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S, En Prusse, les paroles amicales et
^pacifiques de J'Empereur ont produit one
impression particulièrement favorable-u»
Dans le courant de l'année dernière,
pins de 74,000 Allemads ont émigrés pour
les pays iràiisallanliques par; Brème. Le jè
contingent le plus nombreux É*élé fourni
par la Bohême et les provinces orientales
de laJPrusse. 1
l,eé dépêches '•félégi'aphifjfnes nous
ont déjà appris qu'on a dû suspendre tous
les convois directs de là Haute Italie pour
Florence.
La neige est tombée en si grande quan
tité,.dit la Gazelle officielle, que'la circula-
lion a été interrompue, non seulement
entre Bologne et Pisloje, mais encore entre
Bologne et Plaisance, Bologne et Ferrare.
àboailaVI ni .iofWW#»
t Paris, rj janvier.
Le maréchal Bazainecommandant du
corps-tBawnée deTLst, vient de terminer
son inspection des places fortes de cette
réfiiop, avec deux officiers supérieurs du
'jrenie et'dPi'Â'îfferie. On active de ce côté
l'exécution îles travaux nécessaires pour
mettre ces places et leur armement au ni
veau de celles des autres puissances.
Paris, 8 janvier.
l.plMouUevr du joir résume dans son
.[Bulletin les incidents survenus dans la
dernière hujtaine: Nous ne trouvons dans
celle reyue que deux phrases qui aient
trait la politique générale. Elles concer
nent les relations de la France avec l'Eu-
rppe, relations auxquelles le journal offi
ciel s'attache donner comme toujours
un caractère pacifique. Voici comment il
s'exprime
Les paroJc&pfononcéesparl'Empereur
la réception du 1" janvjer ont été ac
cueillies .en Europe comme un gage de
paix et de concorde
ftilcq si .9èba.ôaisni5irTî^?aoo les uà -wie
Le Mémorial de la Loire annonce qu'upe
très grande activité règne dans la manu
facture d'armes de Saint Etienne. Le per
sonnel, qui est augmenté de jour en jour,
^ap/i ye air chiffré de 5,OO0;oi)yriçrs.
L'année 1867, dit le Messager du Midi,
aura vu la plus formidable importation de
blés qui ait jamais eu lieu dans le port de
MarsejJIç. Les arrjvages se sont élevés
7,520.000 hectolitres, non compris876,880
hectolitres de seigles et autres basses cé
réales. C'est peu près les deux tiers de
,n(QSimportations totales,évaluéesà environ
500 millions de francs.
Les arrivages les plus considérables sont
ceux du mois de novembre; ils se sont
élevés près d'un million et demi d'hecto
litres de blé.
Ei) 1861, année de disette, les arrivages
Marseille n'ont pas atteint 6 millions
d'hectolitres. ;;;V- ohiu>?n él
lin journal annonce que le ministre
de la guerre met les forts de Paris en demi-
armement.
La France annonce que le jeuDe duc
de Chevreuse, devenu duc de Luynes de-
puis la mort récente de son grand-père,
vient d'envoyer au Pape douze pièces
d'artillerie, 0o edooski aam'l v>ve oaio
On se rappelle que tors de la dernière
in vasion gariba Idienne, le duc de Cbevreuse
a combattu vaillamment au premier rang
des défenseurs du Saint Père-
M. Berryer est,entré, depuis le 4 jan-
CI "o.o't
t Le Mémorial de la Loire donne les
renseignements suivants sur la fabrication
des arine« Saint Chainond I
On peut voir marcher Saint Cbamond
un train de laminoirs qui fabrique le sabre-
baïonnette avec une rapidité et une régula
rité de formes vraiment merveilleuses.
Depuis la pointe jusqu'au talon, et y
compris le pan eretix, le liminoir donne
l'arme complète avec une rectitude qu'on
peut appeler juste litre mathématique.
