VENDITIË VAN BOOIEN,
ÉTAT-CIVIL D'\ PRES,
Quelques hommes courageux ont fait
desVprodiges pour sauver les équipages et
les navires. On n'a ici nul engin de sauve
tage. Pour porter une corde bord d'un
navire en détresse quelques mètres du
rivage, il a fallu que le capitaine du navire
Longobordi, père de famille, se jetât dans
une barque et portât aux naufrages la corde
de salut.
On se croit civilisé ici parce que, le jour
du danger venu, on échelonne sur les quais
la garde nationale en grand costume d'ap
parat. Dans le plus petit port de France ou
d'Angleterre on trouverait certainement
plus de secours qu'à Naples, ville de 50
mille âmes. C'est tout simplement hon
teux.
J'apprends l'instant qu'un capitaine
grec et sa famille n'ont pu être sauvés.
Les corps ont été retrouvés, sauf celui de
la jeune fille du capitaine. Une partie de
de l'équipage a été sauvée.
On estime que les pertes dépasseront
deux millions de francs, somme énorme
pour le commerce de cabotage que fait le
port de Naples. On a perdu 3,000 quintaux
de sucre et de café, et 12,000 quintaux de
graines.
A Baja, Castellamare, Torre del Greco,
Torre del l'Annanziata. partout enfin de
grandes perles on» eu lieu. On ne connaît
pas encore les détails. Tout le monde gé
mit sur le manque complet de prévoyancé.
Pas une dépèche n'a été envoyée aux ports
voisins pour avertir que la tempête régnait
dans le golfe de Naples. Puis, une fois dans
ce golfe et dans les soi-disanls ports,
aucun engin de secours.
A Ischia même il y a des pertes déplo
rer. et dans une grotte de celte île pourrit
le bateau sauveteur!
Tout Naples est indigné.
Samedi a été ouverte Londres l'en
quête sur la catastrophe de Hegenl's Park.
Il résulte des dépositions des témoins que
l'accident a eu pour cause principale un
brusque mouvement de la foule des pati
neurs vers lebord du lac. Depuis longtemps
les gardiens du Parc avaient signalé le
danger et tâché de faire évacuer la glace
sans y parvenir. Il parait qu'aucune dispo
sition légale n'autorise la police faire
quitter les étangs. On avait prétendu que
le peu de résistance de la glace provenant
du manque d'eau qu'avait établi le vide
sous la surface congelée. Cefaitest inexact.
On avait dit aussi que la glace avait perdu
de sa solidité parce que les ouvriers du
Parc, l'avaient brisée près dn rivage. Il
parait que cette mesure, constamment mise
en pratique en cas de danger afin de pré
venir le public, n'a jamais eu de consé
quence fâcheuse. En résumé, jusqu'à pré
sent, il parait résulter de l'enquête qu'il est
indispensable qu'une loi vienne donner
la police le pouvoir de faire évacuer la
glace, comme a Paris et ailleurs.
LEDEGHEM, DADIZEELE,
MOORSEELE en ROLLEGHEMKAPELLE.
Den Notaris 277CP.Ï, te Ledegbem,
zal WOENSDAG 6", DONDEKDAG 7"
FEBHUABIUS 1867, telkens îen 10 uren
voormiddag, openbaerlyk verkoopen, op
verzoek der kinderen van M' Capelle, on-
trent 250 koopen seboone zwaere E Y KEN.
POPELIEREN. ABEELEN, OLMEN. ES-
SCHEN en WILGEN BOOilEN, staende
op bunne eygendoramen in gemelde ge»
meenlen.
Men zal beginnen den WoeDsdag by
Petrus Gadeyne, le Ledeghem, noord-west
des zelfs kerk en den Donderdag ter hof-
stede gebruykt door Léo Callens, te Lede
ghem, noord der kerk.
Op gewoône condilien en langen tyd van
betaeliog.
magês. On compte quatre morts et une
vingtaine de blessés. La circulations des
quais est interdite, car c'est sur le qua'
même que les navires sont échoués. Le
port et si petit que, malgré le peu de com
merce que fait Naples. les navires sont
obligés de rester l'ancre devant le port
même et au milieu de rochers; car ici ce
que l'on entend par jetée n'est autre chose
qu'une rangée de roches (leur d'eau.
