A MOUTONS, VENTE PUBLIQUE A LEFFINGE. Mise-à-prix 114,075 francs. jusqu'aux os en broyant les chairs. Puisse cette leçon ne pas lui coûter trop cher et surtout lui profiler! On lit dans la France Nous pouvons annoncer, dit celle feuille, que le gouver nement pontifical accepte en principe l'invitation la Conférence proposée par le gouvernement français. Cette résolution aurait été prise la suite d'une longue conversation que le Saint-Père aurait eue avec M. de Sartiges, ambassadeur Home. a On paraît également certain que le gouvernement italien ne tardera pas faire connaître son adhésion. On frappe activement au grand hôtel des Monnaies du quai Conli les nombreu ses médailles d'or, d'argent et de bronze des lauréats de l'Exposition universelle, avec leurs noms en relief sur le cartouche, supporté par deux petits génies. On écrit de Rome, 20 novembre On reçoit chaque jour de Rome et de l'étranger des offrandes en nature pour les blessés. Aujourd'hui, par exemple, sont ar rivées de Bruxelles seize caisses de vin gé néreux, de chocolat, de cigares et de tabac. L'administration militaire a fait re cueillir, Mentana, une quantité énorme d'armes feu et d'armes blanches prove nant des garibaldiens. On ignore le nom bre mais le poids total de ces dépouilles est de 80,000 kilogrammes. Il y a parmi les fusils d'excellentes carabines. Sous ce titre Garibaldi au Yarignaxo, nous lisons dans la Gazella del l'opolo Un juge avec son greffier et un huis sier s'est présenté pour procéder un premier interrogatoire dans l'instruction du procès de Garibaldi. Ces braves gens étaient fortement embarrassés. Introduits en la présence du général, la première question posée a été suivant la formule sacramentelle Votre nom? Le général a répondu Mon nom? Ceux qui vous envoient le savent bien. Puis, il s'est remis écrire sans s'occuper davan tage des représentants de la justice. Le juge et le greffier, après s'être consultés entre eux, sont sortis. La Gazelle officielle de Florence annonce que le conseil des ministres a décidé le transfert de Garibaldi l'île de Caprera. Celle mesure a été prise sur le rapport dressé par deux médecins envoyés au Va- rignano. On écrit de Rome la Gazette de France L'eirectif des forces pontificales et françaises s'élève environ 35,000 hommes. On a envoyé Viterbe hier une section d'artillerie française et il est ques tion de mêler des garnisons françaises aux garnisons pontificales dans les provinces de Velletri et de Frosinone, les deux seules où le corps expéditionnaire n'ait pas en core pénétré. La plupart des recrues arrivées depuis le commencement de la campagne se sont enrôlées dans le régiment des zouaves, dont l'effectif dépasse le chiffre de 2,500 hommes, et formera désormais trois ba taillons au lieu do deux. COMMERCE. Le JEUDIS DÉCEMBRE 1807, 2 heures de relevée, l'hôtel du Cygne, Mariakerke,fauhourgd'Ostende,ilsera pro cédé, par le ministère du Notaire HE Y- VALUT, Ghistelles, l'intervention du Notaire POHTAELS, Bruxelles, I'Adju- dication définitive d'une belle Moulons et H. 58 92-40 C. Terres, Prés et Pâtures grasses située Leffinge près d'Ostende. 1° Op het hof. 20 Esschen, 20 lepen, 1 Eik (2 1/-2 m.) en I Abeel, verdeeld in 27 koopen. 2° Op hel land. 28 Popelieren. 12 lepen 1 Abeel12 Plalanen en 1 Erabel, verdeeld in 35 koopen. Deze Venditie gebeurd met tyd van be- taling mits borge te stellen, ten aenveenlen van den Nolaris 711ECA, te Boesinghe. ce qui produit lv maladie des pommes ue terre. U'i célèbre observateur vosgien qui est la fois agriculteur, pisciculteur, natura liste, uiérauicieiietc., M. Vlarino» de Corriimont piès Satifxure, nie communiquait dernièrement, a»ec prière d'en faire part a Journal de l'Agri culture, une découverte qu'il a faite relativement la maladie des pommes de terre. Ayant trouvé en octobre une plante de pomme de terre qui était d'un beau «ert jaunâtre, et qui ne paraissait pas être atteinte de la maladie qui avait fané sans exception depuis longtemps les tiges de toutes les auttes plantations, il jugea que ce plant, qui n'avait ctû h l'abri de la pluie, étant protégé par hasard, par l'auvent d'une toiture, [.'année d'après, M. Marion planta des pommes de terre quelque distance l'une de l'autre, dans un même sol et avec e'gale fumure. Au moment où les liges sortaient de terre il protégea contre la pluie une des plantes au moyen d'un abri posé sur quatre pieux. Il ôtait l'abri quand le temps était beau et le replaçait l'approche d'uue ondée; pas une goutte de pluie ne mouilla les tiges de cette plante, tmdis que la voisine végétait dans les conditions atmosphériquesordinaiies. Dès le moisd'acût, cette dernière plante montra tous les symptômes de la maladie et finit par se dessécher complètement la même époque que les autres pommes de terre des champs; les tiges abritées