HUISRAED, HÊTRES VENDITIE Donderdug 2,411 Fehruary Le Mardi 15 Février 1870, VENTE PUBLIQUE TRÈS-BEAUX SAPINS Une, terrible,, explosion de gaz a eu lieu le 4 courrai dans les .faines de char bons de Knowles Charleston Salford (Angleterre), 1$ m.atin 10 heures. Seize hommes oni été grièvement blessés per sonne n'a été tué. Les blessés ont été trans portés au district de Salford. S" f2 l|£=sI1l; ta fcc - i. Al O ihî z}-Z SU u %t V 5 -ià *J z 5 J i B.3 îi i| VTZ o »if b m X se i tà a là ETAT - CIVIL O'ÏPRES B. Eeneboeveelbeid gerooki «etkeos Vleescb, Boterkem, Roipen, Standen, Seolèn, Kordewagen, Spaden, Hauwen en Rakels, Koeimest, Dilipersen 2 eiken Stoks, Brandbonl en meer andere voor- werfpen. C. Het volgende Goudweik een diamanten Borstkrriis, 2 gonden Halskelingen met Slotjes, eeu paer gouden Oors'lingers en eenen goudeu Riug. D. Eeue seboone bekalfde Koei. Dit Hooi bevindt aich ter sc/iuer van den molenaer S' Amaod Anipoorter, te Ooslvleteren, tegen de versche brug, alwaer men het zelve te koop aenbieden zal Tyd van betaling voor de koopen van 5 francs en daer boven mils horg de gene daer onder benevens den 10'" penning zullen moeten gereed volduen wezen in banden van den Notaris S 2 SCO, te Ooslvleteren met de Verkooping gelast. DOOR STERFGEVAL. JUWEELEN, 1870, ow 1 ure namiddag, ten hune alwaer de wedttwe Boucquey Kjkoo gestorven is; Kasteelstraet ,54 te Ooslvleteren zal er Koopdag geliouden worden, van A. Al het Mrthgie Geed, zooals: Stoelen, Tafels,-Commode, Spiegels, 2 Slaghorlogieo met INSTITUTION ROYALE DE MESSINES. dits fFeymouth, ET DE MÉLÈZES (LARYXS) Bois-Taillis et Plançons La réunion près de l'habitation du sieur Français Denturck, garde bois, qui indi- j quera les marchés. S'adresser pour tous renseignements l'étude du Notaire BUT AÏE Messines, chargé de la vente. uaa®a©as. l-O-t'-" PHÉNOMÈNE DE LA NATURE EN AUSTRALIE. DES MALADIES ET DE LEURS REMÈDES u-^ L'Australie a été appelée un pays de contrariétés, non-seu lement au point de vue du cliftiat, mais jânriir Sa iialèfèellé- même. Les maladies et iufirmités des hommes §ont cepondaut, les mêmes datiïf celte réfciato éloignée q4i'attx?ebtre de U civi lisation et, ici comiùe U bas, le stus cotwnuu et IVkyérieoce pratique de toutes les classes ont fait reconnaître Piueslimable valeur dèi retaédes dtf profess< o>' Util oway ^pÀur ro différen tes maladies auxquelles la race humaiue'est sujetlfe. c* On pourrait peut-être penser que, parce que bous abondons en exceptions toutes les règles dé l'hfttuiré hâtuïêllé, parce que nous avons des Cygnes noirsdes Cerises croissant avéfc le uojrau en dehors, des poires d'uue cWlicieuse apparence mais dures comme le bois, des abeilles sai/s'idard des fleurs sans odeur, des arbres sans éoorce, des hiboux chauUut jpendant le jour, ei des coucous, pendant là nuit^ obJ pourrait pt*nser; disons-nous que les maladies qui dominent en AÙStralié ne sont point également usuelles et qu'elles ne peuveut être ar rêtées, ni doriiptées par ces préparations qui ont triomphé des maladies et arraché a la mort des milliers dé persohues de tous les pays C'est une grave erreur. Dans ces colonies, plus que dans tous les "autres pays du moude, leurs succès ont été com plets et universels. Il est vrai que les maladies les plus com munes eu Australie Van Dieman^s Laud et New Zealaud, ont certaines formes qui les distingue qdelqile peu de celles de même nature en Europe, mais ces souverains remèdes triom phent de tous les syitiplômes endémiques et accomplissent la