1° D'UNE BELLE FERME BEUKENBOOMEN et II. 32-32-90 C. MM 39IMUM 2° II. 1-03-03 C. TEIilVE 3" II. 1-47-90 C. PRAIRIE GRASSE KEYEM, occupée par M, AILLE D'YPRES. VILLE D'YPRES. VILLE DTPRES. P. BEKE. T12 5} 2) ISO OpUIaendag 15 Februarius population de 410,978 ou après correction de 1,177 par jour. Le nombre constaté des émigrants in digènes a été de 142,731 ou de 391 par jour. Le prix moyen du froment, qui était de 67 sh 11 d. dans l'automne 1867, est tombé 31 sh. 11 d. dans les 13 dernières semai nes de 1868, et si le prix du pain avait suivi une baisse proportionnelle, celte dernière denrée serait tombée de 8 6 d. En Angleterre, le taux des naissances pour 1,000 a été de 26,31 et celui des décès de 22.20. Dans un cas comme dans l'autre, les chiffres sont un peu au dessus de ceux de la période précédente. On dit Londres qu'il a été fait une proposition qui, selon toute probabilité, sera acceptée savoir que tous les gou vernements européens qui ont signé la convention monétaire internationale adop tent également un timbre postal interna tional uniforme. (Sun) LE TRIOMPI1E OU MÉRITE ET DE L'INTELLIGENCE. H y a environ (rente ansle genre humain était obligé de se contenter d'un traitement dur, incertain et souvent illu soire, pour se guérir, ou lâcher de jouir d'une robuste santé; aiais il était impossible d'atteindre l'un ou l'autre. Dans cer taines contrées, telles par exemple, que les côtes d'Afrique, les Indes Orientales et Occidentales, les partiel marécageuses de l'Amérique et les régions glaciales du Cauada, la seieiioe médicale ne savait alors quel remède il fallait administrer, pour foitifier la constitutiondans quelque circonstance que oe fût, ou suivant la maladie dont elle était atteinte. Ce fut alors que se présenta le Professeur Holloway, svec ses simples, mais admirables remèdes, dont les succès complets et uni formes furent immédiatement appréciés par les Anglais de toutes les classes et conditions de la sooiété; les expériences qui en furent faites l'étranger confirmèrent rapidement le verdict du publio anglais En tout temps, de tels résultats ont dû attirer l'envie de la profession; principalement parce que le Professeur Holloway s'appliqua tout d'abord suppri mer la plupart des maladies auxquelles le corps humaiu est sujet, il fut combattu eu raison même de ses succès. Pendant qu'il recevait les bénédictions de ceux qu'il avait sauvés et qui étaient tout disposés attester la bonne composition et l'effi cacité de ses remèdes, il était déuoucé par les autres comme un ennemi commun, digne d'être lapidé plaisir. Personne, du reste, n'était capable de supporter ces attaques, aussi bien que le Professeur Holloway, soutenu comme il l'avait toujours été, par la bonne opiuiou de la majorité du public pour ses remèdes, avec lesquels il avait triomphé de toutes sortes de maladies, dans tous les pays du monde. Vainement, la jalousie de profession de la sotte prévention ont voulu critiquer sa méthode et ses succès la voix universelle et la gratitude du genre humain «ont plus puissants que l'intérêt personnel et cette voix est en parfait accord sur le mérite de ces bien esti més remèdes. Nulle part, cependant, la réputation du Pro fesseur Holloway n'est mieux établie, que dans les Iodes Orientales et Occidentales. Allez où vous voudrez, dans nos possessions étrangères et dans toutes les famillesvous en tendrez des louanges sur l'efficacité des Pilules et Onguent Holloway. Les lièvres intermittentes ou bilieuses, les affections glanduleuses ou cutanées, en un mot, toutes les maladies particulières ces pays, sont précisément celles pour lesquelles les Médicaments Holloway sont si salutaires, alors que tous les autres sont sans résultat Aucun remède n'est plus mer veilleux qae les Médecines Holloway qui sont devenues le vaste entrepôt du marché médical dans le monde entieret atssi indispensables que la nourriture dans chaque famille. A quoi pourrait-on attribuer une telle popularité, si ce n'étai) l'efficacité de ces infaillibles remèdes et leur supériorité reconnue sur les divers autres qui ont été employés jusque-là, pour guérir les souffrances humaines. Cnity Telegraph. Onguent et Pilules Holloway. Plus de Consomption. La grippe, le rhume et la fièvre dominent toujours dans notre variable cli mat. Bien que faciles gue'rir dès le début, si ces affections sont négligées, elles engendrent soovent de sérieuses maladies dont la principale et la pins fatale est la consomption. En faisant usage des Pilules Holloway, dès l'approche d'une de ces maladies, et si les symptômes deviennent plus pressants, en se frictionnant bien, deux fois par jour, le dos et la poitrioe, avec l'Onguent Hol loway; tout danger cessera, toutes tendauces la coosomption seront sûrement bannies et le corps, dégagé de toute matière impore deviendra plus sain qu'avaDi la maladie. Ces Pilules ne contenant aucun ingrédient uoisible de quelque sorte que ce soitles plus délicats comme les plus timides peu vent les prendre sans craindre. Plus de 70,000 guérisons par la délicieuse Re- valenta Arabica du Barry prouvent que les misères, dangers