LYSTEBOOMEN A VENDRE Bonheur. Un hôte discret, dont on ne constate souvent l'existence que par son décès. Banquet funéraire. Un repas, où le défunt aurait bien tort de revenir, au dessert. Brusquerie. Une des épines de la franchise. Bibliothèque. La maison de l'esprit El généralement, l'esprit de la maison. Besoin. Un ivrogne, qui, plus il boit, plus il a soif. Bienvenu, (singulier). Un héritage. Bienvenus, (pluriel). Deux héritages! Bonté. Une folie douce dont l'ex périence est le meilleur médecin. L'administration de la guerre vient de donner des ordres pour que l'armement du fort des Rousses (Jura) soit terminé dans les premiers jours de mars. On lit dans la France L'empereur vient de décider, sur la proposition du ministre de la guerre, que les compagnies de grenadiers et de volti geurs seraient supprimées dans les cent régiments d'infanterie de ligne. Il n'y aura plus désormais que des soldats de 1" et de 2e classe. Celte importante mesure, dont l'expé rience avait démontré la nécessité, est motivée sur ce que le recrutement des compagnies d'élite était une cause d'appau vrissement pour les compagnies du centre. Elle ne peut tourner qu'au profit de la bonne constitution de notre infanterie de ligne. Il n'est pas inutile de faire remarquer qu'il n'y a pas de compagnies d'élite dans les régiments d'infanterie de la garde impériale, non plus que dans les bataillons de chasseurs pied. Le prince impérialqui entre le 16 mars prochain dans sa treizième année, fera sa première communion vers le mois de mai. Parmi les volontaires pontificaux qui "viennent de revêtir l'uniforme de zouave, l'Univers compte le jeune prince Ilurbide, qui avait été adopté par l'infortuné Maxi- milien comme héritier présomptif de la couronne impériale du Mexique. Les ouvriers de Roubaix signent en ce moment une pétition l'Empereur pour lui demander l'abolition du traité de com merce avec l'Angleterre. Le Publicateurde Saint-Brieuc, rap porte un déplorable accident Les époux Bertho, du village de Cbana- cléron, étaient partis le matin pour aller une noce, laissant seules leurs trois filles, une âgée de huit ans, une autre de quatre, l'autre de seize mois. Ils avaient chargé leur nièce d'aller les voir dans l'après midi, et de les coucher le soir; celle ci s'acquitta de la commission, mais elle eut la faiblesse, en se retirant, de consentir laisser la chandelle allumée, la demande des en fants. Cette imprudence leur a été fatale. La chandelle sera tombée sur des bruyères qui étaient près de leur lit commun, et l'incendie s'est déclaré... Que s'est-il passé? On ne le saura jamais... Vers onze heures des voisins ayant aperçu l'incendie, accourent; mais la mai- son n'était plus qu'une fournaise ardente, et les cadavres carbonisés des enfants fu rent plus tard retirés des décombres. Les époux Bertho revinrent de la noce vers une heure du matin; on peut com prendre leur affreuse douleur; ils étaient sans enfants et sans asile! On lit dans l'Autorité de Dunkerque Une troupe de quarante trois contreban diers arrivant de l'étranger, armée de bâtons et marchant en bon ordre, sous la conduite d'un chef, a tenté, dans la nuit du 9 au 10 janvier courant, par un froid des plus intenses, de forcer la première ligne des douaniers, près de la ville de Bailleul. Attaquée avec élan et résolution, une heure du matin, dans la plaine des Deux- Moulins, par un peloton de vingt-six hom mes des brigades des douanes de Bailleul et de Méléren rassemblés la hâte sous le commandement du capitaine Sauvage et du lieutenant Bimon celle bande, après un engagement des plus vifs, a été mise complètement en déroute. Quatorze prisonniers sont restés, au premier choc, entre les mains du service, qui, dans une poursuite énergique, soute nue pendant 2 kilomètres, a encore arrêté cinq autres contrebandiers et repoussé tous les autres au delà de la frontière. Quarante deux ballots de tabac, formant le total des charges, ont été capturés. Une anecdote rétrospective dans la Situation Le général Lamoricière se promenait dans les environs de Bildah en fumant son cbibouque, lorsqu'il aperçut un zéphir qui frappait grands coups de sabre un aloës, en s'écriant Ah! coquin, si lu étais le général Lamorici... Eh bien! s'il était le général Lam... qu'est ce que tu ferais? demanda le général en s'approchant. Ce que je ferais... Je lui demanderais une pipe de tabac. Et il eut son tabac. 