TRÈS-BELLE VOITURE marchés!- MAISON DE CAMPAGNE, ETAT-CIVIL D'ÏPKES, il M 8 <2 18 7" A VENDRE toutes deux comme neuves, Étude du Notaire VEYS? de Saint-Vincent de Paul, lorsqu'il" contre onlie legreiiible int s opposer »u départ de ces person nes si dé'ooées lieur présence eût été cependant fiieti utile pour le pansement des blessés. I' nrms a été donné de «isitei hier cette infor tunée commune. Dans la plupart des maisons, des c.adatres on des blessés! Sur les douze «intimes, quatre sont de Louesmes, les huit autres étaient des persuTitres «ennes do dehors. I.es douze «ictimes nppaitieiuieiit an sexe féminin, l'usage étant que les hommes se placent au chœur et dans sou oisinage. On cite une particularité na»»ante. feux jeunes pet son très, les deux sœurs filles d'un riche «:illw»ai«iil de la («range Didier, étaient tenues a la pTeioiihe communiuii de la filleuUe de l'une d'el les elles oui e'té broyées littéralement l'une côté de l'autie La femme de l'instituteur a été également broyée sons un énorme bloc de pierre, et ce n'est que par les «éléments qu'on a pu la reconnaître, elle et tarit d'autres! PRUSSE. On écrit de Dresde, 15 mai, VEurope On pense, non sans raison, qu'à la ques tion du Luxembourg succédera, une épo que plus ou moins rapprochée, une antre question d'une solution incomparablement plus difficile celle de I évacuation de la garnison prussienne de la forteresse hes- soise de Mayence. La France voudra savoir en vertu de quel principe la Prnsse tient garnison dans une forteresse étrangère ce pays, dans une place de premier rang, située quelques lieues de la frontière de France, et cent cinquante lieues de Paris. Déclarée forteresse fédérale en 1825, Mayence a cessé de l'être, comme Luxem bourg, depuis que la Prusse a immolé la Confédération germanique son ambition. La Prusse n'y lient donc plus garnison qu'en vertu d'une convention militaire qu'elle a conclue, après le traité de Prague, avec la Hesse. Or, il s'agit de savoir si la Prusse peut, sans consulter la France, renouveler avec la Hesse un contrat dont les conséquences sont une menace continuelle pour l'indé pendance el la sûreté de l'empire français. Il s'agit de savoir si la France peut re connaître la Hesse un droit que la Prusse n'aurait pas reconnu au Hoi de Hollande, si celui-ci availvoulu permettre la France de tenir garnison Luxembourg. Il s'agit de savoir si la France aurait le droit de s'opposer ce que la Prusse tînt garnison Kastatt et Ulm. Admettons le cas, très-invraisemblable, que la Prusse fît une convention militaire avec la Suisse, dont près des deux tiers sont de race germanique; cette puissance serait elle admise établir un camp re tranché aux portes de Bâle? Ce que la France a pu et pourra toujours accorder une véritable confédération d'Etats, tel qu'était autrefois le Bund, de Francfort, sa propre sûreté lui défend de le concéder une puissance qui, comme la Prusse, ne vil et n'a jamais vécu que de conquêtes. Un État qui, son berceau, rie comptait guère plus de cinq millions d'àraes, el qui, après un peu plus de trente lustres, en compte environ vingt quatre millions n'est guère propre inspirer beaucoup de con fiance ses voisins. Ce sont des États pareils qui font que, dans tous les temps, la fraternité des peu ples et le paix universelle resteront une pieuse utopie. Ce n'est point sans but que la Prusse lient aux forteresses; elle voit bien et loin. i Le village de Dreissigacker. situé une demie lieue de Meiningen, a été détruit presque complètement par un terrible incendie. En moins de deux heures, 143 bâtiments étaient brûlés. L'église récem ment reconstruite et dans laquellese trouve la tombe de Beclistein. le célèbre arboricul teur, a été sauvée. Le feu a pris dans un magasin de bois où des enfants avaint joué avec du feu. ITALIE. Il Uiritto prétend que le Roi Victor- Emtnanucl aurait reçu de l'Empereur ÎSapoléon une lettre autographe pour l'in viter venir Paris au mois de juin, el lui annoncer qu'à cette époque l'Empereur d'Autriche sera également Paris. Movimenlo Pilules et Onguent llolloway. l.es person nes abattues pat la uiau.aise santé lie dul»eul poiut dé-espérer, jusqu'à ce qu'elles aient consciencieu