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a rrières ont été fermées partir de la
uit du 12 au 15 c\ et le roulage sera
uspendu sur les routes pavées et erapier-
ées dans celte province.
M. Goemaere, curé Boesinghe, in
forme la Pairie de Bruges qu'elle a été
induite en eiTeur, en annonçant d'après un
bruit, en circulation Bruges, qu'il a été
victime d'une brutale et sauvage agression.
Mercredi, vers 9 heures du matin, le
nommé Jean Van Nieuwenhuyse, âgé de 57
ans, né Coolscarap, ouvrier agricole chez
le sieur Jean Van Biervliet, Uadizeele, a
été trouvé assassiné dans une avenue près
d'un bosquet environ un kilomètre de sa
demeure et 500 mètres de la ferme où il
travaillait. La victime doit avoir été assas
sinée en se rendant son travail vers cinq
heures du matin. Elle portait une blessure
la tempe gauche faite avec un instrument
contondant et des traces de violence la
gorge, ce qui fait présumer qu'elle a été
étranglée. On ignore le mobile du crime.
Le parquet deCourtrai, accompagné du
lieutenant de la gendarmerie, s'est rendu
jeudi malin Dadizeele pour commencer
l'instruction de cette affaire.
Mardi après midi, deux sous-officiers,
un sergent major et un sergent du déta
chement du 11* de ligne, caserné au fortin
6, Berchem, qui étaient aller patiner sur
les fossés de la nouvelle enceinte, n'ont
plus reparu. Mercredi matin, un grand
nombre d'officiers et de soldats se sont mis
leur recherche les cadavres des deux
malheureux sons-officiers ont été retirés
des eaux de la nouvelle enceinte, près de
la porte de Kiel.
M8' Dechamps, archevêque nommé
de Malines, et M8' Gravez, évêque nommé
de Namur seront préconisés dans le con
sistoire que le Saint-Père tiendra le 20 de
ce mois. (Ami de iOrdre.)
FRANCE.
Paris, 11 décembre.
On lit dans la France
s Toutes les correspondances qui nous
arrivent des départements sont unanimes
attester la satisfaction générale que les
déclarations du gouvernement et le vole
de la Chambre sur la question romaine ont
excitée sur tous les points de la France.
Jamais, nous assure t on, mouvement plus
sympathique d'opinion n'a répondu dans
le pays la politique affirmée devant les
Chambres.
d On nous assure que les préfets ont dû
faire parvenir au gouvernement l'expres
sion de cette unanimité du sentiment pu
blic.
La Patrie assure qu'un grand nombre
de prélats ont fait parvenir l'Empereur
l'expression de leur profonde reconnais
sance pour la protection accordée au Saint
Siège.
M8' Darboy a, dit on, reçu de Rome
l'avis qu'il serait compris dans la prochaine
promotion de cardinaux.
L'Époque croit savoir que des officiers
et des détachements du génie sont partis
pour Rome, afin d'en assurer le système
de défense et de mettre la ville l'abri
d'un coup de main.
Une lettre, publiée par le Courrier du
Pasde-Calais, nous a pprend que MDel haye,
frère de l'ancien maire de Calais, s'occupe
avec l'éminenl sculpteur Clesinger d'un
projek de statue élever Eustache de
Saint Pierre,sur la placed'Armesde Calais.
Paris compte: 812 restaurants, 1.664
cafés et brasseries, 3,523 débits de vins,
257 crémeries, 208 table d'hôte (hôtels et
établissements privés); en tout 6.464 éta
blissements publics de consommation.
On lit dans la Patrie de Paris Le
théâtre de Belleville n'est plus qu'un amas
de décombres. Le feu s'est déclaré dans les
combles; il s'est rapidement propagé sur
la scène et n'a pas tardé envahir la salle.
Lorsque les secours sont arrivés le théâ
tre, sur tous les points, était embrasé.
