VENDITIE 66 KOOPEN SGHOONE EIKEN, B00MEN COMMUNE DE LOCRE, ARBRES, Dingsdag 12en January TE LANGEMARCK, 66 portions de très-beaux le Mercredi 13 Jan vier 1869. Popelieren en andere A VENDUE ont repoussé les brigands après une lutte acharnée. Un des carabiniers a été blessé. On mande de Saint Pétersbourg au Journal de Paris que le sixième fils de la grande-duchesse MarieNicolajewna, le duc Serge Maximilianowitch de Leuchtenberg, peine âgé de dix huit ans, suivant l'exem ple de ses frères aînés, se prépare faire un mariage d'inclination. Le jeune duc veut épouser une dame d'honneur de la cour, la princesse Troupetskoï, cousine de Mrae de Morny, aujourd'hui duchesse de Sesto. L'empereur Alexandre a déjà donné son consentement. Pendant le tempête de dimanche, une grande fabrique de cinq étages, con struite nouvellement rue de Jemmapes, Lille, s'est écroulée avec fracas; les pertes sont énormes. Le gouvernement anglais a acquis les fonds de terre d'une considérable éten due que le défunt roi des Belges avait ajou tés au domaine de Claremont, dont il avait l'usufruit. Les héritiers de Léopold 1", dé terminés se défaire de ces immeubles, ont voulu laisser la liste civile d'Angle terre la préférence. Un propriétaire du voisinage voulait donner de ces biens une somme beaucoup plus considérable, mais le mandataire de la famille royale de Belgique n'en a pas moins maintenu l'offre faite la liste civile, qui l'a acceptée. Le prix total de la vente est de 91,887 liv. st. il s'agit d'une étendue de plus de 1,652 acres. - Mardi, vers deux heures, dit l'Echo du Nord, la filature en reconstruction de M. Scrive, rue Jemmapes, Lille, détruite récemment par un incendie, s'est écroulée avec un fracas épouvantable. Les colonnes en fonte supportant la construction ayant perdu leur équilibre par suite d'un mou vement du sol causé, dit-on, par l'abon dance des pluies, les voûtes n'ont plus eu d'appui et se sont effrondées, entraînant avec elles toute la maçonnerie. Les ouvriers étaient occupés prendre leur repas celte circonstance les a sauvés. Lundi matin l'alarme était au camp d'Helfaut Le camp brûlait Bientôt la nouvelle en fut répandue dans notre ville, et chacun, voir le vent violent qu'il faisait, se figurait un véritable océan de llammes enveloppant toutes les bara ques construites sur le plateau d'Helfaut. La nouvelle n'était que trop fondée. Le feu avait pris au grand pavillon de l'Empereur, et peu s'en était fallu qu'un des officiers logés dans cette baraque ne pérît dans les flammes. Heureusementles secours arrrivèrent prompteraent de tous les côtés la fois, et le désastre s'est borné deux baraques et leurs mobiliers, entièrement consumés. (Mémorial de Lille.) FRANCE* Paris i" janvier. Jeudi, trois heures, l'Empereur et l'Im pératrice, avec le prince impérial, sont allés au pavilion de Rohan faire visite la reine d'Espagne. Don François d'Assise, en habit de ville, grand cordon de la Légion d'honneur, et la reine, en robe de soie verte, ainsi que le prince des Asluries, portant également le grand cordon, et la princesse Del Pilar sont descendus au bas de l'escalier, où ils ont reçu leurs augustes visiteurs. L'Impératrice a embrassé la reine, puis elle est montée, au bras du roi, dans les appartements, suivie par l'Empereur, la reine et les jeunes princes. 3 La visite a duré une heure. L'Impératrice portait un? charmante toilette robe de satin maure et bleu sur fond noir, corsage de velotrs noir avec dentelles, chapeau fermé. Elle était chaus sée de souliers découverts avec bouffettes noires. Quand Leurs Majestés Impériales se sont retirées, l'Impératrice a embrassé très-cor dialement la reine; le roi lui a baisé la main Les trois enfants se sDnt embrassés, en même temps que le prince impérial bai sait la main de la reine. Une demi beureauparavant, la princesse Mathilde était allée faire visite la reine d'Espagne. PRESSE. Le roi de Prusse s'est fait i la jambe, par suite d'un faux pas, uue légère contusion dont on a lieu toutefois, dit la Gazette na tionale, d'espérer, grâce an repos et aux soins voulus, la prompte gnérison. Il résulte d'un rele»é officiel sur l'état des brasseries en Prusse que l'on comptait dans les anciennes provinces de la Prosseeo 1867, 3,75i brasseries situées dans les villes et 3,568 h la campagne, et que le revenu provenant de l'irn- pôt sur le malt s'élevait a 1,836,73 1 thalers, soit 6,872,740 fra5 c. Ces chiffres, comparés k ceux correspondants des années précédentes, prouvent que la production et la consommation de la bière ont notablement diminué; ainsi, le nombre des brasseries a baissé, depuis l'année i865, de 107, et le prodoit de l'impôt de 44o,53t fr. 