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colorante sans la rléirtiire. l)e fait, cette
matière colorante est un coin orga
nique rlon t le cuivre est l'un fies éléments
essentiels elle est soluMe daus IVhi et
les louracos tenus en rage et privés 'le l'a
liment qu i. dans l'état dp liberté, lent four
nil du cuivre, perdent en quelques jouis,
rien qu'en se baignantcette belle colora
lion ruauje; ce qui. au reste, n'a aucune
action appréciable sut leur santé, (Cosmos
Une société d'Européens faisant un
piqueniq ue dans le voisinage de llankow,
eu Chine a failli être victime de la même
folie qui fait croire au bas peuple, en cer
lains pays d'Europe, que les étrangers
ïuenl les petits enfants.
Six dames et messieurs venaient de se
mettre table, quand une foule, composée
de 300 400 individusessaya de forcer
l'entré du bungalow où les convives
croyaient ils, étaient en train de cuire et
de manger des enfants. Heureusement,
l'un des Européens parlait chinois, et pen
dant qu'il essayait de faire entendre raison
aux Chinois, ses amis regagnèrent leurs
bateaux.
Peu après, lorsque les Européens revin
rent pour chercher leurs accessoires, ils
trouvèrent plusieurs Chinois cherchant
avec soin, dans les pots et les plats, les os
du massacre.
Les Chinois croient que les étrangers se
servent des yeux d'enfants commecharmes.
Les journaux de San Francisco an
noncent le départ, en ballon, de l'aéronaute
Junder se proposant de se rendre en
Europe par la voie aérienne.
M. Junder prétend avoir définitivement
résolu le problème de la direction des
aérostats.
Un journal assure qu'on vient d'orga
niser en Amérique un train de deux cents
voilures, avec dix locomotives en flèche,
entraînant huit mille voyageurs.
Une petite ville peut ainsi partir tout
entière par un train de plaisir.
Le pronostic. Le général Dugommier,
accompagnant un jour Bonaparte au co
mité de la guerre, dit aux membres qui le
composaient Je vous présente un officier
du plus grand mérite; il ira loin; si vous
ne l'avancez pas, il saura s'avancer de lui-
même.
Conservation des raisins. Introduisez
tout simplement le bout de la tige du raisin
dans une pomme de la grosseur d'un œuf.
On étend ensuite les grappes sur la paille
sèche et on les retourne de lempsen temps.
FRANCE.
Paris, j septembre.
Le Libéral de Seine-et- Oise assure que le
■préfet de ce département a annoncé au conseil
.général qu'il était question de l'annexion des
jommnoes du département de la Seine au dépar
tement de Seine-et-Oise. Le département de| la
Seine se trouverait réduit b la ville de Paris.
Ou lit dans la France On sait que d'intel
ligents propriétaires parisiens, dans le simple but
de louer le quatrième étage au oiêiue prix que le
premier, ont imaginé de inunir leurs maisons d'ap
pareils élévatotres dits ascenseurs.
Avant-ilier, un monsieur et une dame, désirant
visiter an appartement, sont invités par le con
cierge essayer les merveilles de l'inveotion nou
velle.
Le cooeierge introduit, donc les visiteurs dans
la boîte mobile, et crac psitt l'appareil fonc
tionne. Mais arrivé unecertaioe hauteur, une se-
«ousse se fait seDtir, la machine s'arrête.
Uoe minute se passe, puis deux, puis cinq. Le
monsieur se fâche, appelle, crie; peioe iootile.
L'appareil est emravé par la rupture d'une
maille de la chaîne de sûreté, qui se trouve comme
trouée entre les parois do mur et la tôle de i'as-
ceuseor. Impossible de bouger de là.
Cela se pas-an six heures do soir. Que faire?
On court chercher un <errutier puis denx, pots
trois impossible de dégager la machine arrêtée
entre le troisième et le quatrième étage. A peine
d'ailleurs osait on y loucher, craignant de préci
piter les voyageurs. On court chez l'inventeur
qu'on ne trouve pas
La nuit survint; obscurité complète, manque
d'aliments. Bref, ce ne fut que le lendemain
que l'entrepreneur, avec une équipe d'ouvriers
spéciaux, put rendre la liberté ces prisonniers
d'un nouveau genre. Le ciobait-on? le monsieur
n'était pas content et menace d'actionner le pro
priétaire.
A Lille, un caissier nommé Maes, d'origioe
belge, au service de M. D..., fondeur la Made
leine, que son patron avait envoyé toucher une
sotume de 5.000 fr, chez tin banquier de cette
ville au lieu de reprendre la route de la Made
leine, s'est dirigé sur Tournai, il paraît que M. D...
fait des démarches pour obtenir l'extradition.
ANGLETERRE.
Le nombre des volontaires qui jusqu'ici se sont
fait inscrire pour assister aux prochaines fêtes de
Bruxelles et de Liège est déjà de plus de mille. La
liste des inscriptions ne sera close daus les bureaux
du vice-cousulat belge Londres que samedi.
Londres, io septembre.
Le Times recommande avec instance l'empe
reur des Français la suppression de l'exille de la
famille d'Oiléans.
PRESSE.
Voici quelques chiffres intéressants sur les Irai -
temeots des hauts fonctionnaires de l'armée prus
sienne.
