500 MARCHÉS DE SAPINS,
WOONHUIS EN HOEFSMS,
Vïl.LR mi'KES.
CHÊNES ET BOIS-BLANCS
—g—«i
TE liOOPEN
TE ELVERDINGHE.
MAENDAG 22" FEBRUARY 1864, ten
twee uer na middag, in d'Iierberg het Gou-
den lloofd, bewoond door sieur Charles
Pillaert, 1er plaetse van Elverdinghe, zal
geschieden de openbare Verkooping in
eene zitting, van
Een schoon en geriefelyk WOONHUIS
met HOEFSMIS en verdere Gebouwen,
staende en gelegen te Elverdinghe, op
grond corapeterende aen jufv. Mathilde
Nandergboie, Grondeigenaerster, woonen-
de te Brugge, bekend by kadaster sectie C,
nr 338; palende van zuiden den steenweg,
van noorden oosten en westen de eigen-
dommen van voornoerade jufvrouw Van-
dergbote.
Tegenwoordig bewoond en gebruikt
door sieur Jacobus Roffiaen.
Ont door den kooper in gebruik le ko-
men met de toewyzing.
De Tytelen van Eigendom en Voorwaerden
dezer Verkooping beruslen ten kantoore van
den Notaris 71723 A, residerende te Boe-
singhe.
L'administration locale prévient tous les
habitants que les rôles pour le recouvre
ment de la taxe provinciale sur les che-
vaux. bêles cornes et moulons ainsique
de celle sur les chiens, sont provisoirement
arrêtés et déposés au Secrétariat l'inspec
tion des contribuables.
Ceux qui se croiraient lésés sont admis
faire valoir leurs réclamations devant le
Conseil Communal.
Fait l'Hôtel-de-Ville le 6 Février 4864.
F. B2Z2.
LP. 8tCRÉTAlRB,
Etude de Mtre LANftOY,
NOTAIRE A COUINES.
4" Mardi 46 Février 4864, midi
précis, dans un bois nommé le Grand
Balant situé près du cabaret la Bassevitle,
Zantvoorde
dont le transport est des plus faciles par
le gravier de Comines Gbeluvelt.
2° Lundi 22 et Mardi 23 Février
4864, chaque fois commencer 9 heures
du matin
T21T72 F7S2IQ72
BOIS-TAILLIS, TÈTES D'ARBRES
ET DÉRODAGES.
Sur des Propriétés situées Zillebeke,
Voormezeele, Wyischaete et Ilollebeke,
appartenant M. Maxirailien de Neckere,
avocat et propriétaire Roulers.
La réunion pour la Vente est fixée le 4"
jour au cabarêt le Moulin brûlé tenu par
Desmyttere Zillebeke et le 2' jour près
la campagne de M. de Neckere.
Ces Ventes auront lieu long crédit,
sous la direction de M* LANNOY prénom
mé qui en fera la recette.
daos les églises et oratoires publics de ce diocèse, le
Dimanche qui eD suivra la réception.
Fait Bruges, daos notre Palais épiscopal, le 36
Janvier i864.
*{- J.-B., Evêqub de Bruges.
Par mandement de Mgr l'Etêque,
F. Nolf, Chan. Secret
ACTES OFFICIELS.
Uo arrêté royal du 3 février accorde
Uo subside de 4oo fr. la société d'Emulation
de la Flaudre occidentale, afin de l'aider b subvenir
aux frais de la publication d'uo ouvrage historique
l'occasion du 35' anniversaire de son existence.
nouvelles diverses.
On a anooocé diverses reprises, dans ces
derniers temps, que le Roi se proposait de faire an
voyage. Aujourd'hui l'on dit que si le temps est
favorable et que les circonstances politiques le
permettent, il est probable que le Roi se rendra en
Angleterre dans la première semaine du mois
prochain, pour assister au baptême du prince de
Galles, fixé au 10 mars, jour anniversaire da
mariage de ses parents.
Le Duc de Brabaol, dont la santé, d'après
les plus réceutes nouvelles, se trouve dans les
meilleures conditions, reviendra probablement le
mois prochain a Bruxelles.
Il parait devoir se confirmer que l'archiduc
Maxitntlieu et la princesse Charlotte, viendront
vers le commencement du mois de mars, h Bru-
telles, pour rendre visite au roi Léopold avant
leur départ pour le Mexique. On sait que l'archiduc
et l'archiduchesse, doiveut également faire visite,
b cette époque, b l'empereur des Français et la
reine d'Angleterre.
S. A. I. l'archiduc Etienne, frère consanguin
de Mm* la Duchesse de B'abant, est arrivé b Bru
xelles.
La Franc Maçonnerie desdeux hémisphères
possède aujourd'hui B,3â8 loges fréquentées par
environ 5oo,ooo membres actifs. Le nombre des
membres non actifs ou retirés s'élève b près de 3
millions.
L'excellent journal catholique il Piemonle,
qui se publiait b Turin, a cessé de paraître. Son
dernier cri a été Vive Pie IX
Défier- vous des sosies, et tout autant des
homonymes. Le vieux dicton Il n'y a qu'un âne
b la foire qui s'appelle Martin est écrasant de
vérité. Il y a a Paris un fabricant de pains b cache
ter, nommé Hippolyte Berlioz, lequel a com
mencé l'année avec un effroyable mal de dents.
Le 4 janvier, il errait mélancoliquement sur feu
les boulevards extérieurs, quand soudain les sons
d'une grosse caisse, mêlés inbarmonieusemeni aux
grincements d'un orgue de barbarie, l'arrachèrent
b son abattement.
