VENTE DE MEUBLES, Jj jjjf I BERIGT AEN DE LANDBOUWERS. GUANO VAN PERU LE CABINET DE M. ADLER, s k a a <s ut s ECHTIi USTENSILES DE CABARET Des travaux considérables de déblais ont mis au jour, dans un terrain non re- manié, sept squelettes humains qui appar* tiennent évidemment l'époque dite de l'âge de pierre. Sur ces sept squelettes, deux ont été enfouis dans les terrassements par les ou vriers, qui n'avaient pas conscience de la valeur scientifique de leur trouvaille. Cinq crânes en bon état, dont un par faitement conservé, ont été envoyés Paris pour être soumis l'étude des hommes compétents. On écrit d'Aurillac qu'un violent incendie vient de détruirel'antique château de Saint Etienne Luciennerésidence des abbes d Aurillac en 1347: '•II! ANGLETERRE» Les usuriers-de Londres sont véritable ment des maîtres sans rivaux dans l'art de ruiner la jeunesse confiante et les enfants prodigues de la société anglaise. Une de leurs récentes victimes a été le jeune lord Jersey; mais comme il n'a pas voulu se laisser plumer sans crier, ses ré clamations ont attiré l'attention de la jus tice et du public sur l'odieux trafic des usuriers de Lombard street. Se trouvant a Eton l'âge de dix huit ans, le jeune lord, séduit par une de ces circulaires qui offrent des avances d'ar gent aux jeunes nobles et aux héritiers riches, aux conditions les plus avantageu ses emprunta 1,250 fr. contre un billet de 1,625 fr, payable dans un mois, ce qui portait le taux de l'intérêt 360 pour 100. Une fois pris dans l'engrenage, le jeune lord ne put s'en défaire, et au bout de trois ans, quand il atteignît sa majorité, il avait signé des billets pour le montant de fr. 250,000. Il paya la somme, mais, peu de temps après, il fut assez imprudent pour contracter une dette égale la première et dont les titres sontentrelesmains.de M. Dicker; celui ci lui ménageait une autre surprise, et tout d'un coup il a fait appa raître un compère que lord Jersey prétend n'avoir jamais vu et qui se présente armé d'une liasse de billets et cautions repré sentant 900,000 fr. dont il exige le paie ment immédiat. C'est donc en tout une somme de 1,150,000 fr. que l'on réclame du jeune tord qui assure n'en avoir reçu que 150,000. En tenant compte de son premier paye ment, il ne resterait devoir que 200.000 fr. et pour échapper aux griffes de ces harpies dévorantes, il s'est réfugié kuprès dç la cour de la chancellerie, qui vient d'étëridré sur lui sa main protectrice. Le Times exprime l'espoir que cet exem ple, en dévoilant les manœuvres des usu riers, rendra plus prudents les jeunes patriciens tentés par les circulaires de Lombard street. 3 CHIRURGIEN DENTISTE, est transféré Place de Louvain a Bruxelles. ]U. Al) LE II est le seul Dentiste ayant obtenu une mention honorable de la faculté de médecine pour ses dentiers artificiels. On peut le consulter tous les Lundis chez M"' JASPIN, libraire, Grande Place, Mourfrai. - V n a» ti s 1 <C"U s h 2§f NI 4 o u O û- D U1 ZD o i" cC M 0 - 0 -= s .H 5 >-jiï s S - - -i "3 y a - -r a. =5 àrg £r£ c e~ •- a s s k v - Mi 5 s S* v a -2 -ï - 5 G a 2 - «- K 3 5 *a «i 5'slâ - S.j» si* j l I &"E S"® - -.S -O rïî! -2%. o1 o o a. C eo O On 0) TS g .2 a SO 1 -c S ai a; a> Cû CD Die )k \erzend direkt nit de magazijen Tan de heeren J. SESCx\U en C,e eenige Agenlen van het Gouverne ment \an Peru. Vpor prijs en conditien van betaling vervoege men zich by den ondergeteeken- TE ANTWERPEN. s 0 KEIJVE-ÉGLISE c; - EFFETS DE MÉNAGE, Z t a I J - 9 Instruments Aratoires C- 'IÉÎ^ Srv.-Ji* ZI Tables, Chaises, Pendule avec caisse, Comptoir et Buffet, 2 Poéîes et accessoires, Commode, Garde robes, Coffres. 2 grandes Marmites, 2 Chaudrons, Bouilloires, Ma rabout, grande Cafetière en cuivre. Bassi noire, Lanterne, Chandeliers et Pois au feu en cuivre, Plats, Assiettes et Cuillères d'étain, Pots de fer, et une quantité de Plats et Assiettes. Rainçoir en cuivre, 2 doubles Litres. 11 Litres^112 Demi litres d'étain, petites Me sures en étain et autres, un grand Ooçibre de Verres bière et liqueur. 