et désappointements qoe, jus qu'ici, les malades ont éprouvés par les drogues nauséaboodes, se trouvent présent remplacés par la certitude d'une radicale et prompte goérison moyeooant la délicieuse farine de santé Revalenta Arabica Du Barry de Londres, qui rend la santé parfaite des organes de digestion, des nerfs, pou mons, foie et membrane muqueuse, aux plus épuisés même, dans les mauvaises digestions (dys pepsies), gastrites, gastralgies, constipations habi tuelles, bémorrhoïdes, glaires, vents, palpitations, diarrhée, gonflement, étourdissemeut, bourdonne ment d'oreilles, acidité, pituite, migraine, nausées et vomissements douleurs, aigreurs, crampes et spasmes d'estomac; insomnies, toux, surdité, oppression, asthme, bronchite, phthisie (consomp tion)dartres, éruptions, mélancolie, dépérisse ment rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhe, hystérie, névralgie, vice du sang, bydropisie, manque de fraîcheur et d'énergie nerveuse. CURE DU PAPE Rome21 juillet 1866. La santé du Saint Père est excellente, surtout de puis que, s'abstenant de tout autre remede, il fait ses repas de la Revalenta Arabica du Barry, qui a opéré des effets surprenaots sur lui. Sa Saio- teté ne peut assez louer les avantages qu'elle res sent de celle excellente farine dont elle prend une assiette chaque repas. Correspondant de la Gazette du Midi. Guêrison n56,g35. Barr (Bas-Rhin), 4 juio 1861. Monsieur, la Revalenta a agi sur moi merveilleusement; mes forces reviennent et une nouvelle vie m'anime comme celle de la jeunesse. Mon appétit, qui, pendant plusieurs années, a été nul, est revenu admirablement et la pression et le serrement de ma tête, qui, depuis quarante ans, s'étaient fixésë l'état chronique,ne me tourmentent pins. DAVID RUFF, propriétaire. Eo boîtes de i;4 kil., 2 fr. 25; 173 k., 4 fr.; le kil., 7 fr. 6 kil., 52 fr. 12 kil., 60 fr. La Revalenta chocolatée rend appétit digestion, sommeil et énergie aux personnes et aux enfants les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire. En boîtes et eo tablettes de 1 2 tasses, fr. 2-25 de 576 tas ses 60 fr., ou environ 10 c. la tasse. Envoi contre bon de poste. Barry du Barry et C', 12, rue de l'Empereur, a Bruxelles. Se vend Ypres, chez MM. Frysou, phar macien; Becuwe, pharm.; G. Veys, pharm.; et ▼euve Mahieu, confiseur et dans tontes les villes, chez les premiers pharmaciens épiciers et confi seurs. 11. ÉTUDE DU NOTAIRE HEYVAERT, A GH1STELLES. "VENTE PUBLIQUE A LEFFINGE, près d'Ostende, occupées par Philippe De Pla, avec droit de bail jusqu'au 1er Octobre 1870, au prix annuel de 3,000 francs. SCHOORE, occupée par Uitenhove. Charles Dekegser. La séance de MISEA-PRIX, avec primes de 1/2 p. 0/0, aura lieu le 2 MARS 1869, 5 heures précises, YHéml-de-Ville Ghis- telles, et Y ADJUDICATION DÉFINITIVE, le 16 du même mois. S'adresser, pour les cotditions au dit No taire HEYVAERT et au Notaire VA N ELS- LANDE, Bruges. La place de SURVEILLANT au pension nat annexé au Collège communal et l'École moyenne est vacanteence moment. Les avantages attachés cette place sontoutre le logement et la nourriture, un traitement minimum de fr. 850. Les aspirants sont invités se présenter en personne l'autorité communale ou en cas d'empêchement, lui envoyer leur demande avec les pièces l'appui dans le moindre délai. Inutile de se présenter si l'on ne possède les connaissances requises pour donner des cours élémentaires d'histoire et d'arith métique. Le Collège des Bourgmestre et Échevins informe sesadministrés que la commission administrative de la route d'Ypres Zille- beke, a fait la demande tendant pouvoir continuer pendant un terme de 3 années prendre cours le 1" Janvier 1869, la per ception du demi droit de barrière établie sur la route de Zillebeke. Il prévient les intéressés que les oppo sitions ou les observations auxquelles cette demande pourrait donner lieuseront reçues pendant 20 jours. Fait Ypres, le 4 février 1869. Les Bourgmestre et Éciievi.ns, L. VANHEULE. par ordonnance Le Secrétaire, J. DE CODT. L'Administration locale prévient tous les habitants que les rôles pour le recouvre ment de la TAXE PROVINCIALE sur les Chevaux, Bêles Cornes et Moutons ainsi que de celle sur les Chiens pour l'exercice 1869. sont provisoirement arrêtés et dépo sés au Secrétariat l'inspection des contri buables. Ceux qui se croiraient lésés sont admis faire valoir leurs réclamations devant le Conseil Communal. Fait Ypres, le 9 Février 1869. les bourgmestre et échevins, par ordonnance Le Secrètaite, J. DE CODT. VAN or PASSCIIENDAELE, LANGS DEN STEENWEG BY HET ROOSEKE. 1869, ten 1 ure namiddag, zal den Notaris CHUISTIAEN,by venditie verkoopen: 40 koopen zware BEUKEN BOOMEN, staende by het huis van Francis Kesteloot, op Passchendaele, by de berberg hei/ioo- seke. En onmiddelyk daernaer in den Mispe- laerbosch, 4 zware El KEN waeronder twee pestels en 2 groote ABEELEN alsmede wat BOOMSNOEI. Op gewoone voorwaerdcn en tyd van betaling mits borg stellende. 1 De vergaderiug by koop 1 aen den steen- weg by bet huis van dito Kesteloot.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3