nui mmST AVLS. A M S II 3 3» LE CABINET DE M. ADLER, LOCATION PUBLIQUE TRAVAUX COMMUNAUX. PALAIS DE JUSTICE. On mande de Xamur que mercredi dernier, dans la soirée, un violent incendie a éclaté Grandl.eez. Vingt six maisons tle ce village sont, dit on, devenues la proie des flammes. On mande de Palfsenle S, qu'on a tué dans cette commune, coups de fusil, quatorze chiens qu'on présumait avoir été .nordus par un chien enragé. Voici un moyen préventif contre la goutte. Quoique singulier, il n'en est pas moins efficace, et il porte la double recom mandation des docteurs Trousseau et Pidoux. Pendant une semaine chaque mois, le malade prend tous les soirs son bain de pieds, préparé avec l'infusion de 30 gram mes de tabac priser en poudre; puis, après avoir bien essuyé les pieds, il les expose pendant dix minutes la fumée de feuilles de tabac fumer que l'on brûle sur un réchaud. Quand les pieds sont bien secs, on les recouvre d'un bas de laine bien sec, dans lequel on a également in troduit de la fumée de tabac. Il vient de se juger Dundée, un pro cès assez curieux. Deux mauvais plaisants, en train de boire avec un de leurs amis, avaient eu l'idée de mêler au rhum qui se trouvait dans son verre une substance pur gative. La dose était tellement forte et ce mélange produisit de tels desordres, qu'au près quatremoisdemaladie, le malheureux trépassa. Alors, les deux farceurs furent arrêtés et traduits en justice sous l'inculpation de meurtre volontaire. Mais la défense pré tendit que l'administration d'un purgatif ne saurait constituer un crime et que le code était muet cet égard. Elle ajouta que si l'on condamnait ses clients pour avoir fait prendre une drogue nuisible la santé, il fallait se hâter de mettre en accusation tops ceux qui débitent du rhum, du gin et autres liqueurs si funestes la santé publique. Ce système de prévalut et les accusés furent absous. Docteur, disait un père son médecin, ma fille se trouvée mal dans la matinée, et elle est restée près d'une demi heure sans connaissance. Que cela ne vous inquiète point, ré pondit en riant le docteur... il y en a qui restent ainsi toute leur vie. M. le ministre de l'agriculture, du com- merceetdes travaux publics vient de rendre une décision par laquelle il rétablit la libre circulation en France du bétail de prove nance étrangère. C'est le 7 mai qu'ont commencé les fêtes de Jeanno-d'ArcOrléans. Le soir, la ville a été illuminée. On a porté l'éten dard de l'héroïne la cathédrale. Il y a eu concert et bu d'artifice. Nous apprenons de source certain, dit l'Indépendant de Douai, que le projet d'un pont railway de Calais Douvres suit de plus en plus la voie de la réussite. Ces jours derniers, l'hôtel Drouot, on a vendu 10,200 fr. le petit reliquairo de Thomas Backeten argent niellé, travail allemand de la fin du xtt' siècle. Un télégramme du Saint Père serait parvenu jeudi malin au nonce apostolique, Mgr Chigi, apportant au prince impérial ta bénédiction et une courte exhortation .•u Souve -»in Pontife. Mgr Cbigi, nonce du Saint-Siège, s'est rendu samedi aux Tuileries pour féliciter, au nom du Saint Père, l'Empereur et l'Im pératrice, l'occasiou de la première com munion et de la comfirmation du prince impérial. On assure que le vénérable re présentant de Pie IX s'est rendu ensuite auprès du prince et s'est associé, au nom du Souverain Pontife, aux vœux éloquem- ment exprimés par l'archevêque de Paris, pour Son Altesse Impériale et ses augustes parents. Ces vœux se résument dans la touchante péroraison de l'éloquent prélat Aimez l'Eglise et France servez Dieu et votre pays; soyez un grand chrétien et un grand prince, et que la bénédiction o du Saint Père reste jamais sur vous et vous porte bonheur pour le temps et l'é- ternilé. Ces paroles sont extraites du Moniteur. A peineleprocèsEbergenyi est-il terminé, que le public viennois parle déjà d'une nouvelle cause célèbre la suite de l'arres tation de l'ancien négociant Lichtenoecker, aujourd'hui agent de police dans la loca lité voisine de Baden. Il y a quelques jours, cet individu futchargéd'arrêter une femme nommée iNagel, soupçonnée d'avoir tué, il y a quelques années, la femme du médecin 'i'reu. La prévenue avouait le crime, et sur ses indications, on trouva