HOFSTFDEN, VRUCHTEN OP STAM, DEUX BELLES MAISONS TOESLAG COMMEIICK. -81 2©M[£(fâ y 0 Y Y i IL BECELAERE EN MOORSLEDE. Den Notaris CHRISTIAEN, le Pas- schendaele, zal op W'OENSDAG 17" JULY 1867, len 3 ureo namiddag, 1er herberg bel Gemeente Huis, bewoond by de weduwe Brouckxou, le Passchendaele, in bel dorp, overgaen loi de VOLSTHEKTE TOEWY- Z1NG van de volgende Goederengelegen op: Eene goede en wel bebouwde HOF- STEDE, groolin Ervell. 10 03 80, gebruikt door de kinderen Uepuydt, miis fr. 1,100 boven de laslenby de jare, inel pacbl lot 1" Oclober 1871, verdeeld in 9 koopen. lngesteld in massa fr. 34,000. En 2° Eene zeer goede IIOFSTEDE, grool 11. 3-87 06, gebruikl door Louis Lo- wage, mils fr. 550 's jaers boven de laslen, mel pacht lot 1" Oclober 1867, by blak- sebrift ook verdeeld in 9 koopen van 10 loi en rael 18, siaende te welen lngesteld fr. 5,260 lngesteld fr. 3,905 lngesteld fr. 1.375 lngesteld fr. 2,275 lngesteld fr. 4,000 De voorwaerden by dito Notaris CHRIS TIAEN en by den Notaris DUFOHT te Le- deghem. VENDITIE =s HEERSC1I- EU KLAYERliOOY. NORMANDSCH RUY N PEERD LM©®@yWiEfô© HALAEND, Op hel hofsledeken alwaer SIEUR CHARLES LOUIS DETURCK TE HOLLEUEKE, Den Woetisdag 17e" July 1867, Door 'I ambt van den Notaris LAMBIN, l'Yper. pocr sortir d'indivision. A YPRES. Le Notaire TITECA, Ypres, présentera publiquement en vente les Biens suivants: VILLE D 1 PUES, Bue du Lombard. Dernièrement occupée par Monsieur le général Abry au prix de 900 francs par an. Occupée par Monsieur Dumenil, agent du trésor, au prix de 650 francs par an. Les deux Lots formant un carré, seront aussi présentés en masse. Ces Maisons sont voir le Mardi et le Jeudi de 10 heures midi et de 2 4 heu res de relevée. Les clefs de la Maison inoccupée sont déposées chez Mr Louis Vandevyver, rue de l'Etoile, n* 8. Cette Vente aura lieu en deux séances savoir la première pour la MISE A PRIX le MARDI 16 JUILLET 1867, et la seconde pour Y ADJUDICATION le MARDI 30 du même mois, chaque fois 3 heures de 1 après midi, I estaminet le Fournier, près de la station du chemin de fer Yprès. Les titres de propriété sont déposés en l'étude du Notaire T1TKC4, Ypres, Nouveau Marché an Bois, n* 8 Quand od fut tout en haut de la colline, Maximi- lieo regarda fixement le soleil levant, pois, tirant sa moolre, fii jouer un ressort qui cacbe le portrait, excessivement réduit, de l'impératrice Charlotte. Il le porta ses lèvres, puis, tendant la chaîne l'abbé Ftsher Pariez ce souvenir en Eorope d ma bien chère fennue, ci, si elle peut jamais vous compren dre, dites lui que lues jeux se fermeront avec son image, que j'emporterai l'a haut a On était arrivé près de la grosse muraille exté rieure du ciraeuère; les cloches sontiaienl lentement le glas des agonisants. Les personnes seules de l'escoiie étaient préseules, car on avait barré la foule pour l'empècber de gravir la hauteur. Les trois banquettes avec les croix de planche furent appliquées contre le mur; les trois pelotons d'exécuiioo composés de cinq hommes, chacun avec denx sous officiels de réserve pour le cobp de grâce, s'approchèrent trois pas des coudantnés. L'Empereur, au mouvement des fisils, crut qu'on allait tirer, et il s'appiocba vivement de ses deox compagnons qu'il embrassa avec une tou chante effusion. Miimuou, surpiis, se laissa presque choir sur la banquette, nù il resta affaissé; les Fran ciscains lui étendirent les bras en croix. Mejiaren- reodit Matituilien son étreinte avec des mots entrecoupés que personne n'a euteudus; puis, il se croisa les bras sur sa poitrine sans s'asseoir. L'évêqne s'avançant.dit Maximilten «Sire, donnez au Mexique tout entier, eu ma personne, le baiser de réconciliation que Votie Majesté par donne tout l'heure suprême. L'Empereur, agité intérieurement par une émo tion visible, se laissa silencieusement embrasser. Pois, élevant la voix avec force, il s'écria Dites Lopez que je lui pardonne sa tra hison; dites au Mexique entier que je loi pardoooe son crime! Pois, Sa Majesté serra la main de l'abbé Fisber qui, ue pouvant parler, tomba aux geuoux de l'Empereor eo couvraut de larmes ses deux tnaios qu'il baisait. Beaucoup de geos pleuraient abondamment Maximilieu dégagea avec douceur ses mains, et, faisaut on pas en avant, dit