ANGLETERKI.
L<>kdres, 'j5 janv cr.
Ce roaiio, daos Regeot's Park, oo plongeât
s'est mis k la recherche des personnes disparues
«•ous la glace; il D*a po rester dans l'eau que donze
minutes, et naturellement il n'a visité qu'un espace
cifconsoir. Celte première leotaiive n'a produit
aucun résultat. Dès le premier monieni qnt a saii
i'.cr.ideut les autorités s'étaient empressées de
s'adresser a M. lleinke, demeurant Portland slreel,
in en leur et fabricant d'uo appareil de plongeur.
M. Heii ke s'est mis leur disposition et a présidé
ions 1rs »trangements. I.e plongeur est descendu
dans l'eodroir que l'on présumai) être celui où l'on
retrouverait le plus de viclimes. La foule, très-
compacte sur la ri«e, assistait a-ec une émotion et
ooe perplexité indicibles a cet essai.
D'après la quaultlé d'air eu»ojé au ploogeor
par l'appareil floiiaul, cei homme a dû aller a uue
dislauce assez grande du point de départ. Peut-
être u'avait-il pas suas la glace assez de jour pour
bien distinguer les objets; uue épaisse «oùle de
glace devait l'empêcher de «oir parfaitement les
objets; douze onuuies apiès être descendu, il a
reinouté l'écbelle. Les spectateurs étaient daos le
plos grand éruoi il ne rapportait aucune nouvelle
du fond du lac, n'ajaut pas «u de cadavres. Après
avoir pris un peu de repos, il est redesceudu il
continuera ses recherches pendant la journée. Un
graod nombre de pêcheurs de Kew avait offert
aux autorités de souder les profoudeuis du lac
avec leuis filets. On a refusé leurs services.
[Evening Star, 19 janvier.)
Onguent et Pilules Holluway. Ces médica
ments ont donné pieu«es sur preuves qu'ils étaient
les meilleurs amis des personnes affectées d'ulcéra
tions, de maux de jambes, de plaies, d'abcès fistu
les et autres maladies pénibles et compliquées. Des
iostruclions imprimées el liés claires pour l'appli
cation de l'Onguent entourent chaque pot. Les
Itérantes Pilâtes Holloway seront prises, pendant
tout le cours delà guérison, afin de maintenir le
sang dans un étal de pureté parfaite et d'empêcher
que la santé du corps eulier ne soit mise en pénl
par cette indisposition locale; les maux de jambes,
les souffrances d'un âge avancé, sont aussi rapide
ment guéris sans obliger le malade garder le lit,
ni le priver d'un généreux souiieo, si impérieuse
ment demaodé, alors que les débilitaoles maladies
attaquent la vieillesse ou les constitutions offrant
uue décrépitude prématurée.
cure du pape: Rome, 31 juillet 1866: La
santé du Saiot Peie est excellente, surtout depuis
que, l'abstenant de tout aune remède, il fait ses
repas de la revslenta arabica du barry,
qui a opéré des effets siirprenanls sur lui. Sa
Sainteté oe peut assez Inuei les avantages qu'elle
ressent de celte excellente farine doui elle prend
une assiettée chaque repas. Correspondant de la
Gazette du Midi.
La Revalenta Arabica Du Barry, délicieux
aliment réparateur, a opéré ti5,ooo gueusous sans
médecine et sans purger. Elle économise mille fois
son prix et d'autres remèdes, reodsut la parfaite
santé desorgaoes de digestion, des nerfs, poumons,
foie et membrane muqueuse, aux plus épuisés
même, daos les mauvaises ou laborieuses digestions
(dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations
habituelles, béinorihoiries, glaires, veois, palpita
tions, diarrhée, gonflement, étourdissenieui, bour
donnement aux oreilles, acidité, pituite, naosées
et vomissements même eu grossesse, douleurs,
aigreurs, crampes et spasmes d'estomac, insomnies,
tonx, oppression, asthme, bronchite, phrhisie (con
somption), dartres, éruptions, mélancolie, dépéris
sement, rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhes,
hystérie, névralgie, vice du sang, bydropisie, man
que de fraîcheur et d'énergie nerveuse.
