meersch,
te zamen groot 50 ai en (10 cenliaren,
palende oost dert uitweg hierraedegaende,
den meersch van S' Uewachler, zuid, west
en noord het land van den heer Verelst en
nog zuid den meersch van M. den dokleur
Comyn, gebruikt door Engel Keslelein.
4" Koop. Wat noord van den voor-
gaenden koop, eene party Zaeiland, groot
24 aren 20 centiaten. palende oost het
land van M. Bracqueval,zuid de Osselstraet,
daerover het land van M. César Van
Elslande, west het land van Sr Vanhee en
noord den volgenden koop, thans gebruikt
door denzelven Vanhee.
5'° Koop. Noord aen den voorgaenden
koop, eene party Meersch, groot 30 aren,
palende oost en noord het land en meersch
van M. Bracqueval, zuid koop 4 en west
het land van Sr Vanhee, thans door dezen
gebruikt.
MOORSLEDE,
Weinig oost van den steenweg naer S?-Pielers.
G'n Koop. Eene party goeden Meersch,
groot 65 aren 58 cenliaren, palende oost
den meersch van Sr Develter en het land
van J" Holvoel, zuid den meersch van M.
Vantieghetn en het land van den Brins
Demonimorency, west den meersch van
J" Deneckere-Deconinck en noord het
land van S' Bouten, gebruikt door Sr Jean
Vandamme.
wyk slypsè -
7*° Koop. De deurgaende helft, in een
lluis, zynde den weslkant eener Twee-
Woonst, met den weslkant der Erve groot
13 aren, palende oost het huis en erve van
S' Laflere, zuid scherp en west den meersch
en land van S' Develter en noord de slraet
van Slyps naer Moorslede, gebruikt door
S' Uewachler.
ZONNEBEKE, (westiioek.)
8'° Koop. Eene party Land, groot 35
aren 25 cenliaren, palende oost de be-
bouwde erf van M. Verplancke en J" vidua
Glorie-Verbeke, zuid en noord het land
van de erfgenamen Amare en west hetgeen
van Karel Lenoir, thans gebruikt, door S'
Joseph Vermeersch aen welken de daerop
slaende Gebouwen toebehooren.
BYVOEGSEL,
NOG PASSCIIENDAELE, (in het dorp.)
9 Koop. Een schoon Boomgaer-
deken, groot in Erf 12 aren 80 cenliaren,
palende oost koop l,zuid het land van M.
llynderick, west den bebouwden grond
van den disch van Passchendaele, nog
west met den uitweg de Vuilestraet en
noord den bebouwden grond van Sr Mas
schelein en der weduwe en kinderen
Desmedt, gebruikt, door S' Pieter Devacht.
Vry van vruchtgebruik, om door den
kooper met 1" October 1864, in het
gebruik te komeu.
De zittingen voor de Verkooping zullen
plaets hebben te Passchendaele, in het
dorp, te weten
Den INSTEL op Dyssendag 9'° Febrcary
1864, ter herberg den Hertog van Brabant,
bewoond door S' Ailegaert en de VOL-
STREKTE TOEWYZING, Dyssendag 23'"
derzelfde maend, ter herberg Vlaenderen,
bewoond door Sr Pollefeyt, telkens ten
4 uren namiddag.
De titels en voorwaerden berusten by
den Notaris CHRISTIAEIS, te Passchen
daele, 00k aile inlichtingen te bekomen by
den Notaris VERLEZ te Moorslede.
ikstel penningf.n te winnen.