On lit dans la Gazette du Midi Hier
matin sont partis sur la Ville de Marseille
134 volontaires pour le corps des zouaves
pontificaux, dont 135 Belges et Hollandais
et un Français. Jeudi dernier s'étaient em
barqués aussi sur le Prince Napoléon 130
jeunes volontaires dont 90 Belges et Hol
landais et 40 Français.
ITALIE.
Nous empruntons YUnilà callolica les
passages suivants d'une correspondance,
datée du 4, qui lui est adressée de Rome
a Le nombre des volontaires s'élève dans
les zouaves 4,000, il faudra donc former
une brigade de quatre magnifiques batail
lons. A peine at-on su dans les rangs de
l'armée française que le gouvernement
impérial permettait aux soldats de passer
dans la légion franco romaine au service
du Pape, que 6,000 d'entre eux se sont
offerts.
Il est impossible de les accepter tous;
mais l'effectif de cette brave légion devant
être porté 2,500 hommes, elle pourra
ainsi se réformer avec des soldats choisis
et dignes de représenter autour du trône
de Pie IX la grande armée française.
On parle aussi de doubler le gros ba
taillon des carabiniers étrangers, qui se
sont battus si vaillamment dans la dernière
campagne. Ce corps sera composé aussi
d'environ 2,400 hommes. L'artillerie sera
augmentée d'autres batteries, dont une
d'obusicrs revolvers.
HOLLOWAY AU MONDE COMMERCIAL.
C'est atec plaisir que nous annonçons que le
très-célèbre, loyal ei distingué M. Holloway dout
le Dom et la profession sont si renommés non-seule
ment dans la mère-patrie, mais aussi dans le globe
entier, a consacré une partie de son Etablisse
ment Londres, aux Affaires de Commission
pour les Achats et Fentes des Pioduits Coloniaux
et autres.
M. Holloway, nous le savons, a toujours de
grands capitaux dispouibles pour avances sur Con
signation.
Sa positionsoo expérience, son intégrité bien
connues et l'attention qu'il donne a ses affaires
sont, nous n'en doutons pas, une garanties suffi
sante pour tous ceux qui s'adresseront a sa maison.
The Times, S' Jobn's, Newfoundland20
Avril1867.
FAITS CURIEUX RELATIFS AUX MÉDECINES PATENTÉES.
Il n'y a qu'uu petit nombre de personnes qui
peuvent se faite uae idée exacte de la statistique
des Médecines Patentées en général; mais l'histo
rique de l'une d'elles, c'est-i-dire sou origine, ses
progrès et ses résultats actuels,nous voulons
parler des Pilules et Onguent Holloway, peut
être considéré comme on des épisodes les plus
intéressants de la civilisation moderne. Rien ne
parait aussi facile, aucune affaire ne semble aussi
aisée conduire, qu'un établissement de Médeciues
Spéciales. Il suffit d'un carré de papier avec une
ordonnance dessus et quelques drogues. C'est tout
ce qu'eo général le public peDse nécessaire; c'est
ainsi que plusieurs personnes ont essayé une chose
et l'autre, saos aucun succès et leur grand désap
pointement. Il est vrai qu'une médecine patentée
n'est que le résultat d'ane prescription écrite sur
uo carré de papier;mais, alors, elle doit prouver
par elle-même qu'elle est digue de la confiance
du public dout le verdict dépend de sou efficacité;
en un mot, sou succès se tiouve dans la guérisou
de la maladie. Heureusement l'extension des célè
bres Médecines Holloway était comme l'idée Na
poléonienne - un plan que rien ne peut arrêter
dans sa marche travers la conquête universelle.