ironiquement avec un «ristesouriteâ l'officier qui commaudait l'exéculiou: A ta dispos iciun de ustedl Au moment où, sur un signe de l'épée, les fosils «'•battirent sur sa poitrine, il murmura quelques tnots eu allemand et la détonation enveloppa les spectateurs de fumée. Miramoo roula foudrojé comme une masse. Mejia, resté debout, battait I air de ses bras, une balle dans l'oreille vint l'achever bout portant. L'Empereur fut renversé sur la croix, qui soutint son corps; ou l'enleva aussitôt et ou le plaida dans le cercueil avec les deox généraux. La sépulture fut donuée sut-le-champ ces restes mortels dans le cimetière même et l'évêque dit l'absoute. Le général Corona fit appeler l'évêque et exigea la remise des lettres. Celle de 1 archidu chesse Sophie De fut pas ouverte. Celle de l'im pératrice Charlotte dut être décachetée, et il a été permis au secrétaire de preudre cette copie Ma bieo-aimée Charlotta, Si Dieu permet que lu guérisses ua joar et que tu lises ces lignes, tu apprendras toute la cruauté du sort qui me frappe sans relâche depuis ton dé part pour l'Europe. Tu as emporté avec loi ma fortune et mon âme. Que n'ai je écouté ta voix Tant d'événements, hélas tant de coups subits ont brisé le faisceau de mes espérances, que la mort poor moi est la délivraoee heureuse et oou l'ago nie. Je tomberai glorieusement comme un soldat, comme ou roi vaincu, mais non déshonoré... Si tes souffrances sont trop vives, si Diea t'appelle bien tôt me rejoindre je bénirai sa maio divioe qui s'est appesantie sur nous.., Adieu... Adieo! Ton paovre Max. d Cette lettre est écrite en français. Pilules Holloway. Dysp-psie, Indiges tion, Flatulence, Cardialgie, Nausées, Manque d'Appétit, Affections Bilieuses. Les philo sophes français fout remonter les pensées intellec tuelles l'état de l'estomac; il j a beaucoup de sagesse dans cette spéculation; l'estomac est au corps plus que la cuisine a l'appartement de fa mille est-il la moindre des choses dérangé, que tonte l'écnooroie interne est dérangée. Uo jeune homme peut sourire cette comparaison et ne pas croire aux redoutables sacrifices que l'indigestion exige de Ses victimes. Un jour tiendra qu'il se plaindra de dvspepsie, connue l'ont fait des rutl- liers de petsonues de plus fortes coiisiilutiou; alors, il sera bon, pour leur bonheur et leur bien-être, qu'ils se rappellent ces mots prophétiques et qu'ils aient leur portée les Pilules Holloway comme sati regarde. Courtrai 8 Juillet. Froment, par hectoliiie, fr. Id. roux, Seigle, A>uine, Fè«es, Pointues de terre bl100 ktl., 8 oo Id. foug., g oo a B'tiire, par demi kilog., 1-17 OEuts, par 25, 1 7 j Huile de colza, io3 kil., ffor. 4g 10 h Id. de lin, io5 5o 15 Graine de colza, l'bect. fi. 00 00 i> IJ. de lin, 3g 00 Tourteaux de colza, 1 00 kil., 1 4 5o a Id. de lin, 23 5o a Id. chanvre, 13 60 4 26 92 00 00 17-4a 11-21 00 00 g 00 10 00 1 1 - 49 00 ÔO - I o OO 00 00 00 t4 75 00 00 00-00 -10 van tvvee f at ri mo ni elk Trf«ao<-~- Becelaere en Moorslede, wyk Keiberg. Moorslede, gehuchte Slyps. Koopen 10 en 11.— De Hofplaeis,mel Ge- bouwen,Erveen Zaeiland, grool 11.1 04 26. Koopen 12 en 18. Zaeilanden, groot H. 0 89-80. Koop 13. Zaeiland, groot H. 0 33 00. Koop 14. Zaeiland, groot H. 0 57 90. Koopen 15, 16 fn 17. Zaeilanden en Meersch, grool H. 0 96 10. IK1 II VAN ZF.ER GOED OUD 9 JAREN, MET ZYNE BARNASSUHE, KN ll\ onlangs overlf.dbn is ten l uer, iraïtaa de Premier Lot. Une MAISON DE MAI TRE avec Porte cochère. beau Jardin, deux sortes d'eau, Ecurie et autres dépendances, côtée n# 17, tenant de l'est la maison et le jardin île Monsieur Duval, de sud la rue dite Schullelaerslraeljen, par où elle a une sortie, et la propriété de Monsieur Vande- vyverde nord la rue du Lombard et de l'ouest le lot suivant. Deuxième Lot. Une belle et grande MAISON attenante la précédente, avec beau Jardin, Pavillon et Remises, côtée n* 19, tenant de l'est au premier lot, de sud la rue dite Schuttelaersiraetjcn, par où elle a une sot lie, la propriété de Monsieur Pyssonier et sieur Buseyne, de nord la rue du Lombard, et de I ouest la maison occu pée par le sieur Decroix et la propriété dudit Monsieur Pyssonier. qu'on se le dise.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1867 | | pagina 3