se sont au contraire maintenues »eMes et n'out commencé jaunir qu'à la maturité. Quand M. Mariou arracha ses deux touffes, celle qui avait végété dans les conditions ordinaires avait la moitié de ses tubercules malades on pourris, l'antre n'en avait pas de gâté et a donné un grand nombre de grosses pommes de terre. Notre ami conclut de cette observation que le germe de la maladie des pommes de terre est dans la ploie. C'est d'ailleDrs un fait depuis longtemps connu que celte maladie ne se déclare jamais pen dant nne sécheresse, mais que qnaod la pluie arrive après des chaleurs, )l suffit de quelques jours pour flétrir entièrement la récolte. Une fois les tiges attaquées, le mal descend, et quelque soit le temps qui arrive ensuite la récolte est gravement endom magée. M. Marion prétend que l'eau de pluie, en été, contient des éléments pernicieux non-seule ment la pomme de terre mais aussi la vigne et une foule d'autres végétaux. X. Ihiriat. (iJournal de Liège.) FRANCE. Paris, 24 novembre. ITALIE. Onguent et Pilules Holloway. Rhu mes, Toux et Courte Haleine, Ces médecines correcttves suni infaillibles pour les maladies de poitrine qui, négligées, engeudieui souvent l'asth me, la broucblte ou la eousoiuptluu. L'Ougueui, bieu frictionné sur la poitrine et le dos, péneiraut la peau, se porte dtieciemeut aux poumons; alois il chasse toutes les tmpuieits. Tout le sang dans le corps passe coustamiueni navets les poumons et, là, toutes paiceiles nuisibles, leudaut a pioduire la maladie, peuvent ètie repoussées du système. L'Onguent et les Pilules Holloway accomplissent tout a fait cette depui alioiiet l'ii.floenee de ces merveilleuses médecines navets le sang, ainsi député, se lépand dans les pailles tes plus leculees du corps bumatu, et, ainsi guéitl toutes les mala dies, sotl internes, son externes. Désormais nul ne pourra douter des cotes mer veilleuses obtenues par la Revaleula Arabica Du Barry. Aux inillieis de bénédictions déjà reçues, nous sommes heuieux de pouvoir joiudie celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome, 2 i juillet i866 La sauté du Saint Père est excellente, surtout depuis que, s'absieuaut de tout autre remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica du barry.qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Saiuteté ue peut assez louer les avautages qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. Les gastrites, gastralgies, toux, consomption, dépérissement, pour lesquels la médecitie n'offre aucun remède efficace, sont parfaitement guéris par la délicieuse Revalenta Arabica Du Barry de Londres. Cure N* 62,8i5, Thuillies (Belgique), 3o septembre i863. Depuis 20 ans, j'ai souffert d'une dyspepsie avec tous les inaux qui en résul tent. Votre Revalenta Arabica a fait disparaître la stupeur, lachaleur de l'estomac et les congestions cérébrales. J.-J. Noël. DU BARRY, 12, rue de l'Empereur, Bru xelles. En boîtes de i|4 kil., 2 fr. -j5; i|2k., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 112 kil., 16 fr.; 6 kil., 52 fr.; 12 ki!., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La Revalenta chocolatée Du BarryeD poudre. Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et tes cbaiis, sans causer de maux de tête, Di écbauffemeul, ni les autres inconvénients des cbocolats ordinaire ment en usage. En boites de 12 tasses, fr. 2-25; 24 tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7; 288 tasses, fr. 52 576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la tasse. Dépôtci Y près chez MM. Frysou, pharmacien; Becuwe, ph.; G. Veys, ph.; et veuve Mahieu, confiseur. 5 CoURTRAI25 NoVMEBRE. Froment, par hectolitre, fr. 5i-6l Id. roux, 00-00 Seigle, 22-4*2 Avoine, >>10-77 Fèves, 00-00 Pommes de terre bl., 100 kil., 8-00 8-5o Id. rouge 8 5o 9-00 Beurre, par demi kilog., 1-17 i-45 OEofs, par 25, 2-45 3-oo Huile de colza, io5 kil., flor. 48 10 48-i5 Id. de lin, 48-10 00-00 Graine de colza, l'bect. fr. 89-00 00 00 Id. de lin, 4i-oo 00-00 Tourteaox de colza, 100 kil., 17 ib 00 00 Id. de liu, 23 00 5i oa Id. chanvre, n i4-5o 00-00 279 bêtes ont été exposées en vente; vendups 25o. Les vaches ont été vendues de fr. 78 56o les génisses de 90 48o; les taureaux de 110 b 45o; les bœufs de 23o 655. Bê es cornes de 1" classe poids vivant, 80 82 c. le demi-kilo, 2" classe, 60 65 c., et la 5° classe 45 5o c. La tiande de bœuf se vend de i-3o 1-60 c. le demi kil. d'une JllIllftUj \AR TE EOESIJXGIIE. Dingsdag 5e" December 1867, ten een ure namiddag juist, op de landeu en garzingeti der hofstede gebruikt door de weduwe Loonis, te Boesinghe, langst de calsyde lia Yperen by d'herberg de Brykeruzal er gehouden worden Venditie van 62 koopen schoone BOOM EN geteekend en genume- roteerd als volgd Elk zeggs het vooris.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1867 | | pagina 3