guérison aussi sûrement que l'application correcte des priucipes mathématiques résout uu problème de la science des nombres. (.es rhumatismes et soi tout les plus désolants, lêgueutdaus les régioos où se trouve l'or, paralysant les membres et détrui sant l'espoir du mineur. L'Onguent dans de tels cas, produit les plus étonnants résultats. Les articulations contractées, recou vrent bientôt leur flexibilité, dès qu'elles sont frictionnées avec celte pénétrante préparation, l a douleur et l'iuflamma- tion qui accompagueut les rhumatismes aigus, sont invaria blement dompté, s par quelques frictions; et alors même que - tous les mêmbres sont paralysés par la nulAdie, ceux-ci re couvrent rapidement leurs libres mouvements et leur vigueur primitive, au fur et mesure que la chair et les libres muscu laires absorbée) oette régénératrice préparation, au moyen de de frictious avec la maiu La Névralgie, le Tic-Douloureux, et toutes les autres affections des nerfs sont guéries avec une égale facilité par les mêmes moyens Les Pilules, par leur opéràtiou directe sur les sécrétiau-% et de là sur le sang, peu veut aussi être piises avec uu avautage remarquable, dans toutes les maladies où l'Onguent est employé pour chasser les développements extérieurs die la maladie, une fomentation avec de l'eau tiède des parties affectées, ainsi que,de temps en temps, des boissons chaudes pour exciter la perspiratiou, sont de très- bons auxiliaires pour obtenir une prompte guérison. Pour toutes les maladies des muscles, des uerfs et des glan des,- aussi bien que pour les ulcères, les meurtrissures, les éruptions, les tumeurs, les affeotious scrofuleuses, je suis cou- vaincu que les Pilules et l Ongqeut Hollowây sout les seuls spécifiques complets et certains. Par un Vieux Colon. ONGUENT ET PILULES HOLLOWAY - Plus de Consomption. La grippe, le rhume et la fièvre dominent toujours dans notre variable climat. Bien que faciles guérir dès le début, si ces affections sout négligé- s, elles engendrent souvent de sérieuses maladies dont la principale et la plus fa tale est la cousomptiou. Eu faisaut usage des Pilules Roiloway, des l'approche d'une de ces maladies, et si les symptômes de viennent plus pressants, en se frictionnant bien, deux fois par jour, le dos et la poitrine, avec l'Ougueut Holloway tout dan ger cessera, toutes teudances la cônsomptiou seront sûrement brunies et le corps dégagé de toute matière'impure deviendra plus sain qu'avaut la maladie. Ces Pilules ne contenant au cun iugiédit-nt nuisible de quelque sorte que ce soit, les plus délicats comme les plus timides peuvent les prandre sans crainte. Depuis la cure dn Saint-Père par la douce Revalenta Arabica, et les adhésions de beauooup de médecins et d'hô pitaux, nul ne pourra plus, douter de l'efficacité de cette déli cieuse Fariue de Santé, qui guérit, sa as médecine, ni purges, ni fiais, les dyspepsies gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipa- lion, diarrhée, toux, asthme, phthisie; fluxion et tous dé sordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et saug chio'ose, flueur blanche, hémorroïdes. 