HOFSTEDE, PRAIRIES DE LYS, L'imputation d'avoir fait publier, le 20 janvier dernier, une réponse un article de l'Echo du Parlement a été résolue affir mativement sur la première question, négativement quant aux deux autres, rela tives la gravité. FRANCE. SCHOONE EN GOEDE Gelegen te Zandcoorde, OPENBAERLYK te vebkoopen ÏIPBIRIEB A WARNÊTON. WARNÊTON, PRÈS LA TILLE. WARNÊTON, près la ferme lfxridan. audiences, vienl de prononcer son verdict. Les points relatifs la participation de cet officier la rédaction de certaines publications ont été érartés, l'auteur des articles qu'on lui attribuait s'élant fait connaître devant le conseil. L'accusation d'avoir communiqué des tiers quatre lettres concernant le cimetière de Borgerhout a seul été résolue affirma tivement sur les trois points. La principale question n'a été résolue que par 4 voix contre 5. Le capitaine De Mahieu a exhibé les originaux des lettres écrites par M. Bri I monl, lieutenant colonel d'étal-major, qui les a reconnues authentiques. Il a démontré ensuite que les lettres sont des réponses celles qu'il a écrites ce colonel qui a refusé de produire aucune des lettres oiiginales de M. De iVlahieu sur le cimetière de Borgerhout et a nié les avoir reçues. En conséquence, la suite de ce ver dict. rendu après de longs débats huis- clos, M. le ministre de la guerre va pro noncer sur la peine. Un accident assez grave est arrivé jeudi, près de Gand, sur le chemin de fer de l'Etat. Le train partant de cette ville I heure 25 minutes de relevée, ayant pris une voie contraire, a rencontré un train de maté riaux, organisé pour le service des travaux. Un choc violent en est résulté et cinq voyageurs ont été contusionnés, ainsi que le machiniste, le chef garde et plusieurs ouvriers de la route. Tous les voyageurs ont continué leur voyage. L'administration a immédiatement pres crit une enquête sévère, ftous en ferons connaître les résultats. (Moniteur.) Les naïvetés parlementaires de M. Bouvier sont si fréquentes qu'on ne les compte plus. En voici une toutefois que le Commerce de Gand a parfaitement raison de relever A propos des dépenses pour la cérémo nie funèbre du feu Roi, M. Bouvier, voyant que plusieurs de ses collègues semblaient reculer devant l'élévation des frais, s'écria De pareilles dépenses, je les volerai tou jours avec bonheur! Admirablement trouvé, dit le Commerce de Gand Le mot cité fait pendant avec un autre que le même journal raconte. Un Bouvier de salon fait la rencontre d'une veuve qui pleure encore son mari Votre cher mari est donc mort j'ai eu te plaisir d'assister son enterrement. Paris. 3o avril. La situation s'aggrave d'heure en heure, et chaque mouvement du télégraphe dé chire un coin du voile pour laisser voir la sombre réalité des choses. Toutes les dé pêches, toutes les correspondances, toutes les informations sont nettement la guerre, et les partisans les plus obstinés de la paix se rendent eux-mêmes l'évi dence. On achète en ce moment Paris, pour le compte de l'empereur Maximilien, une bibliothèque volumineuse qui coulera près de cent mille francs et qui partira prochainement de Sainl-Nazaire pour Mexico. Plus de 300 peintres suédois, nor- wégiens et (Bandais ont déjà promis leur concours l'Exposition universelle de 1867, où l'on s'attend les voir figurer avec honneur. Pilules et Onguent Hollotvay.-Pour les plaies cuisantes ou iudolenies, et toutes les maladies de peau provenant de sang pauvre ou impur, ou de sécrétions dépravées, ces deux remèdes combinas soni loui fait irrésistibles. Peu importe le temps depuis leqoel ces désordres durent, ou leur inertie, leur opiniâtreté on leur graviié, une frictiou par jour avec cet Onguent sur les parties affectées et un traiteiueul avec ces incomparables Pilules, effec tueront, sans aucun doute, nue guéiisou, noo pas temporaire, ou sup-uficielle, mais complète et permanente. Cet Onguent et ces Pilules sont com posées de rares plaDtes balsamiques, sans mélange de mercure, ni autre substance délétère. Ces médi caments sont, en conséquence, aussi doux et sains que puissants et efficaces. Le problème de se guérir sans médicament a été pat faitemeui tésolu pat l'tmpoi tante découverte de M VI. Barry, de la Revalenla Arabica Du Barry qui économise cinquante lots sou pnx eu d'autres remèdes. Voici un petit extrait de 65,ooo guéri- sons parfaites N* 62,476. Sainte-Romaine des-IlesSaôoe- et-Loire;, ce 3o décembre 1862. Monsieur, Dieu son béni! La Revalenla Arabica du Barry a uns fin mes 18 ans de souffiauces de l'estomac avec faiblesse et sueuis nocturnes, pour