ADJUDICATION
KOORN-WIND-MOLEN
PRÊTS HYPOTHÉCAIRES
Uû enfaDl de sept «as, le nomme' C. V. avait, le
i5 août i865, atale' an noyau de prune. A la snite
de cette incorporation, il éproota de violentes
douleurs et tomba dans d'horribles convulsions. La
science médicale ne reconnut point la présence
d'un corps étranger, dans les bronches; tantôt elle
supposait une affection grave qui mineiait infailli
blement la santé de l'enfaot; tantôt une toox
nerveose, qu'un assez longtemps ferait disparaître.
Eotre temps, malgré tous les soins médicaux,
l'enfaot souffrait cruellement, mais ne dépérissait
pas. Enfin, le 17 mai 18G4après neuf mois, deux
jours d'horribles souflrances, le noyau fut rejeté des
voies respiratoiies, par la boucbe, et depuis lors
l'enfaot se trouva entièrement soulagé.
DÉPÊCHE TÉLÉGRAPHIQUE.
Paris, a3 mai, au soir. Le Moniteur an
nonce que l'empereur et l'impératrice de Russie
arriveront le 9 juin la cour de Prusse et qu'ils
resteront deux jours h Potsdam.
FRANCE.
STUD1E VAN l)EN N0TAK1S V27S,
TE YLAMEKTIMUE.
Geaaemden Notaris zal overgaen
1° Op Vrydag 27° Mei 1864, om 3 ure
des namiddags, in de berberg het Lamme
ken, ter plaets van Vlamertingbe, lot deu
1NSTEL van eenen welgekalanlen
YVOONHU1S, SCHEUR, STALLINGEN
en 88 aren bebouwden Grond, Boomgaerd
en Meersch gelegen te Voormezeele, ge-
bruikl door den eigenaer Jacobus Syssatt.
En 2° Op Maendag en Dyssendag 30"
en 31" Mei en VYoensdag 1" Jury 1864, om
9 ure 's morgens en om 2 ure 's namid
dags, len sterfhuize van den eerweerden
heer Benediclus Frutsaertoverleden pas-
toor te Kemmellot de openbare Verkoo-
ping van eenen schoonen HUISRAED,
eene groote menigte BOEKEN en eene
hoeveelheid oude Bordeaux, Grave, Tour-
se, Malaga en Rynsche YVYNEN.
PATRIMONIELE
HOLLEBEKE,
OPF.NBAERLTK TE TERKOOPEN
Met gewin van instel penning.
7.AEILAND, MEERSCH EN BOSCH.
Den nomber van 2 hectaren, 21 aren,
40 centiaren ZAEILAND, MEERSCH en
BOSCH aen elkander houdende, gelegen in
de gemeente van HoIIebeke, aen bel ge-
sebeid met Zillebeke en Voormezeele, pa-
lende te zamen van zuiden aen de eigen-
dommen van M. Pyssonnier-Titeca, t'Yper,
en van M. Maxirnilien De Neckere, te
Rousselaere, van oosten aen bel hofstede-
ken van M. César Cardinael-Rabau, t'Yper,
gebruikt door Godderis, van noordèn en
van vvesten aen de landen van M. De
Neckere.
Het Zaeiland (waer op zich eenen Baut
Citerne hevind) en den Meersch zyn ge
bruikt door l'ieter.Ludovicus De Gryse
daer by wonende, met regt tôt den 1*
October 1864; bet Bosch is onverpacht.
Te betalen voor het Houtgewas 742
francs.
Slaet op 6,100 francs.
De veiling zal geschieden in twee zit-
dagen waer van den eenen voor den INSTEL
bepaeld is op Zaterdag 21 Mei 1864, ten
2 aren namiddag, in de estaminet den
Sultan, Groote Markt, binnen de stad Yper
en den anderen voor den OVERSLAG
op Zaterdag 4" Ju.ny daer na, ter zelve
plaets en uer.
