ÉTAT-CIVIL DTPIIÉS, ordres rivalisent de dévouaient en prodi guant leurs soins aux malades. Le Souverain-Pontife s'est promené, mercredi dernier, cinq heures de l'après- dîner, accompagné de Monseigneur de Mérode ]'ex-ministre des armes. Sa Sain teté a parcouru pied le chemin de la Porta del Popolo jusqu'au bout de la Via delta Ripetta. Ce fait seul, pris entre mille, prouve abondamment qu'il n'existe pas la la moindre divergence d'opinions politi ques eutre le Pape et son ancien ministre. La démission que ce dernier a donné spontanément de ses hautes fonctions ôtent d'ailleurs aux Piémontais tout mo tif d'intervenir, par les armes, dans les Etats de l'Eglise sous prétexte de réprimer le brigandage; attendu que M(f de Mérode, accusé par toute la presse révolutionnaire, d'en être l'instigateur, ne se mêle plus des affaires d'Etat. Il vit retiré, passant son temps entre la prière l'étude et la prati que chrétienne. L'état du Révérend Père Becks n'inspire plus d'inquiétude. Grâce Dieu le géné ral des Jésuites est un vaillant défenseur des droits de l'Eglise et du S'-Siége. "MARCHE D'YPREST" Een HUIS met Koetsepoort en ||f Remise daer medegaende in de «ci^Hondtstraeigeteekent .V 77, te Yper, UIT DER HAND TE KOOPEN. Zichbaer elke Maendag van 10 tôt 12 uren. Voor de sleutels en conditieu by Fr. De Houck, Siot Jacobsstraet, N* 18. LA SIMPLICITÉ PROUVE LA PERFECTION. UN SUJET DE MÉDITATION ADRESSÉ A L'INTELLI GENCE DE CUACUN. Les progrès d'one grande découverte ressem blent au mouvement de la marée; une simple ride sur la surface, tout d'abord, embrasse graduelle ment on plus large cours, et se répand ensuite sur les rivages des contineots éloignés. Il y a vingt- cinq ans, le nom d'Holioway était peine codou. Beaucoup de persouues avaient confiance dans son génie, et loi prédisaient un grand avenir. Aujour d'hui, nous poavoos visiter chaque coin de la terre, toui la continent, les royaumes, les empires, les républiques, nous ne trouverons pas un lieu, qoelqu'éloigné qu'il soit, un peuple, quelque sau vage qu'il soit, où la réputation de ce même Tho mas Holloway ne soit coonue de chaque famille, et, comme gratitude, vénérée en tonte iaogue. La grande simplicité de soo système en prouve la perfection. Pendant que les autres s'occopent, sans utilité, du diagnostic des différentes formes de maladies, Holloway les divise toutes en deux prin cipales classes les maladies internes et les mala dies externes. Il a trouvé deux remèdes contre l'une et l'autre; ses Pilules et son Onguent con tiennent toutes les propriétés cnratives qui ne manquent jamais d'apporter une rapide et per- manante gaérisoo, quand ils sont employés en temps opportun. Souteno par l'approbation des hommes de la science, encooragé et protégé par les têtes couron nées de l'Eorope, et inspiré par sa vaste et intelli gente philanthropie, il a établi, pour la vente de ses médecines on large systèmequi embrasse toutes les parties du monde civilisé. Il a introdnit les moyens de gue'rison dans l'intérieur de chaque tribn, de chaque natioD de la terre, et si nons né gligeons de profiler de ses remèdes, il non faodras désormais nous en prendre!) nous mêmes et noo la Providence ponr les maladies dont nons gémissons. Le Professeur Holloway plus que tout autre, a rempli ses devoirs; il a consigné dans chaqne con trée ses remèdes internes et externes; et nous n'avons plus qu'à tendre la main pour être guéris. Il y a une sagesse de toutes les époques, dans le proverbe Espagnol Al que madruyaDios le ayudnet celui qui ne s'aîde pas lui-même, lorsqu'il en a les moyens sa portée, n'a certe pas le droit de s'attendre ce qu'un miracle s'opère eu sa fareur. Il n'y a point une Cour en Europe