m'accor- der de uouveau le précieux trésor de la sauté. J. Compare!, curé. N* 46,12 t. Melle E. Jacobs, de quinze ans de souffi ai. ces hoi 1 i b> es des uei fs, tu digestions, éi up- 110ns, bysiéiie, mélancolie. M" 48.5 14. Meile E. Yeouiau, de 10 ans de gastrite et tomes les honeuis d'une iirnabiliié nerveuse.N* 49 842. M°" Marie Joly, de cinquante ans de cousupaiion, indigestion des ne< fs, asibœe, toux, fiai us, spasmes et nausées. N" 36,2 12. M. le capitaïue Alleu, de la marine royale, sa fille d'épilepsie. DU ttAhRY, '2y rue de l'Empereur, Bruxelles. Eu boîtes de 114 kil., a fr. 25 112 ktl fr. kil., 7 fr. 11 y* ktl., i(j fr.6 ktl., 32 fr. l'A ktl frauco, 60 f 1.outre bou de post~. -- Se vend d Yt res, chez M Mt H\SL)U, pbartu.; BECUWE, pli.; G EÏ5, pli. MAHIEU, oiitis. ur, et, dans toutes les villes, ciieziespieutiiTS phai iuacieus,épiciers et omifispuis. VAN PATR1M0NIEELEN 00RSPR0NG, BY UE BASSEVILLE, met eene tremie vook des hoogsten isstel. Eene HOFSTEDE, waer van de Gebou- wen in gueden stael zyn, gelegen in de geraeente van Zandvoorde, hy de herherge genaemd de Basseville, langs den keiweg van Zilleheke naer Zandvoordegroot onder Grond derzelve Gebou wen Hof- plaetse, Lochting, Boomgaerd, Weiden, Meerschen, Zaeilanden, Bosch en Singe!- hagen, 16 heriaren, 44aren, 60centiaren. Gebruikt door sieur Henri Waigson, met recht van pacht lot den 1" October 1869, ten matigen pryse van-1200 francs 's jaers boven de contribu'.ien. Verdeeld in zes koopen. Te vergoeden voor de Boomen op deze Hofstede staende 3,130 fr. Den INSTEL zal geschieden den Zater- dag 12e" Mçr 1866, en den OVERSLAG Zaterdag 26'° der zelve maend, telkens ten 2 uren, 1er herherg de Getemde Leeuwen, Botermarkt, le Yperen. De veilvoorwaerden en plan bertisten ten kantore van den Notaris LAMBIN, le Yperen verblyvende, met de Verkooping gelast. Bat men het vooris zegge. pusîsXQira de 22 hectares 50 ares 56 centiares DE BONNES PATURE ET TERRES LABOURABLES, situées Le Mercredi 23 Mai 1866, une heure de l'après midi, au cabaret occupé par Hypolite Hanquart, Warnêlon, en ville; la requête et en présence de Monsieur Elie Misonne, régisseur des Biens de Mon sieur le général comte D'hanins, Demoer- kerke, Bruxelles, il sera procédé la LOCATION PUBLIQUE, pour 9 ans, qui commenceront pour les Terres en Labour le 1" Octobre mil huit cent soixante six et pour les Prairies et Pâture, le 25 Décem bre, de la même année, des Biens dont le détail suit i" Lot. Une partie de Terre Labour, de 3 hectares 34 ares 20 centiares, tenant du levant la fabrique de MDesimpel, du cou chant la maison et bâtiments de M' Ricquier et du nord le pavé. Occupée par Augustin Verecke fermier h W arnêton. Ce lot sera aussi présenté en 4 parties com mencer du levant. 2"1* Lot. Une Prairie de 87 ares 80 cen tiares, tenant du midi ta L\s. du couchant le pré de M' le comte de Brigade de Remland et du nord les terres sous le 1" lot. Occupée par Fidèle Provost, fermier et caba- relier fVarnêton. 3me Lot. Une Prairie de 52 ares 56 cen tiares partie de Bi ielemeerschen) tenant du levant le pré M' Dhrspel. du midi la Lys, du couchant le pré de M' Meurisse et du nord les terres de MEolbrr-cht et Six Baelde. Occupée par le dit Fidèle Provost. 4me i.ot. Une partie de Terre cTun hectare i5 ares, tenant du levant un train de chariot, du midi le dit pavé, du couchant le gravier. Occupée par Hypolite Hanquart, cabarêlier et fermier fVarnêton et son fils. Ce lot sera aussi présenté en 2 parties. 5m' Lot. Une partie de Terre d'un hec tare 32 ares 4o centiares, tenant du levant le dit train de chariot, du midi le quatrième lot et du couchant le dit gravier. Occupée par Jean - Babtiste Delniotte, fermier tVarnêton. Ce lot sera aussi présenté en 2 parties 6ma Lot. Une partie de Terre d'un hec - tare 55 ares 80 centiares, tenant du levant la. terre de Volbrecht, du midi le 5m° lot et du couchant le gravier. Occupée par Pierre-François Méauxsoone- Fremautfermier fV arnêton. Ce lot sere aussi présenté en 2 parties. 7m° Lot. Une Pâture (ci devant labour de 2 hectares 61 ares 80 centiares, tenant du midi, et couchant le verger de la même ferme et du nord le chemin des Loups. Occupée par Zépliiriu Leuridan, -fermier PTarnêton. 8m" Lot. Une partie de Terre d'un he- tare 54 ares 3o centiares, tenant du levant -t midi les terres de Lec.omle Six, du couchait la partie sous le 7™": lot et du nord le dit che min des Loups. Occupée par le dit Lenridaa. Ce lot sera aussi présenté en deux partie4.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1866 | | pagina 3