AVIS. OVERSLAG 3 Verdeeld, in 12 koopen. HSGESTELD 17,700 FRANKS. Voor nadere inlichtingen, zich te ver- voegen bij genoemden Notaris DE TA- VERNIER. Plantsoenen en Eikjes ta fi fi fi 2 - a S Sska|-S|s l 5 - 5 5siv u S - Ci h O 0 fa fi b - Des mesures immédiates ont été prises pour découvrir sa famille. A trois heores précises, la calfat Haogoel et le gendarme Ferraod, profitant d'une suspension d'audience, sortirent de la coor d'assises et, bras dessos bras dessous, se dirigèreot «ers le restaurant do Tribunal de commerce mais k peine s'étaieot ils aitablés, qu'une foule immeose envahit cet établissement. n Après s'être restaurés, ces deux témoins priocipaox se dirigèreot, toujours sui*is par ooe foule immeose, «ers le palais de justice où en arrivant, le gendarme Ferraod, étouffé presque par la poussée qu'il «euaii de sabir sur les mar ches do perron principal, s'affaissa entre les bras de son noovel ami. a En moios de temps qu'il ne nous en faut pour J'ccrire, le calfat Haogoel, de ses bras «igotireox, enleva le gendarme Ferraod, et, aox applaudisse ments de la foole, le pot la presque jusque dans la cour d'assises. n Vers oeof heures du soir, daos la salle des Pas-Perdus, où se pressait une foule fiévreuse at tendant le résultat de la délibération du jory, un ton! jeune homme, «êtu avec une remarquable élégance, s'adressait d'un air égaré aux sergents de ville et aox gardes do Palais, en sVcriaot Arrêtez-moi! arrêtez-moi! je sois uo des com plices de Tropœano Et comme les agents souriaient et le laissaient dire, cet étrange solliciteur vociférait an milieu de Ja foole Mais il n'y a plos de justice en France! je leur déclare qne je sois coupable, et ils ne veulent pas m'arrêler w a Le même soir, vers cinq beores. noe dame très-prpprement vêtae se présentait ao commis sariat de police du palais de justice et demandait k parler en particulier k M. Bérilion. Comme cet honorable magistrat était absent poor le moment, cette dame se décida k conférer avec le secrétaire. Dans un langage excessivement imagé, cette dame réclama avec beaucoup d'insistance son ar restation immédiate. Je suis une grande coupa ble, dit-elle en pleurant k chaudes larmes. De complicité avec Tropmaoo, j'ai commis les plos horribles forfaits. Je ramasse les empoisonnements domicila. Vous avez arrêté mon complice in carcérez moi, c'est justice. Voyant qu'il avait affaire h noe folle b qui les récits de l'horrible assassinat de Pantin avaient porté le dernier coop, après l'avoir qoestioonée sur son nom, qu'elle ne voulait pas donner, snr sa demeure, dont elle ne se sooveoait pins, et snr sa famille, qn'elle prétendit n'avoir jamais conooe, le secrétaire de M. Bérilion envoya celte femme au dépôt de la préfecture de police, d'où, après la vérification d'an médecin coostatant l'insanité de son esprit, elle sera transférée dans on asile d'alié nés, 'd moins que sa famille, si da moios elle en a encore une, oe la réclame k l'autorité. Onguent et Pilules d'Holloway. La Meilleure Route Poor arriver k un botil y a toujours ooe route qui est la meilleure. Cette as sertion s'appliqne avec une force extraordinaire aux remèdes d'Holloway qoi renversent les mala dies en chassant les matières nnisibles da