où ce grand Restaurateur de la Santé n'ait reçu de pins géné reux encouragements qu'à celle d'Espagne. Avec l'ex-roi de« Français. Louis Philippe, il peut avoir dans les termes de la plus intime considération peisomielle; mais, lorsque le Gouvernement Espa gnol abrogea nue section de la loi sur la dooane exclusivement en faveur de se» médecines, Cl les admit l'importation presque sans droitsil donna une preuve officielle de la reconnaissance dont la nation lui était redevable. C'était aossi d'uoe bonne politique, parce que les nécessités de la vie sont les derniers articles qoi doivent être taxés. Quelque merveilleuses que soient les propriétés de ces Pilules, comme elles n'agissent qu'in visible ment et imperceptiblement dans le sang, elles ne frappent pas l'observateur indifférent avec le même étonnement que lui produisent les effets ma giques de l'Onguent. Nous pouvons voir, aussi bteu que sentir les guérisous obtenues par ce der nier remède; nous poavoos voir les maladies de peau qui se sont répandues daos le système pen dant des annéesdisparaître après quelque» fric tions; nous avons va se peler les croûtes blanches de la lèpre, et apparaître une peao rote comme celle d'un jeune enfant; nous pouvons voir, enfin, les marques extérieures des scrofules les pins horribles disparaître au moyen de cet Onguent, pendant que les Pilules déracinent du sang le virus primiiif de la maladie, et en empêchent tout re tour l'avenir. Banner of Freedum. chronique judiciaire. Un incident unique peut être dans les fastes de la justice belge s'est produit une audience de la conr d'assises du Hainant. Une femme Pecqneur, épouse Pontenier, accusée de faux en écriture de commerce, a, après l'appel des témoins, demandé la parole M. le présideot, et, après son autorisa- lion, déclaré formellement qu'elle ne répondrait aucune question de ce magistrat, son défenseur d'offiiee M. Piquet n'ayant pas eu le temps de préparer sa défente et un autre avocat qu'elle avait fait appeler la prison lui ayant déclaré qu'il ne pouvait étudier convenablement son affaire sur le peu de jours qu'il y avait encore avant l'audience. Elle demandait eu conséquence d'être jugée que dans trois mois. Le mioistère public s'est opposé cette remise après quelques explications de l'avocat d'office qui a déclaré qu'il avait prié, cause de ses occopatious, i'uccusée de se choisir lun autre conseil que lui mais qu'il avait parcouru le dossier et qu'il plaiderait si la oour l'ordonnait. M. le présideot a ordonné de passer outre aux débals. Et l'iostruction de l'affaire s été entamée. L'accusée s'est renfermée alors dans le mu:isme le plus absolu et a nettement refusé de répondre aux questions posées par M. le présideut. On a dû passer l'audition des témoins. Les témoins entendus, le ministère public a prononcé soo réquisitoire, et M' Charles Picquet, défenseur d'office de Fanny Pecqner, a déclaré qu'il o'avait rien dire Le jury, iprèsêlre restéon quart d'heure dans sa chambre des délibérations, a rap porté un verdict en vertu duquel la coora condamné Fauuy Pecqneur, 10 aus de travaox forcés, 100 fr. d'amende, l'expositious publique et 10 ans de surveillance. Cette condamnation prononcée, l'accnsée s'est retirée tranquillement, se bornant dire qu'elle irait en cassation. La cour militaire, composée exceptionnelle ment outre son présideot, M. le conseiller Van Moos, du lieutenaot-géoéral Nereoburger, gouver neur de l'école militaire, du général-inajor Baudry et des colonels Lecat et Demao sera appelée dans le courant du mois prochain, a s'occuper de l'affaire des officiers de la garnison de Gand, inculpés de scènes de violences commises dans les bureaux du journal le Nouvelliste. La cour doit au préalable désigner les officiers commissaires chargés de l'informaton, lesdils offi ciers étant traduits directement devant elle, en raison du grade d'officier supértear de l'un ou de plusieurs des prévenus. actes officiels. Par arrêté royal du i4 courant, M. Victor Tescb, est nommé mioistre d'état. Un arrêté royal du 9 Novembre approuve les changements apportés aux statuts de la Société du chemin de fer de Braiue-le-Comte Courttai. SERVICE DE TRANSPORT AFFLUENT EkTRE FL'RNES ET YPRES PAR OOSTYLETEREN. 