De voorwaerden, plan en eigendoms
titelen berusten ten kantoor van den
Notaris LAMBIN, t'Yper verblyvende, met
deze Yerkooping belast.
Men gelieve het ruclitbaer te maken.
La Compagnie Immobilière de Belgique,
Société anonymeétablie Bruxelles et
approuvée par arrêté royal du 23 juillet
1863, effectue des ouvertures de crédit et
des prêts remboursables par annuités
moyennant garanties hypothécaires.
La Compagnie ne prête que sur première
bypotbèqueet jusqu'à concurrence de 500/0
de la valeur des immeubles donnés en gage.
Elle émet des obligations de 100, de 500
et de 1000 francs rapportant un intérêt
annuel de 4 1/2 0/0.
Ces obligations sont créées toute
échéance de 3 a 15 ans au choix des pre
neurs et émises un taux variable suivant
leur échéance.
S'adresser pour renseignements M. F.
Vandekmeclen, Banquier, Agent de la Com
pagnie Ypres.
DÉFINIVE
Le VENDREDI 27 MAI 1864, 4 heures
de relevée, Y Hôtel de Ville de Messines,
d'une MAISON étage, avec un are 80
centiares de Fonds et Jardin audit Messi
nes, sur la Craud'Place; occupée parla
venderesse la veuve d'Edouard Monney,
qui la quittera 15 jours après l'Adjudica
tion. Mis prix 3,000 francs.
Le Notaire B.Cim31;T3 Warnèton
est chargé de celte Vente.
ENCRE BELGE PERFECTIONNÉE
Adoptée par la maison du Roi, les minis
tères, l'Hôtel-de-Ville, le Palais de Justice,
la poste de Bruxelles et généralement par
toutes les grandes administrations du pays.
Cette Encre remplit toutes les qualités
d'une encre parfaite, elle est d'un très
beau noir, ne changeant pas avec le temps
et d'une limpidité inaltérable, noxide par
les plumes métalliques.
Se vend au bureau de celle feuille.
[Jo fait analogue avait eu lieu, il a quelques
années dans la province de Narnur.
On écrit de Paris au Phare de la Loire propos
de l'enterremeut de \1. Salomon de Rothschild
M. Salomon était pailiculièremeut connu pour
sa bienfaisance; possesseur d'une foiluue colossale,
il savait la dépeuser en bonnes œuvres et eo plai
sirs; on cite mêiue a ce propos une auecdote qui
remonte ^-quelques années et que je veux coûter.
peine débarrassé des lisières du collège, M.
Salomon se jetait dans I» vie avec uue cerlaioe
ardeur et ne manifestait qu'un goût médiocre pour
les affaires de Baoque et de Bourse; uu jour, dit la
chronique, son père le fil veoir daos sou cabioet et,
prenant a dessein un air de gravité que la circon
stance n'exigeait pas, il leissa croire au jeune
Salomou que ses prodigalités pouvaieot ébranler le
crédit de la maison; il ajouta qu'un voyage h
l'étranger était deveuu nécessaire, et que si son fils
voulait consommer sa ruine, il le pourrait; eo disaot
cela, il lui remettait un blanc-seing.
Salomon fut ému tout a la fois de ses reproches
et de la marque de confiance que lui donnait son
père; il partit pour les Etats-Unis, et, loin d'abuser
du blanc seing, il fit si bien qu'il réalisa une
forluue et revint Paris avec le goût des affaires.
La chronique ajoute et je lui en veut de
cette addition qui me gâte tout mou plaisir que
le père ne s'éiait pas aveuglement fié b sou fils et
l'avait fait seciètemeot accompagner par une per
sonne qui avait dans sa poche la révocation du
blanc-seing, ponr servir en cas de besoin.
Ou reucoutre beaucoup de gens, dit la Patrie,
de Paris, qui marchent dans les rues en lisant les
journaux et même quelquefois des livres. C'est Ib
une habitude qui peut avoir de graves incon
vénients. Mais hier, nous avons été témoin d'uue
aventure tragi-burlesque amenée par celle manie.