C'était la réclame, franche et sans fard,
d'un de ces industriels que les dentistes qualifieut
d'arracheurs de dents.
Le charlatan faisait son petit boniment avec faot
de coovictioo, que le malheureux Berlioz, qui
souffrait comme un ténor en mal d'ut dièze, vint
se placer héroïquement sur la chaise réservée aux
patients et ouvrit résolument la bouche.
Le Mangiu comprit le geste, et la deot fatale
extraite sans douleur fut bientôt, après quelques
beaux et bons cris, exhibée aux yeux de la foule
atteudrie qu'enthousiasmée.
Le père Berlioz était sauvé!!!
Mais, le quart d'heure de Rabelais arrivé,
ce fut eo vaio qu'il chercha son porte-monnaie;
il l'avait oubiié.
Heureusement, il aTait SQr |„j ooe cgr,e
visite; il >a donna b son géoéreox Opérateur.
Celui-ci eut un moment d'hésitation; mais, dès
qu il eut jeté les yeux sur le petit bout de carton
glacéil s'inclina respectueusement.
Puis, qoand le brave homme se fut éloigné:
«Voyez! murmnra-t-il... d'une voix tonoante, ce
monsieur, b qui je viens de tendre le câline de ses
jours et le repos deses nuits... Savez-vous qui c'est?
Non!... Eh bieo! c'est M. Berlioz, le graud Hector,
l'immortel auteur des l'roytns. ce succès sans
précéder.! du Théâtre-Lyrique et il brandissait
orgueilleusement la deot, qui ne tarda pas b passer
de main eo main. Trépanecontioua-t-il en
s'adressait) b son grootn, vite, un ban b M. Berlioz,
l'ouverture des Troyens, et l'orgue de bar
barie accompagné de la grosse caisse, attaqua
vigoureusement Malbrough s'en va t'en guerre.
Depuis ce jour, l'Esculape eo plein vent est au
quinzième ciel il a sur ses adresses fait suivre son
nom de celte phrase orgueilleuse Attaché b la
bouche de M. Berlioz, a et la molaire du fabricant
de paios b cacheter est encadrée et exposée b l'ad
miration des badauds. Jamais, daos son booirueut,
il oe manque de rappeler ce haut fait.
Quant b M. Berlioz, il oe se doute de rien il
igoore sa célébrité. Et c'est aiosi pourtant que,
saos le savoir, il marche b la gloire.
llËCL.taiE so.
l es gastrites, gastralgies, toux, consomption dépérissement
pour lesquels la médecine n'offre aucun remède efficacesont
parfaitement guéris par la délicieuse Hevalenla Arabica Du
Earry de Loudres.
Saint-Romain-des-lles, 27 novembre 1862.
La Ilevalerlla Arabica a produit sur moi un effet viaiuieiit
extraordinaire. Quelques déjeuners de c«tle excellente fariue
ont sulli pour fane cesser mes sueurs nocturnes, guérir l'irri
tation d'-. mon estomac, faciliter ina digestiou et me tcudre
l'appétit. Il y a dix-huit «us que je n'ai pas eu un bien-être
comme celui que je possède actuellement. J. COMPARAT,
curé. DU rtARRY, 12, tue de l'Empereur,
Bruxelles. En boites de 112 k»l., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 ijr
kil., 16 fr.; 6 kii., 32 fr.; 1 2 kil., 60 IV. Loutre bon de poste.
Se vend Ypreechez MM. Frjrsou pliai m Bt-cuwe,
pbarm.. G. Veys, pbarm., Mathieu et les pieiuiers Pharma
ciens, Epiciers et Confiseurs dans toutes les villes. 10.
ANGLETERRE.
On lit dans la Gazette des Etrangers Une
exposition de pigeons a eu lieu la semaine der
nière b Loudres. Les types exposés étaient côtés
de 35 b 5oo fr. Plusieurs couples ont été vendus
depuis 35o jusqn'b 35o fr.; ttès-peu b 5oo fr.,
mais pas un au-dessous ce 35 fr.
La force motrice de vapeur appsrteoant b
l'Augleierre, est évaluée b 83,685,3i4 chevaux
ou 4oo,ooo,ooo d'hommes. Ainsi, la puissance
de vapeur fait que l'Angleterre, avec une popula-
tion de 30,000,000 d'âmes, produit une richesse
qui représente une populatiou vingt fois plos nom
breuse.
OPES RARE VERKOOPING
VAN EEN
GEMEENTE ELVERDINGHE.
les bourgmestre et échev1ns,
Par ordonnance
J. DE CODT.
Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé
decins anciens, remplit avec un bon
heur remarquable toutes les conditions
du problème de la médication purgi-
tive. a l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est
pris avec de très bous aliments et des
boissons fortifiantes. Il ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
h l'eau de Sedlilz et d'autres purga
tifs. La dose est facile i régler selon l'ige ou la force des in
dividus. Les enfanta, les vieillards et les malades les plus dé
bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation étant
complètement annulée par l'effet de la bonne alimeution pres
crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen,
ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon
gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple, an'on se purge vingt fois de -uile, ou
n'est plut retenu par la crainte d'élre obligé de renoncer avant
la fiu. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs.engorgements,
affection* cutanées, catarrhes et bieu d'autres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgation régulière tt long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication puryahee du
docteur Ilehant, volume de 264 pages, donne gratuitement.
Paris, pharmacie du l)' Debaut, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.
Déposé la Pliai macie de FRVllOl'-VaR OdTItIVK,
rue de Dixmude, 35. Ypres.
^7giK]TI IPdmOOT!
d'une grande quantité de très-beaux
DE
MÉLÈZES, HÊTRES,