OVERSLAG. EEN HUIS LISTE INSTEL, P. BEKE. Ingesteld 1,550 francs. Ingesteld 1,250/ ranes. Ingesteld 7,î500 francs. Ingesteld 8,500 francs. Ingesteld 4,700 francs. Un journal français signale un lait assezcurieux L'aiméederitière, M"" ilelj..., alors âgée de quarante cinq ans, épousait en secondes noces un jeune Itomine de dix-huit ans. Ile son premier mari. M"" de B... avait un fils, aujourdltui âgé de vingt- six ans. M™' de IJ..., est morte lu semaine dernière. Elle a partagé sa fortune entre son fils et son époux; mais comme celui ci n'était pas majeur, on a dû assembler un conseil de famille, etle fils île M®" de U... a été nommé le tuteur de son beau- père. Encore un petit perfectionnement dans l'art de tuer! Il est question pour la cavalerie française d'un sabre revolver qui laisserait bien loin en arrière les fantaisies du genre. Autour de la garde seraient adaptés six canons de pistolet fonctionnant avec une précision qui ne laisserait rien désirer. ITAU r. I.e duel annoncé entre M. Rattazzi, pré sident du conseil des ministres Florence, et M. le marquis Pepoli. allié, comme ou sait, la fatnile impériale, a eu lieu ces jours derniers; M. Pepoli a été légèrement blessé au bras. Le cause de ce duel est le livre de Biche- ville, publié par M"" Rattazzi, livre plein d'allusions offensantes pour un grand nom bre de familles florentines. M. Rattazzi a reçu encore, dit-onune quinzaine de provocation pour le même Il est supposer que M. Rattazzi, en épousant M"' de Solms, ne prévoyait pas tout ce qu'il lui faudrait épouser par sur* croît. M. Rattazzi et M. Pepoli seront-ils déférés l'incorruptible justice italienne pour ce duel? Les sauterelles se sont abattues sur l'île de Sardaigne. LOpinione raconte qu'on leur donne la chasse et qu'on en prend quatre hectolitres par jour. Ce n'est pas encore formidable. L'Indépendance ne se fait plus guère d'illusions sur la solidité et le crédit de l'unitarisme italien. Elle en est aux aveux dépouillés d'artifice. Voici un extrait de sa correspondance florentine Le public est un peu effrayé de cette dépréciation constamment croissante de vous les titres qui tiennent de près ou de loin l'Italie. La consternation est partout; un peuple se résigne bien des choses, mais rien ne l'effraieplusque la perspective de la misère. Toutes les fortunes mobilières ont subi en Italie en moins de dix ans une dépréciation qu'on peut évaluer GO p. c. motif. COMMERCE. Courtrai, 6 Mai. Froment, par hectolitre, ld. Seigle, IOO ki!., A toi ne Fêtes, Pommes de teire M., ht. 'oug., Beuire, par demi kilog., OEuts, par 3Ô, Huile de col»*, io5 kil., Id. de lin, io5 iraioe de co'za, l'heul. fr IJ. de lia, Tonneau» rte col»», i go kil., u ld. de lui, IJ. chantre, Marché au bétail est resté le même. 2 55 hères ont éié exposées en tente; vendues >32. Les taches ont été tendues de fr. 155 a fr. 27-47 oo-oo 16-9- OO-OO 00-00 12-00 a 12 -5o ia-5o j5-^5 1-00 a 1-26 1 56 i-54 flor. 46-o5 - 46 00 47 o5 47-00 fr. 58 00 00 00 5g 00 b 00 00 iô 5o b 00 00 23 00 28 5o i4-oo a 00-00 680 les génisses de 275 a 620; les taureaux de 2 to 53o; les bœ«»f$ de 5 10 ^5o. Hê es h coi es de 1r# classe poids «i«ant, 80 k 82 c. le «Ifiui-kilo, a* classe, 60 b 63 c., et la 3* r.Usse 45 fa 5o c. La iande «le bœ««f se fend de i-3o b 1-60 c. le Heivii Kil. Artillerie Royale. Onguent et Pilules HolloivayUn sergent de l'artillerie royale, fciit, en ilaie do 12 Décembre 1862, de Poona- «n 11 née, Présidence de Madras, qne sa jambe droiie, depuis la cheville jusqu'au mollet, émit un foyer de maladie et de cou option, qu'il était conflué dans un hôpital, depuis un an sans aucune amélioration a ses sonfltarices et qu'eu désespoir «le cause, il lésolut de faire l'essai des célèbres Pilules et On guent Holloway. Ces remèdes le soulagèrent bien tôt, chassèient les mauvaises humeurs «Je sa jambe, gtiétiienf ce mal qui paraissait incurable et le resimirèrent a une santé parfaite. Nous recom mandons d'une façon tonte particuliere aux soldats et aux marins d'avoir recours a ces précieux médi caments pour la guétison des vieilles blessures, plaies et ulcères, plus particulièrement quand ils piovieilnent d'iinptudeuce et qu'ils semblent incu rables. LA MORTALITE* ses causes et ses adoucissements. Il est tres-péuible pour uu tiomme «lerdire qu'il lie sait pas, surtout dans une malièivqu'il professe ou qu'il est censé devoir connaître. Sa réputation lui défend de confesser sou iguorauce. De là le grand accroissement des soi disant maladies de cœur. Le médecin ne sachant pas, sans doute, discerner immédiate ment la cause de la maladie, trouve uu moyen tout piét de se tirer d'embarras, en fatti i huant une maladie de oueur. Ou ne nous comprendrait pas si nous disions que ces milliers de maladies de cet organe, le principal de la vie, n'existent point; mais nous pensons fermement que plusieurs maladies, dites de cœur, ue sont que le résultat