ZAEILAHDEN, AVIS. ÉTAT-CIVIL DTP11ES, i s 52 25 LOCATION PUBLIQUE Les victimes de cet horrible attentat sont au nombre de dix. On annonce que le gouvernement a consenti toutes les satisfactions qui lui ont été demandées. On lit dans ,a PatrieDes lettres particolièresde Yokohama nous annoncent que les satisfactions accordées par les au torités japonaises, pour l'assassinat des marios français du Dupleixconsisteraient en deux points principaux, qui sont 1" punition des coupables conformément ce qui s'est passé déjà pour le meurtre d'au tres Européens; 2* indemnité pécuniaire pour les familles des victimes. Ces points ont été, dit-on immédiate ment concédés, et on assure que, dès le 12 mars, trois des instigateurs de cet hor rible guel-apens auraient été reconnus. D'après une note publiée par un journal du soir, S. M. l'Impératrice a dé cidé que tous les enfants nés en France le 16 mars 1856, et par conséquent filleuls impériaux, qui feront leur première coin- munion en même temps que S. A. le prince impérial,recevrontunesomraede50 francs. Un avis celle effet a été transmis dans tous les déparlements, et la somme est délivrée aux familles sur la présentation d'un certificat du curé de la paroisse. Le Collège des Bourgmestbe et Échevins informe les intéressés qu'il procédera le MERCREDI 20 MAI courant, 10 heures du matin, en la Salle du rez de chaussée, l'Hôtel de Ville, la croissant sur les Boulevards extérieurs et intérieurs, sur l'Esplanade, les Lunettes dans le Majoorgracht et aux abords de l'a battoir et de l'abreuvoir, divisés en lots indiqués par affiches apposées aux endroits ordinaires. Fait en séance, le 7 Mai 1868. J. DE CODT. Meersch en Bosschen Van wege de Eigenaers stelt met het houden van 2 zittingen openltaer te koop, de volgende onroerende GOEDEREN, gelegen op PASSCHENDAELE, oost van de kerk. DIJ PLAISIR DE RANGER ET BOIRE ET DE SES PUNITIONS. Nous n'avons point besoin de relater que des volâmes ont été écrits sur ce sujet, depuis l'époque du bon vivant Cornaro, jusqu'au plus récent traité relatant la manière de juger par nous mêmes de la dose la plus couveuable dans nos habitudes ordinaires de boire et manger. Il est impossible de nier la grande utilité d'une telle connaissance mais^ malheureuse ment, le gvnre humain est généralement sourd aux avertisse ments, quand le gpût et les passions sont eu jeu. Ainsi que va le temps, nous craignons bien que l'on ne continue man ger et boire, chacun suivant son goût et ses désirs, pendant long temps encore, alors surtout qu'on s'aperçoit qu'en ayant recours R temps une Médecine, telle que les Pilules Hollo way ou peut 6e débarrasser aisément et rapidement de tous les dérangements de la constitution causés par l'intempérance et la surabondance de nourriture. Quelques-unes de ces Pilules suffisentdans la plupart des cas, pour remettre sur jambes un homme qui a passé la nuit et lui permettre de reprendre son travail du matin, apiës avoir cédé la tentation de ce qu'on appelle commun émeut uue gloutonnerie. Sans doute que voire eau de Seltz, ou votre ctrate de magnésie peut paraître également bon mais, malheureusement dans la plu part des cas, il est indispensable d'obtenir plus que ne le peuvent les agréables et saliues libations. Trop de nourriture, comme tout acte d'intempérance doit nécessairement porter atteinte chaque orgaue travers lequel il coule. C'est alors que pour la guérison, il faut un remèae radical; tel est celui qu'a inventé le Professeur Holloway dont les Pilules, comme nous l'avons dit, ont surpassé tous les autres correctifs ou «Itératifs de la vieille école. Peut-être cela résulte-t-il nou- seulement du pouvoir de leur action purifiante mais aussi de leur facile et presqu'i m perceptible action régénératrice sans aucuu inconvénient pour le régime ordinaire n'exi geant aucune précaution extraordinaire pour se préserver de rhume, ou de toute autre maladie. Si ce qu'on dit est vrai^ aucune Médecine n'est tenue en plus haute réputation daus nos cercles fashionahles et dans les quartiers d'ofliciers, que les Pilules.Holloway, bien que très-peu de malades aiment témoigner leur gratitude, en admettaut le fait en retour de l'avatage qu'ils en ont retiré. The Aviser. ii» ii i Onguent et Pilules Holloway. Com plication des dérangements. Les olcératious abcès, glandes enflées et autres désordres qui pro viennent de causes inconuues et même non soup çonnées, peuvent être guéris par l'emploi de l'excellent Onguent Holloway, secondé par ses puriliautes Pilules. Les instructions imprimées, qui entouient chaque pot d'Onguent et chaque boîte de Pilules, sont suffisamment claires pour guider tout malade. On peut tonjoois les employer avec avautage et sans le moindre daoger. Depuis plus d'un quart de siècle, ils ont prouvé qu'ils étaient un trésor pour les pauvres malades. Cet Onguent et ces Pilules conviennent spécialement anx mili taires et aux marins, aux colons et anx voyageurs qui ne peuveoi trouver partout des tnédecius, mais qui, au moyen de ces remèdes, peuvent toujours être, avec succès, leurs propres docteuis. Désormais