11 A ït i> ït fi s 3 DRANOUTRE, A proximité du pavé de Neuve-Êgtise Kemmel, Sur une partie de terre occupée par Cn\ Linde et la Demie Lune. 50 HLTRES Le Mardi 11 Février 1868, A deux heures de relevée, sur les lieux, avec crédit. Le Notaire THEBRY, Neuve Église, est chargé de cette Vente. VElYDlTIE 1E (M PLMT§©EIKliE(KI9 OP PASSCHEMDAELE. te beginnen ten 1 ure namiddag, zal den Notaris OS^SSTI A317, by openbare Venditie verkoopen Op Passchendaele, west van de kerk, in eene parly Bosch, by de hofstede ge- bruikt door sieur Henri Donck. 40 koopen LYSTEBOOMEN en PLANT- SOENEN zeer dienstig voor lattesplyters. Op gewoone konditien en tyd van beta- ling, mils goede borg stelleude. De vergadering in gemeld bosch by koop een. TOI! MMM. Ceux qui se croiraient lésés sont admis faire valoir leurs réclamations devant le Conseil communal. Fait l'Hôtel de-Ville le 5 Février 1868. J. DE CODT. FRANCE. Paris, i février. Désormais nul ue pourra douter des cures mer veilleuses obtenues par la Retaleuia Arabica Du Barry. Aux milliers de béoédiciions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome,ai juillet 1866La saoté du Sarm Père est excellente, surtout depuis que, s'absteuaiit de tout autre remède, il fait ses repas de la Hevalenta Arabica du Barry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Saïuteié ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. Dans l'intérêt de l'huiuauité, uous donnons en- cote un petit extrait des 65,ooo guétisons opérées sans médecine parla délicieuse Revalenta Arabica Du Barry, qui, quelques sous par jour, écono mise cinquante fois sou prix en d'autres remèdes. Goétisous N" 58,614 Madame la Marquise de Bréhan, d'une maladie du foie avec josouitnes, hystérie, marasme et palpitations intolérables, qui avaient résisté aux meilleurs médecins pendant sept ans. N* 53,86o M11' Gallard, d'une ph'hisie pulmonaire (consomption,) aptes a voir été déclare incurable, et de n'avoir plus que quelques mois vitre. Aujourd'hui 1867 elle jouit d'une santé pat faite; preuve vivante que la pbthisie est guérie par la Revalenta Arabica. N" 53,983 M. Aug. Hecque, d'une hydropisie et maladie du foie. N* 44,619 Mms Woodbouse, d' une constipa tion opiniâtre, de nausées et vomissemeDts pendaut sa grossesse. DU BARRY, 12, rue de l'Empereur, Bru xelles. En boîtes de i|4 kil., 2 fr. -j5;i|2 k., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 i|2 kil., 16 fr.; 6 kil., 52 fr.'; 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La Revalenta chocolatée Du Barry, en poudre. Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et les chairs,sanscauserde maux de tête, ni ét hauffement, ni les autres inconvénients des chocolats ordinaire ment en usage. Eu boîtes de 12 tasses, fr. 2-25 24 tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7; 288 lasses, fr. 32 576 tasses, fr. 6o, soit environ 10 centimes la tasse. Dépôt Ypres chez MM. Frysou, pharmacien; Becuwe, ph.; G. Veys, ph,; et veuve Mahieu, confiseur. 2 Pilules Holloway. Point d'excuse. Quand des milliers de personnes attestent volon tairement que cette médecine les a débarrassées de formidables affections qui tuioaieni leur saoté et menaçaient leur existence, il ne peut y avoir aucone excuse pour les malades de ne pas en faire l'essai. Les Pilules Holloway sout particulièrement con venables ponr remédier toutes les irrégularités dans les fonctroos de la cervelle, des poumons, du ccenr, de l'estomac, du foie, des reios et des intes tin?. Elles exercent sur les*fibres un effet fortifiant et contringeot elles aignisent l'appétit: améliorent la digestion; fortifient les nerfs; régularisent l'ac tion du foie, des poumons, do cœur et donnent naissance la gaieté d'esprit. Jamais jusque-là, d'aussi grands bienfaits n'avaient coulé d'une même source. Aussi le Professeur Holloway De de mande au malade, quelque grave que soit son état, que de consentir les essayer pour pouvoir juger par lui même. Bouckaert, entre les cabarets appelés Le Divisés ex 30 portions, VA If Op MAEiNDAG 10" FEBRUARY 1868, L'Administration locale prévient tous les habitants que le rôle pour le recouvre ment de la taxe provinciale sur les Chiens, est provisoirement arrêté et déposé au Secrétariat l'inspection des contribua bles. Les Bourgmestre et Êchevins, P. BEKE. par ordonnance Le Secrétaire,

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Le Propagateur (1818-1871) | 1868 | | pagina 3