Quand le Professeur Holloway, il y a quelque
trente aos, parla 110 des principaux associés d'une
grande maison, d'introduire une Médecn e Pa
tentée, le vieux monsieur secoua la tète et demanda
au Professeur s'il avait de l'argent. Oui, ré
pondit-il. Alors vous feriez mieux de le garder,
fut-il réparti. Malgré ce décourageant avis, Hol
loway sentant l'importance de sa grande décou
verte, et sachant bieu que ce n'était pas simplement
un carré de papier sur le quel se trouvait une pres
cription mais quelque chose de destiné pour
l'avenir, persévéra cootre toute opposition et dé
couvrit bientôt que non-seoletueui toute la natiou
anglaise, mais le monde entier était disposé a l'ap
puyer dans son grand projet de faite la guerre aux
maladies de chaque espèce et avec les meilleures
armes, bieu que sous la forme simple de Pilules et
Onguent. Les succès de ses Médecines ne fuient
pas lents. Au contraire, ils furent proportionnés
l'importance de leur objet, leur souveraine effi
cacité, et en ce qui regarde le débit actuel des
Pilules et de l'Onguent Holloway, nous pouvons
déclarer, d'après les statistiques, qu'il est étonnant.
Il suffit sur ce point de faire remarquer que le
nombre des droguistes et vendeurs de Médecines
du Royaume- Uni avec les quels le Professeur Hol
loway est en relations, dépasse quatorze mille, et
que pas uo d'eux ne resterait une heure sans un
assortiment de ses Médecines; tant leurs demandes
sont fréquentes parmi toute les classes de la société.
Tel a été le sucrés de ces Médecines spéciales la
réussite des quelles un connaisseur comme Mr
Barclay n'avait pas foi; mais qui, heureusement,
est encore vivant pour attester le fait et féliciter
son auteur de soo invention. Noos ne pouvons
nous empêcher de remarquer que c'est lè un double
succès de la part d'Holloway non-seulement
pour lui-tuême qui en est amplement récompensé,
mais aussi pour la société et tout le genre humain
qui a retiré les plus grands avantages de ses Méde
cines. The Philoaophical Ad vocale.
Pilules Holloway. La Loi d'Existence.
La saison actuelle est très propice pour appeler
l'atteotion sur quelques points sur lesquels repose
la sauté. 1 outes les impuretés doivent êire chassées
du système, aussitôt qu'on en découvre la présence.
Pour remédier aux fatigues do cœur et au lieu de
se laisser abattre, qu'on prenne une bonne nour
riture qui, se digérant bien, enrichit le sang de ses
éléments iiutranfs. Les propriétés altératives, exer
cées par les put ifiautes Pilules Holloway, répondent
exactement tous ces besoins et même, elles exer-
ceut un pouvoir spécialen fortifiant les nerfs,
régularisant la circulation et rétablissant aiusi com-
plétemeut les sécrétions et excrétions. Ces excel-
lentes Pi ulestieuuent toutes les fonctions naturelles
si bien eo ordre, qo'elles empêchent, on dissipent
promptement les maux de tête, les éblonissenients.
les nausées, les affections bilieuses, les fievres, les
diarrhés, la dysseuterie, et autres semblables ma
ladies.
Désormais nul ne pourra douter des cures mer
veilleuses obtenues par la Revaleuta Arabica Do
Barry. Aux milliers de bénédictions déjb reçues,
nous sommes heureux de pouvoir joindre celle do
Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi
Rome, a 1 juillet 1866 La santé du Saint Père est
excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout
antre remède, il fait ses repas de la Revalent.a
Arabica du Barry, qui a opéré des effets sur pre
nants sur lui. Sa Sainteté ne peot assez loner les
avantages qu'elle ressent de cette excellente farine
dont elle prend une assiettée chaque repas.
A 1 immense mortalité des enfants en bas âge
60,000 en Fraoce cl 5o,ooo en Angleterre
la Science Médicale n'a jamais réussi opposer no
remède efficace et il n'y a rien s'y étonner, vu que
toute drogue ne peut produire d'autre effet que
celui d'augmeoter la faiblesse des forces vitales de
la digestiun et de la nutrition. Il fut réservé la
Revalenta Arabica Du Barry de Londres de ré
soudre le problème de réparer les organes de la
digestion, fournir nouveau sang muscle et os et
guérir le système glandulaire sans fotcer ni échauf-