25 c. Eo ce qui coucerne la consommation, on a con staté qu'elle avait diminué, eu moyeoue, d'envi ron un litre par habitant. En y comprenant les États nouvellement acquis par la Prosse les Principautés de Lippede Waldeck et de Pyrmont et les enclaves, le nom bre des brasseries s'élevait en 1867 4,428 dans les villes et 4,578 dans la catnpagoe, sur lesquelles 829 oe sont pas exploitées. Le produit de l'impôt sur le malt a donné sur toute l'étendue de ce ter ritoire 1,930.995 thalers, ou 7,24i,23i fr. 25 c. Onguent et Pilules Holloway. -- Prin cipes incontestables. -- Tous les ulcères deman dent, pour leur goérison une large provision de sang pur et de la force dans les oerfs et les vais seaux, afin de reconstituer une nouvelle chair. Que les reraèdès Holloway puissent effectuer ces deux conditions, c'est un fait qui ne peut plus actuelle ment faire question, puis qu'il a été prouvé d'une manière irrécusable, dans le monde entier, par des malades des deux sexes. Quand une plaie se pré sente sur quelque partie du corps, excepté sur la jambe, il est utile que les Pilules et l'Onguent soient pris en même temps; mais, quand l'ulcéra tion est sur la jambe, c'est ordinairement un sim ple mal local, que l'Onguent, bien frotté et bien appliqué, peut guérir tout seul. Les misères, dangers et désappointements que, jusqu'ici, les malades ont éprouvésdans les drogues nauséabondes, se trouvent présent remplacés par la certitude d'une radicale et pioropte guérison moyennant la délicieuse Revalenta Arabica Du Barry de Londres, qui rend la parfaite santé aux organes de digestion, aux nerfs, poumons, foie et membrane muqueuse, aux plos épuisés même, guérissant les mauvaises digestions (dyspepsies), gastrites, gastralgies, constipations habituelles, héroorrhoïdes, glaires, vents, palpitations, diarrhée, gonflement, étourdissement, bourdonnement dans les oreilles, accidité, pituite, nausées et vomisse ments; douleurs, aigreurs, crampes et spasmes d estomac, insomnies, toux, oppression, asthme, bronchite, phtbisie (consomption), dartres, érup tions mélancolies dépérissement rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhes, hystérie, névralgie, vice du sang, hydropisiemanque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. Extraits de 70,000 guérisons. CURE DU PAPE; Rome, 21 juillet 1866 La santé du Saint Père est excellente, surtout depuis que, s'abstenant de tout aotre remède, il fait ses repas de la Revalentà Arabica du Barry qui a opéré des effets surprenants sur lui. Sa Sainteté ne peut assez louer les avantages qu'elle ressent de cette excellente farine, dont elle prend une as siettée chaque repas. Correspondant de la Gazette du Midi. N° 5o,4i6: M. le comte Stuart de Decies pair d'Angleterre, d'une dys pepsie (gastralgie), avec toutes ses misères ner veuses, spasmes, crampes, nausées.N° 49.842 Mme Marie J0|y, de 5o ans de constipation, indi gestions, des nerfs, asthme, toux, flatus, spasmes et nausées. N* 46,270 M. Roberts, d'une consomption pulmooaire, avec toux, vomissements, constipation et surdité de 25années. N°53,86o Mlle Gallard rue du Grand Saint Michel 1 7 h Paris, d'une phtbisie pulmonaire, après avoir été déclarée incorable, et qo'elle n'eût que quelques mois vivre. Elle a opéré 70,000 guérisons où tout autre remède avait échoué. En boîtes de i/4 kil«, 2 fr. 25; 1/2 k., 4 fr.; le kil., 7 fr. 6 kil., 02 fr. 12 kil., 60 fr. La Revalenta chocolatée rend appétit digestion, sommeil et e'oergie aux personnes et aux enfants les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire. En boîtes et eo tablettes de 12 tasses, fr. 2-25 de 576 tas ses60 fr., ou environ 10 c. la tasse. Envoi contre bon de poste. Barry du Barry et C#, 12, rue de l'Empereur, k Bruxelles. Se vend Y près, chez MM. Frysou, phar macien; Becuwe, pharro.; G. Veys, pharm. et veuve Mahieu, coofiseur; et dans toutes les villes, chez les premiers pharmaciens épiciers et confi seurs. 1. 1869, 12 uren 's raiddags. VAN Op de hofsteden en landen gebruikt door sieurs Ignatius Noyez, Emmanuel Muyssen en Vincent Swaels, op weinig afstand der plaets. Doorhetambt vandenNotaris T ITECA te Yperen. NON LOIN DU VILLAGE Sur le verger et les pâtures de la ferme occupée par le sieur Constantin Deberdt, consistant en 59 ORMES, 11 FRÊNES ET CHÊiNE, propres toutes sortes d'ouvrages midi précis. Long crédit sous bonne caution. Le Notaire VAN EECKE, Neuve- Eglise, est chargé de la vente. Immédiatement après la vente, il sera vendu en la Maison Communale LOCRE, croissant dans le bois nommé den Trog Westoutre, près le cabaret den Volksvriend occupé par le sieur Henri Logie.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3