nul ne pourra donter des cures mer veilleuses obtenues par la Revaleuta Arabica Du Barry. Aux milliers de bénédictions déjà reçnes, nous sommes beurenx de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi: Rome,21 juillet 1866: La saoté du Saint Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses repas de la RevALENTA Arabica du Barry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Sainteté ue peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiettée il chaque repas. Les gastrites, gastralgies, toux, consomption, dépérissement pour lesquels la médecioe n'offre aucun remède efficace sont parfaitement guéris par la délicieuse Revalenla Arabica Du Barry, de Loudres. Cure N* 62,476, Dieu soit béni la RevALENTA Arabica b mis fia a mes 18 ans de souffrances horribles de l'estomac et mauvaise digestion. J. Compare), curé. S®* Romaine-des Isles. Cure N* 65,51 1. Dieu soit béni! votre délicieuse Re- valenta m'a sauvé la vie et rendu la santé. A. Bmuellièie, curé. Vervant. Cure N" 55,860. M11' Gallard, rue du Grand S'-Michel 17, b Paris, d'une pbibisie pulmonaire. Cure N* 47.421. Mlu E. Jacobs, de souffrances horribles des oerfs, indigestions, éruptions, hystérie, mélancolie. DU BARRY, 12, rue de l'Empereur, Bru xelles. En boîtes de i|4 kil. 2 fr. 25; i|2 k., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 2 112 kil., 16 fr.; 6 kil., 52 fr.; 12 kil., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La Revalenla chocolatée Du Barry, en poudre. Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et les chairs,sanscauserde maux de tête, ni écbauffemeiji, ui les autres inconvénients des chocolats ordinaire ment eu usage. Eu boîtes de 12 tasses, fr. 2-25; 24 tasses, fr. 4; 48 tasses, fr. 7; 288 tasses, fr. 32 576 tasses, fr. 60, soit en vir«o 1 o centimes la tasse. Dépôt Yprès chez MM. Frysou, pharmacien; Becuwb, ph.; G. Veys, ph.; et veuve Mahieu, confiseur. 7 DU 1" AU 8 MAI INCLUS. Naissances 16.-Sexe masc. 9,sexe fém. 7. Mariages. Ouraet, Julien, marchand, et Parret, Sylvie, sans profession. Dejaeghere, Po- lydote, boncher, et Dehouck, Georgiue, bouchère. DÉCÈS. Ângillis, François, 9 aos, rue Basse, Dewulf, Alexandre, 38 ans, journalier, céliba taire, rue Longhe deThouiout. Philips, Doro thée, 75 ans,dentellière, veuve de Jean Verstraete, rue du Corbeau. Deroobaix=, Julte, 53 ans, dentellière, épouse de VrctOor Rijosebeke, rue de Meoin. Leere, Joseph, 76 ans, journalier, époux de Marie Maekelbergh, rue de l'Éctielle. Decoster, Marie, 78 ans, propriétaire, veuve de François de Ruescas,, rue d'ElverdiugJte. De- r al le, Albert, 5t ans, rentier, époux de Matbilde Gbyoot, rue de Lille. Enfants au-dessous de 7 ans 1. Sexe masc. 1, idem tétu. o. YPRES, 9 MAI 1868. ETAT indiquant les quantités et le prit moyen des Grains, Fourrages et autres produits agri coles vendus au marché de cette ville NATURE QUANTITÉS PRIX DES VENDUES. MOYEN G par 100 S La Grain* et Denrées. Kilogrammes. kilogrammes. ■S Froment C O CD ■S i 43 5o 80 Seigle. 5,000 75 3oo 29 75 44 800 32-00 80 Féveroles. 1,4oo 3i-5o 80 Pommes de terre 8,200 11 5o Beurre 200-00 Pain de farine de froment brute 38 cs le kilo. Idem I,l>ur les fondations de 3o a', 780 gram. ït a a <B la s» DES Les Bourgmestre et Échevins, P. BEKE. par ordonnance Le Secrétaire^ ou lit gemeenzaemheid te scheiden. OPENBAER TE KOOPEN, ien koop. - Eene party ZAEILAND met Bosch ten noord einde zynde het derde len oost kanle van meerder sluk Laud eu Bosch, al hier groot 64 areri 54 ceutiaren, palende oost het land van deu heer Bayart en het bosch van den heer Bossaert, zuid de Moorsledestraet west op païen den volgenden koop en noord het land van M. Vao Zuylen. 2'° koop. - Het derde in het midden van het zelve stuk ZAEILAND en Bosch aIhier ook groot 64 aren 54 centiareo, palende oost op païen koop 1, zuid de Moorsledestraet, west koop 3 en noord het land van M. Van Zuylen. 3en koop. - Het derde ten westkante van de- zelve party ZAEILAND en Bosch alhier ook groot 64 aren 54 centiaren, palende oost op païen koop 2, zuid de Moorsledestraet, west het laod der kiuderen Depoorier en het hosch van J" Cappelle en noord het laod van M. Vao Zuylen. Deze 3 koopen le zamen groot in Erve H. i-g5-6o zuileri by zamenvoeginy aengebo- den worden. 4"n koop. - Wat noord van den voorgaenden koep eene party ZAEILAND groot 42 aren 90 centiaren, palende oost, en noord, voor gemeeos het land van M. Bayart te Moorseele, zuid en west het laûd en bosch van M. Delefortrie en koop 5. 5'° koop. - West by deo voorigen koop eeo partyken BOSCH groot i4 aren 70 centiaren palende oost de weide van deo heer Bayart, zuid het bosch van M. Delefortrie west het land van M. Van Zuylen en noord deu volgenden koop. 6" koop. - Noord aen koop 5, eene party MEERSCH groot 4o aren 60 centiaren, palende oost de weide vau den heer Bayart en den meersch van J" Paulus, zuid koop 5, west deo meersch van M. Van Zuylen en noord de weide van M. DeCodt. De koopen 4, 5 en 6 le zamen groot H. o 98- 2 O zullen ook in massa opyrroepen worden.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1868 | | pagina 3