HUIS a ït a s s ta DMtT&atsiE3îra VENDITIE VAN MEUBEIS un baiser. L'enfant d'Israël s'y refusa en disant Ma religion me défend d'embrasser des images. Une suite de malheurs heureux. Deux amis, un Anglais et l'autre Français, qui ne s'étaient pas vus depuis la première exposition de Londres, se rencontrent der nièrement. a Comment, vous en France, mon cher Williams. Que je suis heureux de vous voir! El comment vous portez-vous? Aob pas trop bien. Je me suis matié depuis que je ne vous ai vu. C'est une bonne nouvelle. No, pas trop, car j'ai épousé une mé chante femme. J'en snis désolé, c'est fâcheux. No, pas trop fâcheuxcar elle avait en dot 10,000 liv. st. 250,000 francs! C'est joli! Cela con sole un peu de... No, pas beaucoup, car j'ai employé cette sommé acheter de grands trou peaux, et toutes mes bêtes sont mortes de la maladies qui vient de sévir sur l'Angle terre. Voilà qui est très-fâcheux. Nopas si fâcheux car la vente des peaux m'a produit au-delà de ce que j'avais dépensé. Alors, vous voilà indemnisé. No, pas tout-à-fait; j'avais acheté en France, avec l'argent, une grande maison, et elle vient d'être brûlée. Oh! c'est un grand malheur! No, pas déjà si grand non plus car ma femme était dedans, et elle est brûlée, avec la maison. Un Français et un Espagnol devisaient Le Français (un sot, vous allez voir) por tait le ruban rouge de la Légion d'honneur, gagné on ne sait comme; l'Espagnol ne portait rien. La conversations tomba sur les décora tions Pour moi, dit le chevalier de la Lé gion d'honneur en se rengorgeant et en jetant un coup d'oeil sur sa boutonnière, je n'admets pas les décorations étrangères. L'Espagnol le toisa des pieds la tête Moi non plus, dit-il froidement. Un joli mot de la Comédie bordelaise On parlaitd'un hommequi s'était enrichi trop vite pour qu'il n'yeût pas s'en ionner. C'est un homme qui a le sac, dit quel qu'un. lia mis tant de gens dedans! répliqua un jaloux. ANGLETERRE. L'amirauté a reçu une dépêche, datée de Pointe-de Galles, du commodore Lambert, concernant l'attentat contre le duc d'Edim bourg Celte dépêche dit que la balle est entrée dans le dos la distance d'un demi-pouce de l'épine dorsale, qu'elle a frappé la neuvième côte, a longé cette côte et est allée se loger cinq pouces du nombril et un peu plus de quatre pouces au-dessous du sein droit, après avoir traversé une distance de douze pouces et un quart. Dès le 20 mars, S. A. R. a pu se rendre son bord. L'assassin comparaîtra devant la cour suprême sous l'accusation d'avoir tiré un coup de feu avec l'intention de tuer. ITALIE. Décidément, la Prusse tient le pas dans les fêtes de Turin. Une correspondance raconte en ces termes un incident du bal de la cour Le prince royal de Prusse a valsé avec la princesse Marguerite, adorable de grâce et d'abandon; je ne ferai pas le même com pliment au prince de Prusse il valse com me tous les Allemands, avec précision, mais il valse la prussienne, raide, immo bile, tout d'une pièce. La princesse Margueritea valsé ensuite avec le fils du banquier Cassano, qui, très- ému sans doute ou danseur médiocre, a arraché une des garnitures de la robe de la princesse. Grand émoi! Les dames d'hpnneur, qui n'ont pas inventé la télégraphie de campagne, se consultaient vainement, lors qu'on vit le prince de Prusse tirer de la poche de son habit un porte monnaie de trente sous, fabrique de Berlin, con tenant une trousse. L'élastique ayant cédé, le prince y prit une paire de petits ciseaux, mil un genou en terre et coupa la garniture attachée et pendante. Au moment où la jeune princesse ten dait la main pour ressaisir son morceau de dentelle, on ne fut pas médiocrement surpris de voir le prince se relever, poser la précieuse relique sur son cœur, la plier méthodiquement et la mettre dans la poche de son habit. Voici un autre incident, qui se rapporte au carrousel Au moment où M"' d'Usedom, femme du ministre de Prusse, se préparait mon ter en voiture, un garde municipalpour éviter un encombrement, crut devoir faire reculer le carrosse du ministre. Pelers, pourquoi reculez vous? s'é cria la comtesse. Madame, c'est un agent qui m'en a donné l'ordre. Avancez sur le-champ, et dites que je suis la Prusse!... Voilà un mot qui en dit beaucoup: Je suis ta Prusse! Avec ce mot là on passe partout. DEN DINSDAG 12" M El 1868, ten 5 uren namiddag, in de berberg bet Gemeente Huis te Oostvleterenzal den Notaris £22 BOO aldaer residerende voortsvaren lot de Verkoopiug, in eene zitting, Van een WOONHUIS staende te Oost vleteren langs den Kasteel of Boterweg en tegen bet kerkhof, op 6 aren 50 cenliaren Grond, eigendom van M' J.