LOUIS DERAEDT, STOVI KÏÏSSCBGN, BELLE MAISON z UI GUANO VAN PERU BERIGT AEN DE LANDBOPWERS. I gemenls qui les liaient leurs anciens maîtres. Ce changement a été opéré, sans aucun secours de la part du gouvernement, par 548,529 paysans, qui sont devenus ainsi propriétaires libres du sol qu'ils cultivent. Par contre, 4.429,956 de ces paysans ont eu recours l'appui du gouvernement, qui, pour les libérer, a avancé la somme de 414,275,707 roubles. Un singulier cas d'asphyxie est ainsi raconté par un journal de Tours Mardi malin, les frères Derouet ont été trouvés asphyxiés dans une écurie où ils étaient couchés. Cette écurie est attenante un four chaux et séparée pourtant par un mur d'une épaisseur de 1 mètre 30 1 mètre 40 centimètres. Le gaz acide carbonique et l'oxyde de carbone produits par la combustion du charbon de terre et de la pierre chaux ont pénétré travers ce mur et ônt envahi l'écurie, de manière que les deux frères ont été asphyxiés et empoisonnés par le gaz. Ils ont été retrouvéscouchés dans leurs lits, et paraissant n'avoir pu faire aucun mouvement pour combattre l'asphyxie. Un cheval, qui était dans l'écurie, a été relevé mort derrière la porte. On écrit de Czernovitz, en date du 4, la Nouvelle Presse libre Le train du malin d'aujourd'hui, qui était parti de Czernovitz et devait arriver au soir Lemberg, est englouti dans le Pruth. La course n'a duré que quelques secondes. Dès que la locomotive eut passé Pavant-dernier pillieren pierre du pont de fer construit d'après le système de Schiff- korn, l'échafaudage en fer se brisa peu de distance de la tête opposée, et locomotive et wagons se précipitèrent avec fracas dans les eaux glacées et hautes du Pruth. Après que le courant violent eut en glouti la machine et une partie du poni, les wagons de transport des marchandises s'amoncelant les uns sur les autres, le train des passagers, comme par un effet de la Providence, s'arrêta en arrière du pilier fatal sur la partie postérieure du pont. Les chauffeurs et le conducteur ont dis paru; un homme de service a été retiré des eaux dans un état pitoyable quant aux bêtes (bœufs et porcs), elles ont été en par tie broyées entre, les Wagons et en partie entraînées par les eaux; on les voyait sur nager, mortesou vivantes, entre les glaçons et tonrbillonner. Les voyageurs qui étaient dans le train en ont été quittes pour une secousse violente et pour la perspective effrayante de la mort. FRANCE. A propos des promenades de l'Empereur, nous lisons dans le Journal de Paris les renseignements suivants Deux agents de police seulement, dit ce journal, accompagnent l'Empereur dans ses sorties. Ce sont généralement les mê mes; ils suivent ou précèdent l'Empereur d'assez loinl'attendent sa descente ou sa montée en voiture; ils ne sont pas armés de pistolets comme on pourrait le croire, mais de simples casse-têtes. Cerf, le cocher ordinaire de l'Empereur, le sert depuis vingt ans; il était autrefois dans la maison de Louis Philippel'Empereur a une grande confiance en lui. 11 est l'inven teur d'un mors spécial qui peut briser d'un seul coupjla mâchoire du cheval s'il s'em portait. Au reste, en cas de danger excessif, il n'y aurait qu'un simple ressort mettre en jeuet les brancards se détacheraient immédiatement de la voiture, qui resterait alors immobile. Depuis deux mois, il est arrivé Mar seille près de quatre millions d'hectolitres de blé. Une terrible catastrophe a consterné la commune d'Arpajon, près Auriilac. On écrit au Courrier de l'Allier Dimanche dernier, tous les paroissiens s'étaient réu nis dans une nouvelle église, qui n'est pas encore terminée, pour entendre prêcher un Père Capucin dont la réputation comme prédicateur est grande dans le département. Ses paroles élevées et touchanlesétaient re ligieusement écoutées par les assistants. Tout coup, la chaire dans laquelle il se trouvait, et qui était soutenue par des écha faudages, est ébranlée; on enlend un hor rible craquement l'échafaudage tombe, entraînant la voûte, et le Rev. Père, atteint par une planche, est renversé et perd connaissance. Les spectateurs, saisis d'épouvante, se précipitent vers les portes; on se presse, on s'étouffe on brise tout ce qui barre le passage. Cette panique a causé des acci dents épouvantables quatre enfants sont morts, cinq sont grièvement