sement fait tin bon essai de ces surs remèdes. Un g. and point est noter, c'est que dans aucun cas, elles ne peinent fane de mal, parce que ces Pilules comme l'Onguent, sont composées de plantes bal samiques qui purifient, légulaiisenl el foitifieut l'économie animale. Chacun peut en toute confiance recommander ces remedes a ses amis affligés d'une mauvaise sauté, ils les déli«reiout des maladies et leurs procureiont le plus grand bien qu'on puisse désirer. Les maladies luterneset externes n'ont pu tésister au peisétéiaut usage des Ptluleset Onguent Holloway, alors même que la dutée des unes et les douleurs atroces des autres a«aiéut défié les traite ments ordinaires. DU 17 AU 24 MAI ISCLIS. Naissances ta. Sexe masc. 6, sexe fétn. 6., Mariages. Jolyt, Prosper, secrétaire du parquet, et Lambin, Zélie, sans profession. _A Uossaert, Hector, a«ocat, et Joos, Marte, rentièrej décès. Iweius, Louis, 72 ans, propriétaire, veut d'Amélie De Codt, rue de Thourout. Debal, Louis, 68 ans, caulouoier, époux de Rosalie Seiuiuet, rue Gaspar Konyu. PateyuCharles, 55 ans, cordonnier, époux de Virginie Vanbouite, Marché-au Bots. Vlaemyuck, Pierre, 66 ans, journalier, époux de Barbe Cha*oiot, rue de Me- ntu. D'huysser, Colette, 45 ans, deutelltèie, célibataire, Place S' Pierre. Enfants au-dessous dr 7 ans 2. Sexe ruasc. 2, idem létu. o. ÉTAT-CIVIL DE POPEK1NGUE Ou <3 nu ta Mal Inclus. Naissances 2. Sexe masc. 1sexe fém. 1 Mariages. Dewachter, Apoleon, 3i ans, serrurier, célibataire, et Toussaint, Philomène, 25 ans, dentellière, célibataire. Bruneel, Henri, 28 aus, ouvrier agricole, célibataire, et Platevoet, Eugénie, 34 ans, servante, célibataire. Ver- baegbe, Julien, 26 ans, peintre en bâtiments, céli bataire, et Debrnyue, Mathilde, 46 aus, couturière, veuve. Décès. Vanbée, Louis, 5o aos, colporteur, époux d'Amélie Verbaegbe, hôpital. Tbevelin, Rosalie, 5a aus, célibataire, particulière, rue des Pi êtres. Lava, Aune, 75 aos, boutiqutère, céli bataire, rue des Pots. BertranJ, Eugénie, 89 aus, sans profession, veuve de Joseph Houvveu, Hagebaertboek, Notre Dame. PladysBarbe, 75 ans, sans professioo, veuve de Ferdioaud Bus- son, hôpital. Enfants au-dessous de 7 ans 4. Sexe masc. 4, idem fém. o. POPERINGHE, 34 mai 186;. Froment, prix moyeu par hectolitre fi. Seigle id. i4-ro, AvoineM. g-5o. Pommes de terre les :oo kilogrammes, 10-00. Beurre le kilogramme, 3-60, Houblon les 5o kilogrammes, g- a 100 fr! YPRES, a5 MAI 1867. HTAT Indiquant les quantité» et le prix mojea dr» Grains, Fourrages et autres produits agri coles vendus au marché de cette ville 1 NATURE DES Grain* et Denrée*. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX HIIM par 100 kilogrammes. Froment Seigle Avoine Pots Féveroles. Pommes de terre. Beurre 35,3oo 8,200 600 1,600 2,000 4,ooo 34-12 23-5O 24 00 24-00 a3 75 12-25 230-00 80 73 44 80 80 ilo. Pain de farine de froment brute 31 cs le Idem pour les Fondations de 3o c", 960 gram. c»—oCM—sm une et une ià ET AYANT TRÈS-PEU ROULÉES; DE PLUS, VENDRE UN Cliar-à-Bancs et un Phaëton, A voir au Château d'Elverdinghe. A VLAMERTINfîHE. Ledit Notaire V27G adjugera le SA MEDI 1" JUIN 1867, 2 heures de relevée, l'estaminet les Trois Savoyardssitué Ypres, Marché-Bas, n" 15 UNE TRÈS-llELLE dépendantde la successiondeM'DECONtNcK, contenant 5 h. 19 a. 38 c., située sur le territoire d'Ypres, 11/2 kilomètre de la ville et proximité du village de S1 Jean divisée en les 4 lots suivants 1" Lot. La MAISON d'habitation et de jardinier, avec Ecut ie, Bemise, Kiosque, Poulailler, Arbres d'agrément el Fruitiers, contenant parmi Fonds bâtis. Jardins d'a grément et potager. Pépinière, Etang, Verger, Pré et Terre 3 h. Ci a. 94 c. Mise-à prix 36,200 francs. 2"4 Lot. - Une PATURE GRASSE, con- tenant 97 ares. Mise-à prix 6,925 francs. 5°" Lot. Une MAISON, Atelier de charron, Grange et Élable, contenant par mi Fonds bâtis et Jardin 18 a. 24 c. Mise prix 2,900 francs. 4"" Lot. Une parcelle de TERRE, contenant 40 a. 20 c. Mise prix: 1,100 francs. Les Biens décrits sous le premier lot pourront être visués le Mardi et le Mercredi de chaque semaine, de 2 6 heures de relevée.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1867 | | pagina 3