70,000 cures, y com pris celles de S. S. le Pape, du duc de Pluskow etc etc. Plus nourrissante que la viaude elle rend la santé et économisé 5o fois son prix en médecine. Eu boîtes; ijq kil., 2 fr. 25; 1 kil., 7 fr.; 12 kil. 60 fr. Du Barry et O, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Appétit, digestion, sommeil et éuergie rendus par la Re valenta Chocolatée aux personneset aux enfants les plus faibles, elle uourrit trois fois plus que la viaude. En tablettes pour 6 tasses,'! fr. 25; pour 12 t., 2 fr. a5', t., 4 fr 48 t., 7 fr. Eu boîtes eu poudre de 12 tasses2 fr. a5 de 076 tasses, 6 fr ou environ 10 c. la tasse. Du Barry et C% 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Le plus pur et délicat Chocolat est la Perfection de Cho colat du Barry»» piéparé sans aucun mélange de fécules ou autres substances nuisibles *»u pâteuses, et par des machiues spéciales qui enlèvent au cacao tout principe d éebauffemeut, oe Chocolat est parfaitement soluble et convient aux estomacs les plus délicats ou irritables, et justifie pleinement son nom de Pertectiou. E11 tablettes de 75 c. et 1 fr. soit 6 fr. le kil., qualité vanillée i fr. et a fr. soit fr. |e kil. i kil. de ce Chocolat alimeute mieux que 2 kil. de Chocolat ordinaire et par cette raison il est moins oouteux. Du Barry et Ce, 12, rue de l'Empereur, Bruxelles. Dépôt Ypres chez MM. Frysoc, pharmacien; Beccwe, pharm G. Veys, pharm.; et Mahieupâtissier; et dans toutes les villes, chez les premiers pharm., épiciers et confiseurs. 3, 11! es g o - a 1 s5 1 a" I a bd i £3 .j M 1 2 -n V - _c !&>- i-S"13 S g v s,'5 s, -i s o S V .s i-5'f «=- l'f ïii! «3 .5 B - 2 c"=j*tï s e 1/5 a "s- r-s-su a3 u aas"ïo 5 s - S - o OC C3 W OJ te S S JS fif tt 2 o fe - s/> ec P - à*73 S B s -•£,= §-=us'ô. m èL. ~z 9 "O C 5r a 2 2 w. eu ta ■o s -> i- -r S 3-*- E .2 5 i:S w S 'j- 5 4 -r.-j: 3 s - r CzJ a <u c - i 5 o - s c - •- S -a s I. •- g - - se sï-ë s s »§e! -à 13 n 1; î8 B i"- 1.5 e s g er. S 5 ût*? CO - N v I «i s s a g- o W - T ir 5 J-ff a r i'ï;-: g - 1 s 1-ï s o x C ce e- V) M O D 5 y. B K fiâ H ce eS 1 s»- -s! H - 9 ii - <Du «-«a férrler t- NAISSANCES 16. Sr.Kr masculii g, idem fêmibin j. Mariages. Ler«qr,'Ctiarlw, nMlitaire pen sionné et Gombeit, Eugénie, deitellière. Ver- meersch Servaisjournalier etSieelandtReine domestique. Décès. Verstraete, Virpnie, 66 aoé, sans profession, veuve de Pierre Dîtnan, rue Grim- miuck. Zorré, Prudence, Sg ans, dentellière, célibataire, Zaelbof. Vramboul, Marie, yi ans, dentellière, veuve de François Vaodenbulcke, rue de Boestngbe. Mortier, Natalie, ans, sans profession, veuve de Fraoçok Lambin, rue de Lille. Vaudecasery, Pierre, g7 ans,Sans profes sion, veuf de Mouique Dewaegheoaere, roe de Lille. Declercq, Anoe, saris profession, céliba taire, Marché aux-Fripiers. j t ENFANTS AU-DESSOUS Dp,.? ANS 5- mSexe masculin 4, idem féminin i. YPRES, 12 FÉVRIER 1870. ETAT indiquant les quantités et le prix moyeu des Grains, Fourrages et autres produits agri coles vendus au marché de cette ville 1 Rassen, Kokslove met Oveo, koperen Kaodelaers, Lampen, Moor, Marmyteo, Kasserollen en Koffi- kaonerl; veel Yzer-,Tio-, Glas-, Gleis en Aerd- Werk; K-fiffers, Lidkaotèu, Onderbedden, 2 wollen Matrassenwollen en ploioien Hoofdeinden en Ootkosseus, catoenen en wollen Sa'gien, Spreijen, Bedlakens io linwaed en catoen Wascbkoordeo, enz. ,r«- - Eu E. Ongeveer 6,000 kilogrammen zeer goed Meerschhooi van den opbrengst van 1869, iu bundels. Fromeot Seigle Avoine Pois Féveroles. Pommes de terre B-urre Paio de farine de Idem ponr les fondations de VAN [BIEiTOÂEL EM C=0@©0, TE OOSTVLETEREN. V" v ,,k 2 heures précises de relevée, DE Propres aux Charpentiers, Naceliers, Construc teurs, etc., ainsi que de ...S gVU r~. 4 QU'ON SB LE DISE. 24-25 i8-5o 23 OO 23-00 LS» OO o-oo

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Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3