le cadavre in humé dans sa cave, mais en même temps elle ajoutait que Lichtenoecker avait été sou complice. Comme pendant la confron tation, Lichtenoecker repoussait cette accu sation, produite, disait il, par vengeance, la femme Nagel s'écria: Ne mens pas; tu as assassiné également, il y a deux ans, le lieutenant Kaiser Baden; tu me l'as avoué toi-même. Un officier de ce nom fut assassinéen effet, celte époque sans qu'on découvrit jamais le coupable. Ou lit dans la Dyle de Maliues Di manche dernier, notre vénéré archevêque, M*' Dechamps, a procédé, dans la chapelle du séminaire archiépiscopal, la consé cration de Mg' Charles André Anlhonis, évêques de Constance in partibus infidelium et auxiliaire de Matines. CHIRURGIEN DENTISTE, est transféré Place de Louvain a Bruxelles. M.ADLER est le seul Dentiste ayant obtenu une mention honorable de la faculté de médecine pour ses dentiers artificiels. On peut le consulter tous les Lundis chez M1" JASPIN, libraire, Grande Place, Courlrai. Le Collège des Bourgmestre et Écueyins informe les intéressés qu'il procédera le MERCREDI 20 MAI courant, 10 heures du matin, en la Salle du rez de chaussée, l'Hôtel de-Ville, la croissant sur les Boulevards extérieurs et intérieurs, sur l'Esplanade, les Lunettes dans le Majoorgracht et aux abords de l'a battoir et de l'abreuvoir, divisés en lots indiqués par affiches apposées aux endroits ordinaires. Fait en séance, le 7 Mai 1868. P. BEKE. J. DE COPT. VENDREDI 22 MAI 1868, 11 heures du matin il sera procédé par le Collège des Bourgmestre et Échevinsoù son dé légué en la salle du rez de chaussée de l'Hôtel-de-Ville, YADJFDICATIOM des TRAVAUX A EXECUTER pour les chan gements et améliorations réclamés au Le devis estimatif et le cahier des char ges, clauses et conditions seront déposés au Secrétariat de l'Administration compter du Lundi 18 courant. Fait en séance, le 21 Avril 1868. J. DECODT. Un journal de Mons dit qu'on a enterré jeudi malin Quaregnon un enfant qui avait été mordu par un chien atteint d'hy- drophobie. Le malheureux enfant a suc combé après d'atroces souffrances. FRANCE. 3 AUTRICHE. Désormais nul ne pourra douter des cures mer veilleuses obtenues par la Re-aletita Arabica Du Sarry. Aux milliers de bénédictions dejteçoes, nous sommes heureux de pouvoir joindre celle du Pape. Elle est constatée dans la Gazette du Midi Rome,31 juillet 1866 La saoté du Saint Pète est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout autre remède, il fait ses repas de la Revalenta Arabica du Barry, qui a opéré des effets surpre nants sur lui. Sa Saiuleté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente farine dont elle prend une assiettée chaque repas. N* 4g,423 M. Buldwio, du délabrement le plus complet des nerfs, estomac, vessie, intestins et paralysie des membres par suite d'excès de jeunesse. Cure n® 62,815, Thuillies (Belgique), 5o sep tembre 1863. Depuis 20 ans, j'ai souffert d'une dyspepsie avec tous les maux qui en résultent. Votre Revalenta Arabica a fait disparaître la stupeur, la chaleur de l'estomac et les congestions cérébrales. J.-J. NoEL. N* 48,721, M. le barou de Zaluskowski, général de division, de souffraoces terribles de plusieurs années dans les voies diges— lives. DU BARRY, 12, rue de l'Empereur, Bru xelles. 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Des milliers de maladies peuvent être prévenues ou chassées par un traitement convenable avec ces porifianles Pilules qui agissent comme un sûr doux et agréables apéritifsans porter la moindre atteinte aux nerfs des plos susceptibles, ni irriter la plus délicate organisation. Les Pilules Holloway procurent du coofort et du soulagement ceux qui souffrent de la migraine, de la dyspepsie, ou de toute autre maladie qui fait de l'existence 00 far deau. Ces Pilules sont depuis long-temps, un remède bien apprécié pour les faiblesses d'estomac, les dérangements du foie, les mauvaises digestioos qui cèdent sans difficulté h leors régulatrices purifiantes et toniques propriétés. DES Les Bourgmestre et Échevins. par ordonnance ie Secrétaire, Les Bourgmestre et Echevins P. BEKE. par ordonnance le Secrétaire

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Le Propagateur (1818-1871) | 1868 | | pagina 3