blessés, et cinq sont légèrement contusionnés; quant aux grandes personnes, huit ont été écra sées quatorze blessées, et d'autres mais en grand nombre, ont reçu des contusions plus ou moins graves. Mardi dernier, les victimes de cet af freux accident ont été conduites au cime- tière, et l'on peut dire que la plus profonde émotion frappait les habitants du village qui assistaient celte funèbre cérémonie.» il 4Î U <4 TE BEKOMEN BY BUITElN de statiepoort, over de herberg DE STERRE, A LOUER, rue du lombard, n° 17, Avec Porte CochèreEcurie et beau Jardin, moyennant 700 francs Lan, contributions foncières charge du propriétaire. S'adresser au Quai, N# 4. h- OL S en M i v w pa «s .2r 2 s» 33 5 -"S ti 5--s S. a N 1 La «S S--.»* t5* T: 3L 1 s i - 2 *<3 I S JS J= s s 2 2 '3 lâ - B.g.'vi <w o «J .S a - D g.« a> 2 s .2 te 5 1 en "T S 5- S m- 0 - Hfïlllîf o ECHTE Die ik verzend direkt uit de inagazijen van de heeren J. SESCAIJ en Clc eenige Agenten van het Gouverne ment van Peru. Voor prijs en conditien van beialing vervoege men zich by den ondergeteeken- den A. SAPORTAS, i. Paris, i4 mars. Pilules Holloway. Les Prolecteurs de la Santé. Pour les luttes qui se livrent jour- nelleuieut avec l'existence, une booue santé est tout. Les purifiantes, digestives et lexati'es Pilules Holloway sont, on ne peut plus convenab'es, pour restaurer la sauté aux invalides dont les fonctions agissent si faiblement, que l'existence elle-même semble des plus précaires. Les maladies d'estomac disparaîtiont après un traitement avec ces Pilules; le foie engourdi se reveillera par d'activés sécré tions et chaque organe de la digestion reviendra apte remplir convenablement ses fonctions. Il est impossible d'avoir, partout et en toute saison, ou docteur b ses côtés; mais ces Pilules y supplée- root en raison de leur action efficace et universelle, dans toutes les maladies. Désormais nul ne pourra douter des cures mer veilleuses obtenues par la Revaleuta Arabica Du Sarry. Aux milliers de bénédictions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome,a 1 juillet 1866 La santé do Saint Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses repas de la Rbvalenta Arabica du Barry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente fariue dont elle prend une assiettée b chaque repas. Voici encore on petit extrait des 65,ooo guéri- sons sans médecine par la délicieuse Revalenta Arabica Du Barry, qui économise cinquante fois son prix en d'autres remèdes. - N* 62,812, Liège, le i4 novembre i863. Atteint de dartres au bas des jambes depuis 1851 et trouvant que le mal ne faisait que s'empirer sous le traitement de trois médecins qui m'assuraient du reste qu'b mon âge (55) la guérison était impossible, je me suis décidé, b mon grand bonheur, faire usage de votre Re valenta Arabiea qui m'a parfaitement guéri en peu de temps et affermi ma santé en général d'one manière surprenante. Gr. Voos, concierge au banc d épreuves des armes h feu. N* 46,270, M. James Robertsnégociantd'une consomption pulmonaire, avec tonx, vomissements,constipations et surdité de vingt-cioq années. DU 8ARRY, 12, rue de l'Empereur, Bru xelles. Eu boîtes de i|4 kil., 2 fr. -j5; i]2 k., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 j[2 kil., 16 fr.; 6 kil., 02 fr.; 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La Revalenta chocolatée Du Barry, eo poudre. Aiimeol exquis pour déjeuner et sooper, éminem ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et les chairs,sans causer de maux de tête, ni échanffement, ui les autres inconvénients des chocolats ordinaire ment en usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25 24 tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7; 288 lasses, fr. 32 576 tasses, fr. 60, soit environ 1 o centimes la tasse. Dépôtà Ypres chez MM. Frysou,pharmacien; Bbcuwe, ph.; G. Veys, ph.; et veuve Mahieu, confiseur. 3 aen 0 80centimen dezak,(60a 70 kilos). a: H u Ef 2 Z O cr co u 0 O D Z LU N Z U O Z u cr: O -J _j 0 CL 0 (j z UJ O Z N UJ Z Lu >- CÉ a u 0 a: UI a«£acaar te a a 5 - 3 2.5 a JB w a v "Z G s te a n w ta s» - - «0 «s a) ;R •- K v ft -a te t o.S a. cn cq <0 h j5 Il •- zj g k o m te— -a 3 a» a> S v JP :S> tD <d CQ CQ Kanloor lange Brilstraet, n' 58o, TE ANTWERPEN.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1868 | | pagina 3