de la circulation impaifaite du saug, causé par une mauvaise indigestion. Dans de tels cas, le meilleur et le plus prompt moyen «te soulagement se trouve dans les Pilules Holloway, qui ont obtenu une réputation universelle. Elles agisseut directement sur le sang, ce véhicule par lequel la nourriture se répand dans tout le système, et ttiiliiecteioent sur toutes les parties du corps, restaurait! celles qui sout désorganisées, et «humant une nouvelle vigueur aux autres non encore atteiutcs. Des tuil iers «le guérisotisobtenues et «l'ixtsteuces préservées sont la pour prouver leur efficacité. Le vaste établissement «l'Holloway (avec ses innombrables agences, son immense correspondance, et l'éuoime quantité de sa publicité), sou intelligent système, au! moyeu duquel ses Pilules et sou Onguent sont dirigés dans chaque partie «lu gl«»b«\ est une des met veilles commerciales du monde. Per- - sourie, sinon uu esprit supérieurn'eût pu concevoir un tel plau. Il ne fallait rieu moins que l'élieifgie et la persévérance (l'un autre Napoléon pour pouvoir le meu« r a bien. On dit qu'il ue se trouve presqu'auouu ouvrage imprimé, en «pielque langue que ce soit, où le 110111 d'Ho loway n'ait appuiu, ni aucun port, de quelqti'impm tatiee, sur le livage de l'océan, rie la mer, ou d'uuc baie, où ses médecines ne soient pas réguliè rement consignées. Ce sont des curatifs d'origine civilisée qui ont £*gué la confiance d<-s nations sauvages et demUsànvng«;s Les Malais, les Birmans, les Chinois, les Hindous, les indiens des Deux Amériques, et, en fait, toutes les uations de couleur qui sout en communications arec les contrées chrétiennes ont pliisou moins expérimenté h-ur influence fortifiante et curative. Peu de temps avant la récente insurrection des natifs de l'Inde, nue lorte commande fut envoyé.; par le Roi de Suun a l'Agent «PHolloway a Singapour; et le Roi d'Onde, pendant sou dernier séjour a Londres, déclara q .e les Pilules et l'On guent Holloway étaient lesdoux les plus précieux qne la Grande Bietagne eut accordés au monde oriental. Thk Namtih.kias. DES il tf Le Collège des Bourgmestre et Echevins de i.v ville d'ypres, Vu l'article 45 de la loi du 3 Mars 1851 et I arrête delà Réputation permanente du Conseil provincial en date du 26 Avril 1867; Informe les habitants que la LISTE DES EEIGIIILES AL SEMAIdomiciliés dans la provincede la Flandre Occidentale,dres sée par la Dépulation permanente du Con seil provincial, conformément l'article 44 de la loi électorale et l'arrêté Royal du 14 Avril 1832, se trouve déposée au Secré tariat, a I llôtei-de iIlel'inspection du public jusqu'au 20 Mai courant. Toute personne qui aurait été indûment inscrite ou croirait avoir se plaindre d une omission ou de toute autre erreur commise son égard dans la rédaction de la liste dont il s'agit, pourra présenter sa réclamation la Dépulation permanente du Conseil provincial en y joignant les pièces justificatives. De même toute per sonne jouissant des droits civils et politi ques, pourra réclamer contre chaque inscription indue; dans ce cas, le réclamant joindra sa réclamation la preuve qu'elle a été par lui notifiée la partie intéressée laquelle aura dix jours pour y répondre partir de celui de la notification. Toutes les réclamations et tous les actes y relatifs pourront être écrits sur papier libre et seront dispensés de l'enregistre ment ou enregistrés gratis. Ainsi fait en séance, Cllôtel de-Ville, le 4 Mai 1867. les bourgmestre et tchevins, L'ADMINISTRATION COMMUNALE de la ville d'Ypres, donne avis qu'une place d'Instituteur dédoublant pour la 1" année d'Etudes I'Ecole Communale gratuite pour garçons, se trouve vacante. Lelrailemenl y attaché s'élève 1.000 fr. Les demandes doivent être adressées le plustôt possible la dite Administration. DYNSDAG 14" MEY 1867, om 3 ure namiddag, ter herberg de Zwaen, op de plaets van Ooslvleterenzal de Notaris aldaer residerende, voorts- varen toi den DEFINITIVES OVEIISLAG der navolgende Goederen 1° Een HUIS en ERVE in de Kerk- straet, le Ooslvleteren gebruikl door sieur Benjamin Wulleman. 2° Eene party BOSCH gelegen te Oostvleterenlangst de Nieuwe straet, groot 58 aren 47 centiaren. o" Eene goede GRASWEIDE, gelegen te Oostvleteren, by de plaets, aen den noordkant van den steenweg naer Re- ninghe, groot 98 aren 23 centiaren 4° Eene schoone party DRYFGRAS. gelegen op Reninghe, groot 1 hectare 57 aren 80 centiaren. En 5° Eene party ZAKII.AND. onk gelegen op Reninghe, groot 92 aren 74 centiaren. WOENSDAG 15" der gemelde maend MEY. om 3 ure namiddag. in d'berherg de Zwaente NVoeslen. zal, door bel minis- terie van voornoemden Notaris POUR ART, den INSTEL eeburen van en 5 aren 80 centiaren GROND en HOVE- NIERHOF daermedegaende gestapn en gelegen 1er plaets van \Yoe<len. aen des oostkant van den steenweg; gebruikt door Setecisus Bacs.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1867 | | pagina 3