-B1* Vanden Peerebootn, met regt van pacbt tôt den 50" April 1871 ten pryze van 20 francs 's jaers, boven de contribulieh. Laetst gebruikt gevVeest door vvylen Karel- Louis Vandenbergiie.- 1 Handslag met de geldtelling. WEVERS GEREEDSCIIAl'PEN, TE OOSTVLETEREN. Ten voormelden dage, orn 2 uren na- noenin de boven aengeduide te koopen Woonste, zal er Vendilie gebouden worden van Met gereed geld en verhoog van d^n 10" penning, betaelbaer aen den Notai is £22 300, te Oostvleteren. t -, - t 4. Pilules Holloway. Ces excellemes, pu rifiâmes et resiaurati.es Pilules oot été hoDorées du patronage de toutes les classes de la société, depuis plus d'où quart de siècle. Dans ce clituat incertaio, quelques doses de ces Pilules, prises de temps en teuips, au moment d'aller au lit, prévien nent ou chassent de nombreuseset terribles attaques d'enrouement, de maux de gorge, de dipthéiite, d'esquinancie et autres affectirons très communes en hiver. Cette médecine est mise au-dessus de toute autre, pour les maladies asthmatiques et hydropiques, car ses propriétés antispasmodiques, diurétiques et toniques ne peuvent être trop ap préciées. Pour une bonne digestion, une Pilule Holloway, prise avant le dîner, assurera graduelle ment les pouvoirs digestifs de l'estomac et procu rera du soulagement aux plus malades. Désormais nul ne pourra douter des cures mer veilleuses obtenues par la Revalenta Arabica Du Barry. Aux milliers de bénédictions déjà reçues, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazelle du Midi Rome,21 juillet 1866 La saoté du Saint-Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout ature remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica du Barry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiettée S chaque repas. La Revalenta Arabica Du Barry, délicieux aliment réparateur, a opéré 65,ooo guérisons sans médecine et sans purger. Elle économise mille fois son prix en d'autres remèdes, rendant la parfaite santé des organes de digestion, des netfs, poumons, foie et membrane muqueuse, aox pins épuisés même, dans les mauvaises ou laborieuses digestions (dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations habrtnelles, hémorrhoïdes, glaires, vents, palpita tions,diarrhée, gonflement, étourdissement, bour- donnement aux oreilles, acidité, pituite, nansées et vomissements même en grossesse,douleurs, aigreurs, crampes èt--spasmes d'estomac, insomnies, toux, oppression, asthme, broochite, phthisie (consomp tion), dartres, éruptions. mélaucolie, dépérissement, rhumatisme, goutie, fièvre) catarrhes, hystérie, tiévralgie, vice'du sang, bydropisie, manque de fraîcheur et d'éoergie uerveose. Extrait de 65,ooo guérisons. N* 5a,o8i, M. le duc de Pluskow, maréchal de Cour, d'une gastrite. N* 48,842, M"" Marie Joly, de 5o ans dé constipation, indigestion, des nerfs, asthme, toux, flatus, spasmes et oaosées. DU BARRY, 12, rue de l'Empbrbur, Bru xelles. Eu boîtes de i|4 kil. 2 fr. 25; i|2 k., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 i|2 kil., 16 fr.; 6 kil., 52 fr.; 12 kil;, franco, 60 fr. Cootrebou de poste. La Revalenta chocolatée Du Barry, en pondre. Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et les chairs,sans causer de maux de tête, ni échaoffemeut, ni les antres ioconvéoieots des chocolats ordinaire ment en usage. En boîtes de 12 tasses, fr. 2-25; 24 tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7; 288 tasses, fr. 32 576 tasses, fr. 60, soit enviroo 10 centimes la tasse. Dépôt a Yprès chez MM. Frysou, pharmacien; Becuwb, ph.j G. Veys, ph.; et veuve Mahieu, confiseur. 4 1 1J -,i t h STAE3DE BY DE KASTEELHOFSTEDE, OPENBAERLYK TE KOOPEN. EN A. Meubels en Effecten van Meoagie, zoo als Stoelen, Tafels, Kleerkas, Scba- prade, Slaghorlogie, Koolstove, Bedkoetsen met de Bedding, Aerd Gleis Glas Yzer- en KoperwerkWaschkuipen Slypsteen Kordewagen, Hoveniers Halaem en Brand- hout. En B. Een goed Weefgetouw, Srheer- molen en verdere Wevers Gereedscba ppen.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1868 | | pagina 3