UNE MAISON ET FONDS BIENS IMMEUBLES DE TERRES A LABOUR NEUVE-ÉGLISE, Rue de Sleeniverck. TISÎIDIO En vertu d'un octroi du Tribunal de I" instance séant Ypres, le Notaire THERRY Neuve-Eglise, procédera, en présence de Mr le Juge de paix du can ton de Messines, la Vente de l'IMMEUBLE dont la désignation suit Rue de Sleeniverck. Une MAISON cidevant usage de bou cherie et de boutique avec Êtable et le FONDS en dépendant de la contenance suivant litre de 2 ares 20 centiares et d'à près cadastre section C, N° 470un are 80 centiares; aboutissant du levant et du midi les enfants Deren, du couchant le potager du sieur Walle et du nord la rue de Steenwerck. Cette Maison est le lieu mortuaire du S' Bartuélemi Debreu et est actuellement in habitée. L'acquéreur en aura la jouissance dès l'adjudication. SITUÉS a WVTSt'.IUETE, Publiquement MESSINES. darne en lui criant Ce n'est pas ici qu'il faut vous arrêter. Allez au Pizeo. C'est la plage napolitaine où fut tué Murât. Une femme tristement célèbre Paris et Turin, la comtesse de Castiglioneest aussi Rome ou elle prétend se livrer des études d'art. On se souvient que son mari,cl+ef de cabinet de Victor Emmanuel, se tua en tombant de cheval le jour où il accompagnait le duc et la duchesse d'Aoste, qui venaient de se marier. M. de Castiglione a été remplacé dans son emploi de chef du cabinet du Roi, par un certain Daghemo, ancien vitrier plombier de Moncaglieri. Il est vrai qu'il est cousin de la fameuse Rosina fille d'un tambour-major et que Victor Emmanuel a épousée morganali- quement. IL irai JAMAIS TROP TAU» DE SE CORRIGER. C'en »*esentence pleine de consolations comme plusieurs armes sage» dictons; «iris elle est sujette beMcoop objections; il y a de nombreuses maladies ■drreii-iqiies qu'il semble trop tard de pouvoir guérir, suivant les théories acceptées et la pratique ordinaire. D paraît, cependant, d vprès l'évidence de l'optaioo publique, les faits rapportés et les demandes universelles pour les Remèdes Holloway, que 1a plupart des maladies, bien que désespérées dtms le sens vrrdwmre do-mot, peuvent trouver uu rayon d'espoir dans leur usage et leur application. On peut admettre que plus d'an cas regardé comuie sans espoir par un praticien, a été guéri par nu autre; mais le succès des Pilules et Oogueot -Holloway en fout un cas d'iufaillibililé, parce que «es médicaments ont toujours obtenu la gnérison, même quand le malade était k la dernière extré mité. De tout temps oo a présenté comme un spécifi que des panacées, ou médecines universelles, recommandées de ooofiance pour toutes les mala dies, même désespérées. Le tabac même a joui un moment de cette haute et puissante distinction; il a été certainement recommandé par d'émineuts mé decins, comme un remède convenable pour quan tité de maladies. Toutes ces médecines universelles n'eurent, cependant, qu'une vogue éphémère; car, «n réalité, oo a trouvé qu'elles ne répondaient pas h leor programme. Noos sentons qu'il y a l'a quelque chose comme ■une preuve décisive de leur inefficacité. C'est tout différent, cependant, lors que nous trouvons une médecine doot les promesses sont les mêmes tuais qui obtieut immédiatement la vogue, en raison de sa popularité et quid'année en année est de plus en plus demandée dams chaque partie du monde civilisé et non civilisé parmi les riches et les pauvres; tous ont attesté son efficacité pour les maladies les plus variées et particulièrement dans cette classe de -maladies affectaut les organes diges tifs. Nous voulons parler des remèdes du Professeur Holloway qui, sans doute, sont bien connns de tous nos licteurs et n'ont aucun besoiu de notre recom mandation. C'est un fait singulier et qui range la théorie du Professeur Holloway au-dessus de toute question, h savoir que les habitants de tous les pays où ces remèdes ont été introduits, les ont regardés comme spécialement appropriés poor les maladies ordi naires de leurs contrées. Si nous voulons en connaître la raison elie consiste dans ce fait que ces maladies opèrent sur toos les principes délétères do saog dont l'impureté cause toujours des désordres, quels qu'ils puissent être* c'est pour cela que leurs effets sont toujours salutaires, sans jamais porter aucun préjudice au système, comme tant d'autres médecines. Ces re mèdes qui ont guéri les malades dans toutes les parties du monde, sont les fruits légitimes de pro fondes recherchesbien étudiées et combinées et d'une longue série d'expériences pratiques. English Reformer. Ongubnt et Pilules Holloway. Pour toutes les plaies, blessures, maux de jambes et entorses de toute sorte, cet Onguent est la plus j efficace préparation. Il soulage immédiatement, en réduisant l'inflammation et en modérant le cours du sang vers la partie endommagée. Lors que la maladie dure depuis longtemps, il faut que cet Onguent soit secondé par les purifiantes Pilules Holloway qui agisseot sur l'estomac et le foie, et empêchent la digestion de se