Extraits de 65,000 guérisons. N* 52,081,
M. le duc de Pluskow, maréchal de Conr, d'une
gastrite. N* 48,842, M0" Marie Joly, de 5o ans
de constipation, indigestion, des nerfs, asthme,
toux, flatos, spasmes et nausées. 4
uu rarry, 13', nos de l'empereur, bruxelles. eu
boîte.- (te 114 kit., 2 fr. a5; i|2 kit., 4 fr.I kit., n fr.j 3 ||2
kit., 16 fr.6 kit., Sa fr. 12 kil franco, 6o fr. Contre bou
de poste, la HevaUnta chocolaté* du Barry. a lira eut exquis
pour déjeuner et souper, éaiiuemmeul nutritif, assimilant et
forti6aut les oerfs et les cha rs, saus causer de maux de lé<e,
ni éch.ulferaeut, ui les autres inconvénients de- chocolatsnr-
dinairrraeut eu usage. Eu bottes de ra tasses^ fr. a-a5; 24
tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7; 288 tassrs, fr. Ja; 5-6 tasses, 60
(r.-- Se rend Vpres che: M M frysou, pharm.; BECL'WE'
ph. t». eys, ph.; M A Ht EU, confiseur, et dans toutes
les villes, chex les pi entiers pbarmacùus, épiciers et confiseur s.
Dl: 1g AC 23 JANVIER INCLUS.
naissances 7.Sexe masc. 3, sexe fém. 4.
décès. Delacroix, Laure, 17 ans, saos pro
fession, rue de Tboorout.Priera, Rosalie, 41 aos,
couturière, célibataire, rue des Plats. Declercq,
Marie, 67 ans, dentellière, célibataire, roe de
Menio.DestnedtMarie, 11 ans, s* Jacques lez
Ypres. Haoquaert, Cathérioe, 5t ans, sans
profession, célibataire, roe de Thouroui.—Serryn,
Pierre, 67 ans, journalier, époux de Marie Debeir,
rue de Menin.
Enfants au-dessous de 7 ans 4. Sexe
masc. 3, idem fém. 3.
ÉTAT-CIVIL DE POPERINGIIE,
Du 19 au ti Janvier Inclus.
naissances 7. Sexe masc. 3, sexe fém. 4.
Décès. Vermeersch, Rosalie, 18 bds, den
tellière, célibataire, Edewaerlhoek. Bakker,
Marie-Claire, 78 ans, sans profession, venve de
Pierre-Albert Doodeioerue Saint Michel.
Huysseune, Pierre-Joseph, 76 ans, sans profession,
épouse de Marie-Cécile Chielens, Hôpital.
Enfants au-dessous de 7 ans 5. Sexe
masc. 5, idem fém. o.
MARCHÉS.
POPERINGHE, 25 JANVIER 1867.
Fromeut, piix moyeu par hectolitre fr. 37-28.
Seigleid. 1 q*5o.
Avoiueid. 9-00»
Poinraes de terre les 100 kilogrammes, 8-5o.
Beurre le kilogramme, 2-90.
Houblon les 5o kilogrammes, 170-00 17J-00.
YPRES, 26 JANVIER 1867.
ÉTAT Indiquant le* quantités et le prl* moyen
de* Grain* Fourrages et autres produits agri
coles vendu* au marché de cette ville*
NATURE
QUANTITÉS
PRIX
u
VENDUES.
mvrci
0 "S
TT
DES
L
par 1(10
S i
Grain* et Denrée*.
Kilogrammes.
kilogrammes.
l -S
Froment
19,000
36-a5
80
6,4oo
33-75
75 i
800
23-25
44
Pots
5oo
24-5o
80
Féveroles.
4oo
26-35
80
Pommes de terre.
3,ooo
10-00
Beurre
260-00
Pain de farine de froment brute 32 c* le kilo.
Idem pour les Fondations de 3o c*, 930 grara.
MERK.WEERDIGE
te