La tenailleilg l'ouvrierqui se tient d'un
seul côté du laminoir, ne quille pas la
maquette de l'arme, qu'elle soumet aux
diverses pressions des cylindres sans la
laisser passer au delà, absolument comme
si elle opérait sur une enclume.
Quand l'arme est retirée du laminoir, en
deux ou trois coups d'outils spéciaux elle
est régularisée la pointe et au talon,
purgée de ses bavures et terminé? pour
être présentée la meule.
A coup sûr, C'est une des plus ingénieu
ses machines que possèdent nos usines, où
il n'en manque pourtant pas. Elle pourrait
fournir en très peu de jours des quantités
considérables dé ses produits.
C'est une fabrique de l'Est qui, la pre
mière, a voulu profiter de cette invention,
et, si nous sommes bien informés, une ou
ou plusieurs commandes lui ont déjà été
expédiées de Saint Chamond. Elles sont
exécutées avec les excellents aciers de
MM. Arp et Bedel.
Le Journal de Poris estime o huit
mille le nombre des ménages parisiens
qui se sont trouvés dans l'impossibilité de
payer le terme de janvier de leur loyer.
On lit dans le Constitutionnel:
A raison des difficultés qu'on renpon-
tre Civita Vecchia pour procurer des
logements aux troupes, il a été décidé que
la moitié de l'efTectif de la division fran
çaise d'occupation allait être dirigée sur
Viterbe. Le gouvernement italien, prévenu
de celle décision il y a huit jours, en a
parfaitement apprécié les motifset reconnu
la nécessité.
CE Qlil MÉRITE D*ÊTHE CONNU.
L'ESTOMAC, LE FOIE ET LES POliMONS.
Ces Pois organes peuvent être appelés la ban
que de la vie humaine, parce qu.e si leurs fooe-
lious respecii.es s'arrêtent, la ruine du système
s'eu suit infailliblement. Nous faisons, chaque jour,
des dépôts dans l'estomac dont uous recevons im
médiatement l'intérêt courant au moyen d'uoe
bonne digestiou et assimilation qui donnent une
nouvelle force; le foi préside comme h on comptoir;
les poumons représeuieol le chèque, comme
si, par leur vigoureuse action, ils devaient faire
une reconnaissance n'importe quel taux.
Mais, pour assurer ce plaisant éiai de choses, ces
trois organes importants doivent être maintenus
en bon état. A cet effet, comme il est prescrit,
depuis longtemps, par le Professeur Holloway, il
faut avant tout, tenir l'estomac en parfait état,
parce que c'est lë que notre noorriture commence
sa première transformation et se prépare devenir
tlu sang pur, la seule source de la santé et de la
force du système. Tel fut le principal motif qui
amena Thomas Holloway inventer ces merveil
leuses Pilules, que l'expériemee de chaque aonée
successive recommande de plus en pins au choix de
la société entière. En effet, par la bénigne influence
de ces Pilules, l'estomac ne manque jamais de
remplir ses fonctions ordinaire avec la nourriture
qui lui est.ppofiée par nne prompte, facile et im
perceptible digestion; le foie est maintenu en ordre
régulier, sécrétant la bile en quantité et qualité
convenables et les paumons rafraîchissant la flam
me de la vie saDs efforts ni entraves. Tel est, dans
chaque cas, l'effet de» Pilules Holloway, que des
milliers des personnes les ont> recommandées non-
seulement dansje Royaume-Uni, mai» dans chaque
contrée do globe. Du re,stS„ la. réputation !>ij
méritée des Médecines Holloway s'est étendue de
l'extrême nord au fout) do sud, enfin partout
où réside l'humanité souffiantçg Elles n'ont jamais
manqué de produire leurs efl^ts sur l'estomac, j le
foi et les poumons; ce qui leur a valu lenr répu
tation bieo méritée. Quoi d'hoir riant plnrs qu'il
n'y ait guère de .aisseanxiptvlanMajtiotie ptort
pour les pavs étrangers qui 11 aient un assortiment
des Médecines Holloway, embarqué par ordies de
correspondants toujours pressés de les recevoir, et
que chaque droguiste d'un bout I) l'autre de
Royaume Uni,'quelque soit ce qui lui manque,
ait toujours soin d'avoir nn large assortiment de
Pilules et d'Onguent Holloway? The Londort
Correspondent.
