MEUBELS, HOFSTEDE FRANCE. Allons, farceur, dit un gendarme, finissons la plaisanterie, vous êtes un men diant, et je vous arrête. ETAT-CIVIL D'ÏT'llES, Enfants au dessous ue 7 ans 2. Sexe ■uasc. 1idem fém. 1. MARCHÉS. MARCHE D'YPRES. NOTARIS CAPELLE, DÉFINITIVE YERKOOPlilG VAN 'I représentant, est assez chancelante depuis quelques jours. Dimanche dernier, le l\ui, ayant été informé de cette situation, en fut vivement ému, et avec une inquiète solli citude en voy a i m med i a temen l(u ne dcpeche télégraphique pour connaître le véritable état de santé de son ancien ministre. On écrit de Bouillon, 27 février Ces jours derniers, une femme s'est singulièrement fourvoyée. Elle s'est pré sentée la porte de la caserne de la gendarmerie, croyant quec'élail une mai son particulière, demandant si on ne lui achèterait pas un lièvie. Le brigadier étant survenu, lui a dit Sima brave femme; entrez. Alors il lui a demandé ses noms, prénoms et domicile, lui a très pro prement pris le lièvre et lui a rédigé procès- verbal. On comprend que la femme s'est trompée, parce que Hyacinthe demeu i aut la vieille gendarmerie, elle aura cru se présenter chez lui. On écrit de Brunswick. le 24 février Le duc u'a rien sauvé de l'incendie qui a dévoré son château, pas même une cas quette; on a dû lui en acheter une ce matin, ainsi qu'un peu de linge et une pelisse. Tout le linge, tous les habits, tous les objets d'agrément que le duc possédait dans son appartement, ont été brûlés; 011 11'a absolument rien sauvé. Le co(Tre-forl est tombé dans les décombres embrasés, tuais il est probable qu'il aura résisté au feu. (Gazelle de ta Croix Le directeur d'un théâtre de Berlin monta récemment un drame dans lequel il fallait offrir une tète humaine au tyran de la pièce Abu de produire autant d'effet que possible, on tésolul de prendre la tète d'un homme. Sur la scène 011 plaça une table recouverte d'un tapis; un bassin était sur la table, et un acteur, caché par le tapis, passa la tête travers un trou pratiqué dans la laide, de manière ce que la (été parut être dans le bassin. L'eflel lut prodigieux; les spectateurs applaudis saient en frémissant d'horreur. Malheu- reusemeul, un mauvais plaisant, qui avait flâné sur la scène avant le lever du rideau, avait jeté daus le bassin une piucée de poudre éternuer, et juste l'instant où le tyran terminait l'apostrophe adressée la tète tranchée de son ennemi, la tête y répondit en éternuanl plusieurs reprises, ce qui métamorphosa en une franche gaieté la terreur des assistants. L'Empereur a déjà offert plusieurs exem plaires de la Vie de César le premier a été remis par Sa Majesté l'Impératrice, et le second au prince impérial, avec ces mots A mon fils, témoignage de ma vive tendresse. (Signé) Napoléon. Tout les ministres et les membres du conseil privé doivent recevoir un exem plaire directement envoyé par l'Empereur. Le Figaro raconte que le maire de... S'-Vierne avait chargé son adjoint de surveiller les représentations du théâtre de la petite ville. Au bout de huit jours, le maire recevait le rapport suivant Monsieur le maire, Celte semaine tout a bien marché. Mais ma loyauté me force vous déclarer que le chef d'orchestre, dont j'ai suivi avec scrupule tous les mouvements, n'a pas joué de son instrument une seule fois en huit jours. S'il se contente de faire des gestes, peut être sera t il bon de le destituer. Le Salut public raconte la piquante anecdote qu'on va lire: X... est un hon nête paysan qui a l'honneur d'être maire de la commune de B. C., dans le départe ment de l'Isère, et qui n'en est pas plus fier pour ça. Dernièrement, X..., qui travaille ses terres, partit, sa journée finie, pour aller voir un de ses parents qui habite une commune voisine; il était dans son cos tume de travail, costume assez délabré, qui lui donnait plutôt l'air d'un mendiant que d'un officier municipal. Des gendarmes le rencontrent et lui demandent ses papiers. Il répond tran quillement qu'il n'en a pas, et qu'il est maire de la commune de B. C. X... a beau pro'ester, il est obligé de suivre les agents de l'autorité, lorsqu'au détour d'un chemin, une heureuse chance lui fil rencontrer son garde champêtre. El où allez vous comme ça, nol' maire dit le garde en se découvrant respectueusement. Eli bien! je vais en