Le feld- maréchal commandant eu chef Wraogel,
outre le logemeoi et le chauffage, reçoit annuelle
ment 9.000 tbalers, y compris les Irais de service,
plus 2,000 thalers de supplément; les i 2 généraux
coinmandaots reçoivent 10,000 thalers, le général
inspecteur de l'artillerie, 8,000 thalers; les 25
commandants de division, 5,5oo thalers; les qua
tre inspecteurs d'artillerie, 4,5oo thalers; enfin, les
4o commandants d'infanterie, les 25 commandants
de cavalerie et les 12 commandants d'artillerie
reçoivent 5,3oo tbalers, toujours y compris les
frais de service.
PILULES U'HOI.LOWAY - Le Grand Secret. - Avec la
température variable de ce pays, la mauvaise sauté s'y intro
duit, moins que le sang«te temps a autre ne soit purifié, et
que les matières nuisibles ne soient expulsées du corps. Four
cela, le public peut être son propre médecin; les Pilules
d'Hollaway peuvent être achetées un prix insignifiant. Des
instructions pour leur emploi seront fournies avec les Pilules
et la moindre attention, a peu de restrictions près, mettra a
même les personnes de se conserver en bonne sauté quelles
que soient les circonstances et les épreuves. Ces Pilules sont
«Itératives, toniques et apéritives. La Médecine Holloway
doit être sous la main, pour être de suite administrée, aussitôt
que le premier symptôme avertit de l'approche d'une maladie.
Santé a tous par la douce Hcvalenta Arabica Du ftarry
délicieux aliment réparateur qui a opéré 70,000 guérisotis
sai s médecine et saus purges. Elle économise cinquante fois
sou prix en d'auties remèdes, rendant la parfaite santé des
organes de digestiou, des nerfs, poumons, foie et membraDe
muqueuse, aux plus épuisés même, dans les mauvaises ou
laborieuses digestious (dyspepsies), gastrites, gastralgies, con
stipations habituelleshémorrhoïdes,glaires, vents, palpitatious,
diarrhée, gonflemeut étourdi.^sementbourdonnement aux
oreilles, acidité, pituite, nausées et vomissements même eu
grossesse, douleurs, aigreurs, crampes et spasmes d'estomac
insomnies, toux, oppressionasthme, bronchite, phthisie
(consomption), dartres, éruptions, mélancolie, dépérissement,
rhumatisme, goutte, fièvre, catarrhes, hystérie, névtalgie,
vice du sang, hydropisie; manque de fraîcheur et d'énergie
nerveuse. 70,0 o cures, y compris celles de S S le Pape
le duc de Pluskow, Mmc la marquise de Bréban etc., etc.
Plus nourrissante que la viande, elle économise 5o fois son
prix en d'autres remèdes.
Extrait de 70,000 yuérisons. N° 5*2.081, M. le duc do
Pluskow, maréchal de Cour, d'une gastrite. N° 48,84*2
Mme Marie Joly, de 5o ans de constipation, indigestion, des
nerfs, asthme, toux, flatusspasmes et nausées.
En boîtes de i/4 kil., 2 fr. 25; 1/1 k., 4 fr« le 7 fr
6 kil 3a fr 11 kil., 60 fr -- La Revalenta chocolatée rend
appétit, digestion, sommeil et énergie aux personnes et aux
enfauts les plus faibles, et nourrit dix fois mieux que la
viaude et que le chocolat ordinaire. -- En boîtes et en tablettes
de 12 tasses, fr 2-25; de 576 tasses, 60 fr., ou euvirou 10 c.
la tasse. Envci contre b n de poste. Barry du Barry et
O, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles.
Se vend Ypres, chez MM. Frysou, pharmacien; Becuwe
pharm G. Vf.ys, pliarm., et Mahieu, pâtissier, et daus toutes
les villes, chez les premiers pharm., épicierset confiseurs 4-
ETAT-CIVIL D'YPRESj
Du 2 au 19 Septembre Inclus.
NAISSANCES 9 Sexe masculin 5 idem fémiuiu 4»
MARIAGES. Mort-au, Abdon, messager de l'admi
nistration communale, et Gillebert, Mélauie, domestique.
Yandcleene, Henri, sellier et Bubbe, Érnelie, modiste.
Demey, Charh s sergent au 10e de ligne, et Nicaise, Hono
rine sans professiou. Catteeuw, Benoit, charpentier, et
Brûlez, Sophie, repasseuse.
DÉCÈS. Gouwy, Charles, s 5 ans, rue Basse. Vèrslyp,
Marie, 69 ans, laveuse, veuve de Martin Holvoet, rue de
Menin. Metsu Catherine, 69 ans, dentellière, épouse
d'Ives Déporté, rue de Menin. Baes, Sophie, 62 ans, sans
profession, célibataire, rue Longue du Marais. Lejeuue,
Marie, 68 ansjournalière, veuve de Corneille Waeghema<-
ker, rue Longue de Thourout. Un temple, Marie, q3 ans,
institutrice, épouse de Jeau-Bapte Seght-rs, rue des Bouchers.
ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 2. Sexe masculin
I idem féminin 1.
YPRES, 11 SEPTEMBRE 1869.
ÉTAT Indiquant les quantités et le prix moyen
de« CJraluM, Fourrages et autres produits agri
coles venduM an marché de cette ville
I iNATURE
quantités
PHIX
s i
DES
VENDUES.
NIVCS
i
c
par 100
a
Graine et Uenréee.
Kilogrammes.
kilogrammes.
1 -
Froment
20,400
28-00
80
Seigle
7,3oo
19 5o
75
1,200
21-75
44
1,000
24-00
80
Féveroles.
Pommes de terre
6,200
7*5o
Beurre
2ÔO 00
Pain de farine de froment broie 28 c5 le kilo.
Idem pour les foudations de 5o c', 1,070 gr.
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