Onouent et Pilules Holloway. Impor
tant pour Chacun. Depuis plus de trente an
nées, ces remède» sont classés avant ions les autres,
par l'excellente raison qu'ils n'ont jamais été vai
nement employés dans les maladies internes ou
externes, Il faudra se bien frictionner la gorge et
la poitrine pour les plaies dans ces parties, les
glandes enflées la lonx chronique et les enroue
ments. Pour les catarrhes ordinaires et la grippe,
l'Onguent bien frotté sur les parois de la poitrine,
et secondé par quelques doses de Pilulesprocu
rera bientôt la guérison. Le même traitemeoj,
judicieusement suivi, chasse la diphtérite, l'asthme,
la bronchite, la pleurésie; il empêche les inflam
mations graves de tourner en abcès on en ulcères;
ce qui peut arriver facilement, quand les affections
du cou ou de la poitrine sont négligées.
ji i
Désormais nul ne pourra douter des cures mer
veilleuses obtenues par la Revaleuta Arabica Do
Barry. Aux milliers de bénédictions déjà reçues,
nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du
Pape. Elle est constatée dans la Gazelle du Midi
Rome, 21 juillet 1866 La santé du Saint Père est
excellente, surtout depuis que, s'abstènant de toot
autre remède, il fait ses repas de la Revalbnta
Arabica du Barry, qui a opéré des effets surpre
nants sur loi. Sa Sainteté ne peur assez louer les
avantages qu'elle ressent de cette excellente farine
dont elle prend une assiettée chaque repas.
Le problème de se gnérir sans médicament a été
parfaitement résoin par l'importante déconvertede
MM. Barry, de la Revalenla Arabica Du Barry,
qui économise cinquante fois soo prix en d'antres
remèdes. Voici un petit extrait de 65,ooo guéri-
sons parfaites
N° 62,476. Sainte Romaine-des-Iles (Saône-
et-Loire), ce 5o décembre 1862. Monsieur,
Dieu soit béni! La Revalenla Arabica Du
Barry a mis fin mes 18 ans de souffrances de
l'estomac avec faiblesse et suenrs nocturnes, pour
m'accorder de nouveau le précieux trésor de la
santé. J. Compare), curé.
N* 47,121. M11' E. Jacobs, de quinze ans de
souffrances horribles des nerfs, indigestions, érup
tions, hystérie, mélancolie. 48,514. M11" E.
Yeornau, de 10 ans de gastrite et toutes les horreurs
d'une irritabilité nerveuse. N" 49,842. Mm*
Marie Joly, de cinqoante ans de constipation, in
digestion, des nerfs, as'hrne, toux, flatDs, spasmes
et nausées. N' 36,2 12. M. le capitaine Allen,
de la m^rioe royale, sa fille d'épilepsie.
DU BARRY, 12, rue de l'Empereur, Bru
xelles En boîtes de i|4 kil. 2 fr. 25; i|2 k.,
4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 112 kil., 16 fr.; 6 kil., 02 fr.;
12 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La
Revalenta chocolatée Du Barry, en poudre.
Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem
ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et les
chairs, sans causer de maux de tête, ni éebauffemeut,
ni les aotres inconvénients des chocolats ordinaire
ment en nsage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25;
a4 tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7; 288 lasses, fr. 32
576 tasses, fr. 60, soit environ 10 centimes la lasse.
Dépota Y près chez MM. Frysou, pharmacien;
Becuwe, pb.; G. Veys, ph.; et Veuve Mahieu,
confiseur. 6