Un monsieur assez âgé, en toilette de ville, cravate
blanche, habit noir, se rendait dans one maison du
faobourg Saint- Honoré. Il avait acheté son joornal,
et marchait eu lisaut avec une attention telle qu'il
u apeiçut pas on jeune garçon pâtissier portant un
paoier en osier qui se balançait sur son bonnet
blanc. Le marmiton, occupé de son côté, sans doote
comme le garçon de café du vaudeville; b composer
ses mémoires, vient avec le boni de son panier b
donner droit dans le chapeau do vieux monsieur.
Le chapeau tombe, le panier se reoverse et ioonde
la tête de l'iuforlnné liseor de la p|05 belle sauce
de vol-ao-vent qui jamais soit sortie des casserolles
d on cuisinier. Le monsieor, furieux, apostrophe
I apprenti; celui-ci, plos colère encore, rend injure
pour injure; bientôt 00 en vieut aux voies de fait;
daos le conflit, la perruque de monsieur, converte
de saoce, tombe, le gamain le relève et s'en empare
comme d'nn trophée, puis passant b côté d'one
enseigne de coiffeur, il la pend et se sauve en
continuant ses invectives. Les sergents de ville
allaient se mettre en partie, lorsque le jeune Vatel
de l'avenir disparut au coin de la rue, au milieu des
rires des témoius de cette scène.
RU'LSME S-
La Revalenta Arabica Du Barry quelques sous par jour,
écouocoisc mille fois sou prix en d'autres remettes et guéiit
radicalement les mauvaises digestious (dyspepsie*/, gastrites,
gastralgies, constipations habituelles, hémorrhoïdes, veut*,
ucrvosité, désordre du foie et de la muqueuse, acidité, pituite,
nausée*vomissemeuls après repas et eu giussesse aigreurs,
diarrhées, crampes, spasmes, insomnies, toux, asthmes, pbthi-
sies (oousomptiuu), dartres, éruptions, mélancolies, rhuma
tisme, goutte, épuisement, dépérissement, manque do fraî
cheur et d'éuer^ie.
Cure 63,184. Juillet, piès Charlerui, 9 mai i863.
Messieurs Barry, L)u Bany et Ce, volie précieuse Revalenta
Arabica vient de faire sou eiatrée ti iomphaute daus notre com
mune, par la guéusou de ma femme, sujette des soutlrauces
et A des vomissements coutiuuels II est inutile de vous eu-
uuyer de longs détails sur sa maladie et sur les maux qui, de
puis 4 al,s» 'a tourmentaient sans trêve. Lutin uu brave mé-
deciu de nos environs lui couscilla de faire usage de votre
farine. Elle commcuça a s'en servir le 19 avril dernier, et
déjà, au graud étouueineut de plusieurs personnesles vu-
misseuiruis out Cessé; l'ailectiou des yeux ainsi que celle des
jambes oui disparu, te sommeil est redeveuu paisible, les dou-
leuis du Cocu 1de l'estomac et des reins cedeui insensible
ment et sont déjà presque nulles.
Messieurs, je ne suis qu'uu ouvrier, mais je suis résolu
attester devant tout le rnoiide les immenses services que lu
Revalenta Arabica a rendus nia femme et conseiller
l'usage de cette fariue a toute personne aouli'i au te. Agréez,
L -j DTJHY, Menuisier. MAlàOM DU B.lhHY, 1 u, Bu a
oc L'EnreneuM, Bruxelles. Lu boites de i|J kil.4 ff
1 k il., 7 fr. a t|i kii., 16 fr. 6 kil., 5 fr.; 1a kil 60 fi.
Coutic hou de poste. -- Se vend d Yprès chez MM. Lrysou,
Bccuwe, G. Veys, pliarmacieus, Mableil, confiseur, et les
pieuiiers Pharmacieus, Epiciers et Confiseurs dans toutes les
villes. fi.
met
gelegen te
benigen koop.
by PLaetnaissaT fonds.