corps, en réparant les organisations brisées oo injuriées et en rétablissant nne marche régulière. C'est Ik, la seule méthode sûre et prariqoe de combattre les maladies, et d'assorer nne santé solide. Avec de saDg par, an bonne digestion, des nerfs vigoureux, et des fonc tions parfaitement en ordre, la plopart des mala dies penveot être vaincues et la force rétablie d'an raauière sûre. Les qualités balsamiques et appai- santes de l'Oogoent d'Holloway, le rendent ines timable chez les eofants poor goérir les coupures, êgratignureset les plaies maux; pour calmer les inflammations, réduire les tumeurs, et porifier les peaux malades. Tout malade trouve, par la douce Revalenta Arabica santé, énergieappétitlionne digestion et bon sommeil. Elle gaérit, saus médecine; ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidité, pituite, nausées, renvois, vomisseinntsconstipation diarrhée, toux, asthme, phthisie, tous désordres de la poitriue; gorge, haleiue, voix, des bronches, vessie, foie, reins, iutestius, muqueuse, cerveau et saug. 70,000 cures, y compris celles de S S. le Pape, le duc de PluskowMad. la marqnise de Bréhau, etc., etc. Plus nourrissante que la viande elle rend la sauté et écouomise 5o fois sou prix en médecine. En boîtes; 1/4 kil., 2 fr. i5; i kil., 7 fr,; ia kil. 60 fr. Du Barry et C«, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Appétit) digestion, somoieil et énergie rendus par la Re- valeuta Chocolatée aux personues, et aux eufauts les plus faibles, elle uourrit trois fois plus que la Viande. Eu ta blettes pour 6 tasses, 1 fr. 25; pour 12 t., 2 fr. i5, l\ t.,f4 fe» 48 t., 7 fr. Eu boîtes en poudre de 12 tasses, 2 fr. i5 de 576 tasses, 60 fr ou environ 10 c. la tasse. Du Barry et Ce, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Le plus pur et délicat Chocolat est la Perfection de Cho colat du Barry préparé sans aucuu mélange de fécules ou autres substances nuisibles ou pâteuses et par des machines spéciales qui enlèvent au oacao tout principe d'échaufFemeut, ce Chocolat est parfaitement soluble et convient aux estomacs les plus délicats ou irritables, et justifie pleinement sou nom de Perfection, n En tablettes de 75 c. et 1 fr. soit 6 fr. le kil., qualité vanillée 1 fr. et 2 fr. soit 8 fr. le kil. 1 kil. de ce Chocolat alimeute mieux que 2 kil. de Chocolat ordinaire efpar cette raisou il est moins coûteux. Du Barry et C®, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Dépôt à- Ypreschez MM. Frysoo, pharmacien; Beccwe, pharm G. Veyspliarm.et Mahieu, pâtissier; et dans toutes les villes, chez les premiers pharm., épiciers et confiseurs. 5 ETAT-CIVIL D'ÏPRES, Du 31 Décembre 186» au 9 Janvier 1811 Inclus. NAISSANCES 16. Sexe masculin lo, idem féminiu 6. Mariage. Delaere, Jeao, journalier, et Lievraux, Natalie, dentellière. Décès. Vaospranghe, Pierre, io ans, S' Pierre lez Ypres. Floreotyn, Jacques, 5a ans, sans profession, époux d'Horieose Ciinckemaillie, ■roe do Quai. Caenen, Félix, 82 ans, sans pro fession veof de Rosalie Tryssesooe roe de Dix- mode. Lefebure, Reine, 76 ans, sans piofession, veove de Philippe Veisavel, roe de la Boole. Lebon Amélie, a4 ans, dentellièreépouse de Désiré Vandeimeersch, roe du Plat. Maerten, Ferdioand, 62 ans, ferblantier, époox de 8ibienoe De Witte, rue de l'Êtoil. Billiet, Colette, 7? aos, sans profession, célibataire, roe de la Boole. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 4. Sexe masculin 1idem féminin 3. YPRES, 8 JANVIER 1870. ÉTAT Indiquant le. quantité, et le prix moyen de. Grains, Fourrages et antres produits agri cole. vendu, au marché de eette ville 1 nature oes Grain, et Denrée.. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX M9YKM par 100 kilogrammes. e 2 .1 0 Q t - Froment 5o,4oo 24-12 80 10,000 18-00 73 900 22 00 44 l 600 23-5o 80 1 Féveroles. 1,200 25 OO 80 Pommes de terre 4,ooo 8-5o Beurre 3oo-oo Pain de farine de froment brnte 25 c* le kilo. Idem pour les fondations de 3o c*, 1,200 gr. AaamsiEis. On demande pour la ville d'Ypres uo AR CHITECTE pouvant remplir les fonctions de voyer et donner un cours de construction l'Académie de dessin et d'architecture de ladite ville. Les avantages attachés cette place sont au minimum de 3,000 francs par an. Il est indispensable que le postulant parle la langue flamande. Kantoor van den Notaris DE TAVERNIER, TE LANGEMARCK. YLRkOOPI\G VAN GOEDE ZAAILANDEN. rr iat 1 WOENSDAG 19" JANUARI 1870, om 4 ure des namiddags, te Langemarck, op de plaatster herberg de Koornbloemgehou- den sieur Hollevoet, van eene GOEDE PARTIJ ZAAILAND in- houdende, volgens meting 5 hectaren 89 aren 55 centiaren, gelegeo te Langemarck, wijk Wijdendrift, langs de Dixmudestraat, nabij de kassijde op Bixscbote, Ingebruiktreding 1" October 1870. Studie van den Notaris DE BOO, TE @©STWLETE(^ilM0 Dinsdag Ie" February 1870, om 3 ure, ter herberg S* Sebastiaen Hof, te Oostvleteren VERKOOPING li&ISQY. staende op 2 h. 90 a. bosch, in Oost- en Wesivleteren. cc ■a M X a 11| w d es ca H as H lAj ce a cc eâ Q ss CC -s! u H SE Sâ ^m S J M SE o h US o se Ed 25 O fi) M ua É- cs US M 2 M W C3 eu fcO m g a I s s a *s 2 5 9 c* a w M «S o- a s a a -a 4) (s y C S V a -O 3 J3 3 a» a 1.2? S S -a -s s i. C g g s s "K S.2 go a S "S - S O - "v fe V 5 o an S 2 s S s a ci T a CO 5 g H g .S «a -ca g uCcs-.c.2c - S *P Jd JS -S a -«3oï;xS'a«i. c g 2 iSi s? S a c S 3 5 2 -- - S aj en t. a g 5 a i'-3-S.ï2 a s.s l's 3 3 l-ïj-g -, o "a 7. SI - a '■'S? g T3 v "T S - y o 2 n nn 'T5:=>OawT3.£Po.«-3 2 «5 •ïsi3Ëfl® M <J y. t- j— «j M t. 57 -g 0X5 s _2 Si, •- o e s ^-sa f-: g -*■« g„-a r .S c 3 S fa S- 3 Z y fi w "5 e S c S SBillcS a - - g' ti - co -S fii-S - M C 7^ V r" 2 ■- V .1? te - V te - «c m" 3 -v ■5 X a JÀ O s r sfs - a 2 B-S-° s •s'"® 5 «sl:q?l «,o -"■-Si*- s .2 s sJt .5 a a m .2 w .S stfS cbJ2 n u 'S. - cret15w S 4JSu-c4,asa£flo 4î'S s «0*8 w v S» Sa O aî'ïSîa'S-as'yJ 2 -S sï e aJi - UÏ J n S-u a*i .:s - -a t- b ce a -3 o r - "H 3 S "5 S £-J=5=.SB»S ïo.jJM5 u. a a .2 S**3 a S 43 a; mlS ScTS v *3*.ce i!s S- M a a"« S'® 1 J.1® v fl W v 5 :r»-- a o -e r»* S e -a s xi te*a C5 J2 c v si 5-ï g 5 ^4 -c a "c c -C CC -V W Cm re 2 w bfi C f S 5 e-sa 3.-II115 e m -Tfi -jTT 2i S 5 - p c tr.w r SÏôïSg S-5 s 3 .-S g g S tjl^ aj U O c i» in S y. 1 a e m a a .180-5^ >ia-s«Ss-? CI co 2 "O te^d .2 SX ScU ce n. Ci -CO g z r - x s •- s=? 5± Me - N s S S .j: au s fa «os - f- K C H Ls: c/; W Cil 2 CL p 2 S w >5 E fS 5 B A H

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3