5 Bois de lit avec rideaux, 3 Lits de plu mes, 5 Traversins et Oreillers en plumes, Couvertures en laine et en coton, Draps. Tables de nuit, Nappes et Serviettes, 2 belles Cordes la lessive et Sacs vides. Baratte, Cuves la crème et autres, Sa loir, Seaux et Chantiers. Brouette, Bêches, Houes. Trident, Echel les, Moulin pour nettoyer blé avec grilles. Van, Tamis, Meule aiguiser, une quantité de Bois brûler, environ 100 mètres cou rants de Planches et autres objets dont le détail serait trop long. I Le MARDI 28 AVRIL 1868, neuf heu res du matin,il sera procédé cette vente avec crédit pour les marchés de 3 francs et audessus pourvu d'établir caution. Le Notaire THERRYjâ Neuve-Église, est chargé de la recette. v 1 11 lll II M Pilules Hollo'wày. Irritation des Nerfs. La grande perfection do corps le rend, comme me machine complexe, 1res sujet a se déranger. Les Pilules Holloway sont toujours les remèdes les plus convenables; ils guérissent toute maladie, lorsque c'est matériellement possible. Leurs quali tés aljéralives, stomachiques, toniques et apéritives les mettent bieo au-dessus de toute autre médecine; elles restaurent la santé et la force que ne peuvent jimais recouvrer, par d'antres remèdes, ceox qui 'ont attaqués par las nerfs ou la dyspepsie. Les Pilules Holipway agissent si directement sur les organes de la digestion, l'assimilation et la circn- tion, qu'elles réveillent immédiatement les organes lorpides, augmentent les facnltés vitales et leur donnent de l'énergie. Désormais nul ne pourra doulèr des enres mer veilleuses obtenues par la Revoient» Arabica Do Sarry. Aux milliers de bénédictions déjà reçues,, nous sommes heureux rie pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazetlp du Midi Rome, 21 juillet 1866La santé du Saint Père est excellente, surtout depuis que, s abstenant de tout autre remède, il fait ses tepas de la RevALENTA Arabica du B\rry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. Guérison n56,g35Barr (Bas Rhin), 4 juin i86i. Monsieur, la Revalenla a agi sur moi merveilleosemeui; mes forces revieoneut et une nouvelle vie m'anime comme celle de la jeunesse. Mon appétit, qui, pendant plusieurs aimées, a été nul, est revenu admirablement et la pression et le serrement de ma tète, qui, depuis quarante ans, s'étaient fixés l'état chronique, ne me tourmentent plus. DAVID RUFF, proptiétaiie. En effet, plus de 65,ooo guérisons par cet ex cellent, alimeot prouvent que les misères, dangers et désappoimemeuis que, jusqu'ici, les malades out éprouvés par les drogues nauséabondes J se'trou vent préseul remplacés par la certitude d'une radicale et prompte guérison moyennant la déli cieuse farine de santé Revalenla Arabica Dù Barry de Londres, qui rend la santé parfaite des orgaues de digestion, des nerfs, poumons, foie et inetubraue moqueuse, aux plus épuisés même, dans les mauvaises digestions (dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations habituelles, bémorrbot- des, glaires, vents, palpitations, diarrhée, gonfle ment, élourdissemeot, bourdonnement d'oreilles; acidité, pituite, migraine, nausées et vomissements, douleurs, aigreurs, crampes et spasmes d'estomac; insomnies, toux, surdité, oppressiou asthme, bronchite, phthigje (consomption), dartres, érup tions, mélancolie, dépérissement rhumatisme goutte, fièvre, catarrhe hystérieoé»ralgie, vice: du sang, hydropisie, manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse, DU BARRYv-^?, rue de l'Empereur, Bru-; X elles. En boîtesjde i|4"kil. 2 fr. 25; i|2k., 4 fr.; i kiI.7 fr.; 2 t|2 kil16 6 kil., D2 fr 12 kil., franco, 60 fr.-Contre bon de poste. La Revalenla chocolatéDu Barryen poudre. Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et les chairs,saoscauserde maox de tête, ni érhanffemeni, uijes autres inconvénients des chocolats ordinaire ment en usage. En boîtes de 12 tasses, lr. 2-25 24 tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7; 288 tasses, fr. 32 576 tasses, fr. 60, soit environ 1 o centimes la fasse. Dépota. Yprès chez MV1. Frysou, pharmacien; Becuwe, ph.; G. Veys", ph.; et-veuve Mahieu, coofiseur. - s u z Z w LU J ■il {.3 I? E-i! a s OJ S> O s u r - - *3 4 "5.® a-'- v o s .fc 'o? .j ot -o s1 o. P-.z kE X> J|Û t.V v. - - -S - K O g es C «a te— -g a ta JZ <0 .5 sfi - D g-co a; c a> qj S" (,en' A. SAPORTAS, Kantoor lange Brilslraet, n' 58o, e AU 80URG En la maison mortuaire du S. J"-B,e Leclercq, rue cfArmentières consistant notamment en

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Le Propagateur (1818-1871) | 1868 | | pagina 3