prison, ce qu'il paraît? N'est ce pas, mon brave? ajouta X... en s'adressant un gendarme. Celui ci, penaud et confus, se tortillait la moustache. Pardon, dit il enfin...; mais vous savez, lieu ne ressemble plus un fripon qu'un honnête homme; d'un autre côté, votre costume... Puis les ordres que nous avons reçus... Bref, je vois que nous avons fait une bêtise... Pas vrai, Pandore Brigadier, vous avez raison. X... était un bonhomme, il ne se fâcha pas de la méprise; il se contenta d'inviter les gendarmes être moins prompts empoigner, et il se promit tout bas de ne plus circuler que son écharpe dans la poche. mi 1, milieu ai u me ihgs. Naissances g. Scie maso. 6, sexe fém. 3. Mariages. - Veituiuck, Vicior, journalier, ei Dehollander, Virginie, deniellié'e. Tasseel, fiançais, uoiduuuier, el Desaln, Caioliue, cutilu- iière. Cooreu, Lotus, senui 1er, et Vauuxem, Ucia ie,demeliière.Viuene,Polydote, mai biier, el Michiel, Florence,dtniellière. Malneu, Ange, lail eut el lreinery, Améliedemeltièie. L)e Loiiinck Gustave chai pemier et Veralleujau Sidouie, dentellièie. Dedi-yn, Auguste, maié- ibal fenanl, el Vaulaiesleyn, Félicie, dentellière. DÉCÈS. Doumai le, Guillaume, 77 ans, coui missiuuuaiie, »euf de Catherine diminue, rue de Meuiu. Vandepitle, Joseph, 42 ans, journalier, épuux de MaiieCei f,rue de Meuiu.Claereboudt, Jean,65aus, journalier, époux de JeauueCaiieeuw, ue de Meuiu. ROULERS, 28 février. l'iix par hect. et 112 Fioiuenl blanc, fr. 27 00 a 29 5o id. ioux, 24 00 b a5 00 id. d'Australie27-00 29 00; seigle, i6-5ob 1 7 - 5o; avoine, 12 5o i5 5o léveroles, 23 00 26 00; pommes de tene, les 100 k., 6-75 7-20 beurre, le k., 5 00 5- tJ; œufs, les 25, 1 5o 1 -54; petits cochons, 22 00 24-00. Huile de colza, par io5 k., fr. 95 00 93 5o; id. de lin, par io5 k., 84 00 a 84-5o EURNES, 1" mars. P ix par i45 litres Froment, fr. 22 00 s 26-00; seigle, 16 *5 17 00; escourgeon, i5 00 16-26; a»oine, 1 i-5o a 13 00; fèves, 18 5o 2c 5o. Il y avait au marché 492 sacs de froment, 5 de seigle, 210 d escourgeon, 38 d'avoine el 71 de fèves. THOLROUT, t" mars. Prix par 15o lit. Froment, fr. 27-50 00-00; seigle, i5-5oa 1 17-00; avoine, 16-oo a 17-00; sarrasin, oo-oo 00-00; féverolles, 00-00 a on-oo; beurre, le kilo, 5-on 3-t8; cents les 25, 1-18 a 1-27. Déchets d'éioupes, les 3 kilo 1" classe, fr. 1-96; 2" classe, 1-26; 3° classe, o 69. ET.4T indiquant le* quantité* et le prix moyeu «le» Grain», Fourrages et autre» produit» agri cole» vendu* le 4 il A UN f un marché de cette ville i NATURE DES Grain» et Ifenrée». quantités VENDUES, ki Ingram mes. rrix v i: par 100 kilogrammes. i 0 "i «S Z «5 t 3 C 0 S. *e Froment 47,200 22-57 80 10,700 1 5-5o 73 60 1,700 17-25 45 j 3,090 1941 82 iO Féveroles. 8.24O '9 9° 82 40- Pommes de terie. 7,000 7-75 Beurre 3o5-oo Pain de farine de froment brute 21 c4 le kilo. Idem pour les Fondations de 5o c*, i,4oo grammes. DINGSDAG 28'" MAERT 1865 en vol- genden dag, ten 9 ueren voormiddag, ten sterfhuize van de weduwe Slove, op de plaets te Proven. MERKYVEERDIGE VEND1TIE lluyscalheylen, Tin-, Gley Yzeren Aerde- werk, Bedderyc, Bakkers gerief, Akkerallaem en Beesliaelen. Door het ambt van Me CAP ELLE Notaris le Watou met de tusschenkdomst van zynen confraler LANNOÏ te Comen. KANTOOR VAN DEN «2 TTi^TOTJ. Op Maendag 6'° Maert 1865, 5 uren na- middag, le YValou plaets, ter herberge van Arnaud Foort OPENBARE YERKOOPING van eexk sauDDïïa iPiA'jauùJDnasaia ©EL£©Ilfêl Ti£ W&T®y, Groot hy kadaster 10 hect. 40 a. 10 cent., Art. 927 der matrice. In pacht door den medeverkooper Jacobus Verbouwc, mits 1,000 fr. 's jaers lioven de lasteu, lot 1° October 1882. En op Po.ndeiidag 16° Maert 1865, 5 uren namitldag te Watou, ter herberge de Vuyleseute, 1° Een HOFSTEDEKEN gelegen te zelve Watou, groot by kadaster 2 hect. 95 a. 82 c., S" F. N0i 416. 405. toi en met 408, 414, 415. 451 toi en met 455. Gebruikt door den medeverkooper C\- kolus Mourez, lot 1° October 1875, mits 245 fr. 's jaers. En 2" - 4 hect. 74 a. 80 c. WEIDE en loopende LAN DEN gelegen le gemelde Watou bekent by cadaster S F, N°5 415, 417 en S1 E, N01 675, 652, 655 en 654. Aenslag met iu October en 11" Novem- ber 1865. Voorwaerden. titelen, papieren en plans by genaemdeu Notaris GABELLE.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1865 | | pagina 3