déranger par suite de souffrances, d'iiiqniétudes et de fièvres; ce qui retarde beaucoup laguérison et souvent Tend gra ves les cas les plus légers. Aucune mère de famille, aucune nourrice ne doit se trouver sans ces nobles remèdes; ils sont applicables également k tous les âges et toutes les constitutions. Ils purifient le sang, régularisent sa circulationteuouvelient les parties malades et fortifient le système. Tout maladie cède k la douce Revalenla Du Rarry qui rend santé, énergie, digestion et som meil. Elle guérit, sans médecine, ni purges,ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, coustipation, diarrhée, toux, asthme, phibisie, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang. 70,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape, le duc de Pluskow, M™® la marquise de Bréhan,etc. Plus noorrissatite qnela viande, elle économise 5o fois son'prix et» d'autres remèdes. N* 4o,42 2 M. Bladwin, do délabrement le plus complet des nerfsestomac, vessie, intestins et paralysie des membres, par suite d'excès de jeunesse. Cure N' 62.815. Tbuillies (Belgique), 3-e septembre 865. Dépôts 30 ans j'ai souffert d'une dyspepsie avec tous les maux qui en résul tent. Votre Revalenla Arabica a fait disparaître la stupeur, lachaleur de l'estomac et les congestions cérébrales, J.-J. Noël.N* 48,721. M. le baron de Zalnskowski, général de division, de souffrances terribles de plusieurs aunées dans les voies diges tions. En boîtes de i/4 kit.. 3 fr. a5; 173 k., 4 fr.; le kil., 7 fr. 6 kil., 32 fr. tu kil., 60 fr. La Revalenla chocolatée rend appétit digestion, sommeil et énergie aux personnes et aux enfants les plus fail-les, et nourrit dix fois mieux que la viande et que le chocolat ordinaire. En boîtes et en tablenesde 12 lasses, fr. 3-s5 de 576 tas ses 60 fr., oo environ 10 c. la tasse. Envoi contre boo de poste. Barry du Barry et C*, 13, me de l'Empereur, k Bruxelles. Se vend Ypres, chet MM. Frysou, phar macien; Becuwe, pharra.; G. Veys, pharm.; et veuve Mahieit, confiseur; ei dans toutes les villes, chez les premiers pharmaciens .épiciers et confi seurs. 8. ET DÉPENDANT avec 1I> p. de prime de mise a prix. ■-fjji n— Celte vente aura lieu Neuve-Église; savoir La MISE A PRIX le MERCREDI 17 MARS 1869, en l'estaminet le Château du Lièvretenu par le sieur Delbecque. El VADJUDICATIOX le MARDI 50 du même mois, en l'estaminet tenu par Eu génie Uequekerchaque fois 3 heures de ■relevée. S'adresser pour tous renseignements audit Notaire 'l'HEHRl7} possesseur des litres de propriété. études dem' llOMMENS,notaire a warsêton, et dem' LOTTHÉ, notaire a baillecl, nord. BEAUX consistant en 6 HECTARES 43 ARES 30 CENTIARES et IPSULUBIEB, a proximité de messines, h goa On expose en Vente publique, savoir COMMUNE DE WYTSC11AETE, («stbl: meamarn. i" Lot. Uoe partie de TERRE et portion de PRE, contenaDt d'après titre 5a ares 56 cen tiares et connue an cadastre section D N* 648 pour g ares go centiares de Pré, et N* 64g, poor 4o are»8o centiares de Terre b L&haur, soit ensemble 5o ares 70 centiares, tenant du levant ia terre de M. Edouard Callens, séparant sur fossé, do midi la terre des frères Menu, sur sillon, du couchant le chemin dit Kromme-slraet, et du nord le che min dit Klyt Pot-slraet. Occupée savoir .environ 17 ares par Louis Mesplomb, k 5o francs l'an, et le surplus par I.ouis Breyne, k 5.5 francs par an, outre les contributions tous deux avec droit de jouissaoce jusqu'au 1" Octobre 1871. 2° Lot. Une partie de TERRE A LABOUR, d après litre d'un hectare 42 ares 02 centiares, et selon cadastre section D, N" 8ii et 812, d'un hectare 4o ares go centiares tenant do levant a la terre des enfants Favaut-Delobel k Ypres, sé parant sur fossé, du midi la terre de M. Augpste Deflorisone, séparant sur fossé, du couchant au chemin appelé Toereloerestraljeet du nord k la terre des dits enfants Favaut-Delobelsur fossé. Occupé ainsi que les 5% 4", 5' et 8' lots par Jean Mesplom. avec droit de jouissance jusqu'au i°' Octobre 1871 au fermage annuel de 072 fr. outre les contributions. Ce lot sera présenté en deux parties comme suit La première partie comprendra la moitié du midi, k séparer en ligne direcie.de l'est k l'ouest. Et la deuxième partie comprendra la moitié du nord, k séparer en ligne directe de l'est vers l'ouest. 5° Lot. - Une partie de TERRE A LABOUR, selon litre de 44 ares ou environ, et d'après ca dastre section D N* 8 16 de 41 arestenant du levant le 4* lot, séparant sur sillon, du midi la terre des dits enfants Favaut-Delobel, séparant sur demi-fossé, du couchant k la terre des enfants Louis Dumortier séparant sur sillon, et de nord aux terres de M. Jacques e: de M. le juge Sartel sur fossé. Occupé par ledit Jean Mesplom. 4* Lot. Uoe partie de TERRE A LABOUR, selon titre de 4i ares 83 ceniiares, et d'après cadastre section D, N* 81 7,de 4i ares, teuaDt du

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Le Propagateur (1818-1871) | 1869 | | pagina 3