16 S'vtcmbrr SMS. DÉPARTS d'Oofltvleteren ^bureau des postes), 5-2o matin; 2° de Furudl (but eau de| postes), 5-Jo soir. d\)o si v lettre» (bureau des pontes), ;-a5 soir. 3« d'Ypres ^bwreau des postes), iom5 soir. En correspondance arec le train du ehemin de fer arri vant Yprès 9-3$ soir, de Meoin, Court rai, Bruges. abritées A Fartes 7-5 matin. Én «orrespoiidauce avec le train du chemin de fer par tant de Furnes 7-Î0 matin pour Bruges, Roulera, Cour ir ai, Meuiu, Yprès, Popeniighe. A Oostvleteren 7-O0 soir, A Y'pres 9-05 soir. En correspondance avec le train du chemin de fer partant d'Yprès 9-^4 poor Poperingbe. A Oostvleteren 11 -55 soir. Onguent et Pilules Hollowwy Giippe, Rhumes Dans les maladies de gorge et de poitrine, si fréquentes dans ce pays, rien ne soulage si promptement, ni ne guérit aussi suremeut comme ces inestimables remèdes. Ces désordres sout souvent trop négligés dés le piincipe, ou bir-n, ils sont mal traité, d'où résulte, daus l'un comme daus l'autre cas, des conséquences désastreuses. Quelle que soit la coudilion du malade, les mé decines Holloway le guériront, si la guérisoii est possible Elle» arrêteront les symptômes alarmants, jusqu'à ce que le sang soit punlié et que la nature achevé la guérisou. eu restaurant gra- duellem< ut la vigueur et les forces vitales les nerfs. En persé vérant faire usage des préparations Holloway, on ressent bientôt une grande amélioration sur l'estomac et sur tout le système en général, les fluides sont régénérés, la matière morbide est chassée et une heureuse révolution s'opère tra vers le système. du 10 ali 17 aovukbru inclus. Naissances to. Sue masc. 4, sexe fém. 6. mariages. Lefever, Louis; journalier, et Strobbe Sophie dentellière. Vangelowe Edouard, boutiquier, et Dewaegeœncker, Jeanne, couturière. décès. Cbarley, Bernardine 64 anscou turière, veuve de Pierre Mavaut, rue de Tbourout. Cneut, Agnès, 45 ans, cultivatrice, épouse de Jean-Baptiste Parret, Saint-Jacques lez Ypres. Deux morts-nés du sexe masculin. enfants au-dessous de 7 ans 5. Sexe masc. o, idem fém. 3. ÉTAT-CIVIL DE l'OPEKINGHE, S>u sa nu SV Novembre Incluv. naissances 7. Sexe tuasc. 2, idem fém. 5. décès. Denys Jean-Baptiste 65 aos, cultivateur, époux de Jeauue-Tbérèse Dewaucker, Wipperhoek. Leroy, Stéphanie, célibataire, 58 aus, deutellière, rue des Pots. enfants au-dessous de 7 ans 7. Sexe masc. 4, idem fém. 3. fïT T Indiquant les quantité* et le prl* moyen de* Grains, Fourrage* et autre* produit* agri cole* vendu* le 1» tOVEHIlHE IMtS, au marché de cette ville NATURE des Grain* et Denrées. Froment Seigle Avoine Pois Féveroles. Pommes de terre. Beurre QUANTITÉS VENDUES, kilogramme*. 35,000 6,4oo 000 1,300 3oo 9,800 Fit IX «•VKS par 100 kilogrammes. s5-a5 16-62 00-00 21-75 23-00 6-25 5oo-oo 80 75 00 80 80 Pain de farine de froment brute u3 c* le kilo. Idem pour les Fondations de 3o c*, t,5oo grain. P0PF.R1NGHK, 1- NOVEMBRE, i865 Fromenthectolitre, fr. 19-7J. S^ttGIti. M l'A-OO. Avuiue. i,|. 8-00. Pomme, de terre les 00 kilogrammes 6-:5. Beurre te kilogramme, 3-80. Houbtou les 5o kilogrammes, fr. ii5-oo 118-uo.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1865 | | pagina 2