POMMES DE TERRE
VILLE D'YPRES.
VENTE
CAMELINE.
WULVERGHEM,
BON CHEVAL HONGRE.
"C'est grâce au loyal concours que j'ai su
trouver parmi vous que je dois tout le
succès de mon œuvre.
C'est voire coopération active, cette
bonne entente que je dois d'avoir en l'hon
neur de recevoir les félicitations de Sa
Majesté je suis heureux de les partager
avec vous.*
Je vous en témoigne ici toute ma grati
tude el ma plus grande satisfaction.
Croyez Messieurs, mes meilleurs sen
timents.
Le Collège des Bourgmestre et Êchevins
prévient les intéressés que le rôle de l'in-
demnilé payer par les propriétaires pour
('Etablissement des thottoibs de
la rue de Dixraude, a été arrêté provisoi
rement par le Conseil en séance du f"
courant et qu'il sera déposé pendant 15
jours l'inspection des personnes imposées
de ce chef.
Fait Ypres, le 6 Août 1868.
Les Bourgmestre et Echevins,
P. BEKE.
J. I)E CODT.
Sur tes terres de la ferme occupée par le sieur
AUGUSTE VAN EXEM.
de 88 ares de
ET DE t HECTARE 20 ARES DE
Le MERCREDI 12 AOUT 1868, trois
heures de relevée, avec crédit moyennant
caution.
Le Notaire THERRY, Neuve-Eglise,
est chargé de celte vente.
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Ypres, le 5 Août 1868. Ch., OTTO.
VICTOIRES PACIFIQUES.
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si tués ni blessés! tous sauvés!
C'est a*ec raison que l'illustre Milton a dit
l.a pais procure des victoires,
Noo moins que la guerre, notoires.
La vérité, aussi, procure des victoires, et elles
sont les plus glorieuses parce qu'elles ne soot
point sanglantes; de tous les triomphes, elle tire
son plus beau lustre du nombre des sauvés et noo
pas du nombre des tués. Telles ont été les victoires
<ie la vérité remportées par un de ses plus fervents
et philanthropiques champions, le Professeur Hol
loway, le Grand Réformateur Médical de l'É
poque. Il revendique l'hooneur d'avoir découvert
et appliqué les remèdes naturels pour presque tou
tes les maladies internes et externes, et de ce que
«tous avous vu et appris, su e< entendu sur l'effica
cité de ces deux préparations bien connues dans
le monde entier, dans l'Amérique du Sud, surtout,
«t autres contrées voisines, nous sommes portés b
regarder sa revendication comme légitime. Le
Gouvernement Russe l'a jugé ainsi en réalité, il y
a déjà longtemps, en rendant on décret spécial
pour l'iotroduction de ses Pilules et de sou Ougueot
dans ce vaste empire.
La Presse monarchique et républicaine, ainsi
que les citoyens de l'Amérique du Sud connaissent,
depuis longtemps, les propriétés de ces préparations,
-et les commissions sur leors ventes doivent êtte
très importantes. Les Indiens, même ceux des tri -
bus les pius éloignées, ont une confiance qui va
jusqu'à la supersiitiou, dans les propriétés curatives
de cet Onguent, et les Arancaniens lui donnent un
nom qui signifie, Baume de la vie. Les doc
teurs Indiens, aussi, ont découvert que les Pilules
Holloway sont des spécifiques pour les fièvres bi
lieuses et les dérangements d'intestins, et, fréquem
ment, ils ajouteot b leors charmes et incaniatioos
«ne dose, en temps opportun, de ce remède, dans
les cas de maladie.
Nous concluons de l'adoption de ces remèdes
par les hommes de la profession, aossi bien que
par le témoignage spontaoé de nos concitoyens,
que cet Onguent agit d'une manière plus efficace
pour tes hémorroïdes, que tout ce qui a été em
ployé jusqu'à ce jour, dansqoelqoe contrée qoe ce
soil.Cettemaladie est si commune et si pernicieuse,
que la plus grande publicité doit être donnée b ce
l'ait. Si, comme on noos l'assure positivement, cet
Onguent guérit les hémorroïdes les plus invétérées,
dans l'espace d'nne semaine b cinq, sans endom
mager la santé générale do malade, par l'obstruc
tion des matières, il est da devoir de la presse de
propager ce bienfait an loin et an large. Il nons
parvient des rapports si favorables et certifiés par
Je tels ooms, que nous ne pouvons nous soustraite
l'évidence; aussi, recomraandoos-nous chaude
ment b tous ceux qui sont affligés de ces douloureux
dérangements de recourir b celte préparation et de
l'appliquer sans délai. Ses effets sur les parties en
flammées soot vraiement surprenants. Les plaies
ouvertes, les vieilles blessures, lesfraichesconpures,
les fortes éruptions, les btûlures, les piqûres et
tontes sortes d'éraplions cutanées sont guéries
avec une promptitude extraordinaire. Si ce médi-
c«m ent avait jamais manqué de guérir, on n'eut
pas manq ié de le divulguer au loin, parce que les
hommes de la professioo se fussent empressés de
proclamer l'iosuccès d'un remède, qui est en oppo
sition avec leur pratique; mais, tout ce que noos
avonsentendii dire, soit des Pilules, soit de l'Onguent
tend b maintenir leur réputation sur des bases ioé-
brso'ables. Dentocra tic Reporter
Pilules Holloway. Important pour les
Personnes Délicates. Il est difficile de dé'er-
mtoer'ce qui jéprouve le|pins la constitution hu
maine les temps humides et froids de l'automne,
ou les vents secs et pénétrants du priulemps. Une
bonne santé peut, en tout saison, être maintenue
par quelques doses des Pilules Holloway qui puri
fient le sang et les reins. Ce célèbre remède n'a
besoin que d'être convenablement essayé pour
convaincre ceux qui souffrent ou qui sont abattus,
qu'il les restaurera et les ranimera sans danger,
sans souffrances, ni incommodités. Aucune famille
ne doit se trouver sans-un assortiment des Pilules
et Onguent Holloway; paice qu'au moyen de ces
remèdes, p>is b temps, 00 rétablit les fonctions; oo
soulage les souffrances et l'on sauve l'existence.
Désormais nul ne pourra douter des curés mer
veilleuses obtenues par la Re.alenta Arabica Du
Barry. Aux itiilliets de béoédictions déjt reçues,
nous sommes beureox de pouvoir joindre celle du
Pape. Elle est constatée dans la Gatetle du Midi:
Rome,31 juillet 1866Là santé du Saint-Père est
excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout
autre remède, il fait ses repas de la Revalenta
Arabica uu Barry, qui opéré des effets surpre
nants sur lui. Sa Sainteté ne pent assez louer les
avantages qu'elle ressent de celle excellente farine
dont elle prend une assiettée b chaque repas.
Guérison n56 g55. Barr (Bas-Rhin), 4 juin
1861. Monsieur, 1a Revalenta a agi sur moi
merveilleusement mes forées reviennent et une
nouvelle *ie m'anime connue celle de la jeunesse.
Mon appétit, qui, pendant plusieurs années, a été
nul, esl revenu admirablement et la pression el le
serrement de ma tête, qui, depuis quarante aos,
s'étaient fixés» l'état chronique, ne me toormeutent
plus. DAVID RUFF, propriétaire.
DU BARRY, 13, rue de l'Empereur, Bru
xelles. En hulres de i|f,kil. 3 fr.3.4; i|3 k.,
4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 3 113 kit., 16 fr.; 6 kil., 3s fr.;
13 ki!., franco, 60 fr. Contre bon de poste. La
Revalenta chocolatée Du Barryen pondre.
Aliment exquis pour déjeuner et souper, éminem
ment nutritif, assimilant et fortifiant les nerfs et les
chairs.sanscànserdè maux rfe tête, ni échauffement,
ni les antres iiiconvéuieiiti.des chocolats ordinaire
ment en usage. En boîtes de 12 fastes., fr. 3 3.1
34 tasses, fr. 4; 48 lassés, fr. 7; 388 tasses, fr. 5s
576 tasses, fr. 60, soit environ 1 o centimes la tasse.
Dépôt Ypres chez MM. Frysou. pharmacien,
BrcÛW'e, ph.; G. VeYS, pli.; et veuve MaHIP.U;
confiseur. n
YPRES, 8 AOUT 1868.
f it* Indiquant lea quantité» et le pris moyen
dea Grains, Fourrager, et autres produits agri
coles vendus an narrké de cette ville
NATURE
QUANTITÉS
PRIX
S
S s
Dca
TENDUES.
MtVKN
par 100
W) -a
O
Grain» el ■curée».
Kilogramme».
kilogramme».
-S
Froment
35,900
5O-35
80
Seigle.
7.900
31-00
75
i Avoine
6,3oo
33-5D
44
i,8oo
33 - 5o
80
1 Féteroles.
300
38-00
80
Pommes de terre
6,300
6-5o
Beurre
380-00
Pain de farine de froment brute 3o c* le kilo.
Idem poqr les fondations de 3o c'. 1,000 gr.
par ordonnance
Le Aecrétalre,
Divisés en plusieurs marchés
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