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VASTEN.
LES PÈRES DU CONCILE ILLUSTRÉS
OEFENINGEN
dagelyksche
3fr.
LE VOLUME ILLUSTRÉ
découvrir rien qui fût dénaturé lui don*
ner lé mot de l'énigme. Une seule chose
était évidente pour lui, c'est que les objets
dont nous venons de parler étaient le pro-
doit d'un ou de plusieurs vols. Quels étaient
les voleurs? Qui avait été volé? Sur ce
point, nui indice.
Les choses en étaient là quand, lundi
matin, un autre pécheur la ligne vint
s'établir presque au même endroit, tou
jours vis-à-vis du commissariat de police
de l'Ile Saint Louis, et au bout de quelques
instants il découvrait un second trou,
peu de distance du premier, lequel conte
nait, lui aussi, une grande quantité de piè
ces d'argenterie, de chandeliers surtout.
M. Clément a de nouveau remis les ob*
jets déposés son bureau la préfecture
de pqjice et rouvert son enquête; il est
inconcevable que des pièces d'orfèvrerie
pour une somme aussi importante, nous le
répétons, aient pu disparaître sans que la
police en ait été informée, sans qu'aucune
plainte ait été portée, de façon qu'on ignore
encore complètement qui elles peuvent
appartenir. Ces cachettes ont évidemment
été pratiquées par des malfaiteurs qui ve
naient y déposer le produit de leurs vols.
Un paysan des environs de Colmar
mit découvert, en creusant son champ,
un vase de forme singulière qui paraissait,
vu son état de détériorationremonter
une haute antiquité. Aussitôt toutes les
académies, toutes les sociétés savantes du
Haut et du Bas-Rhinde la Lorraine et de
la Franche Comté ausside publier les
mémoires les plus historiques, scientifiques
et archéologiques pour constater l'origine
du vase, et de se livrer aux commentaires
les plus ingénieux et les plus savants pour
expliquer l'inscription aux trois quarts
effacée qui se trouvait sur les parois du fa
meux pot et était ainsi disposée
T.E.RR.D.F O.I.... GR,
AV. T.R.V.F...S.
Des flots d'encre avaient coulé sans que
la question fût élucidée, lorsqu'un restau
rateur de la ville, venant livrer une com
mande chez le baron de S..<, qui s'était
renduprix d'oracquéreur de la pré
cieuse relique, la vit en traversant un salon,
soigneusemeet placée sur une étagère au
milieu d'autres trésors.
Tiens, s'écria t-il, qu'est-ce que vops
faites donc de ce vieux pot là? j'en ai une
douzaine de pareils dans ma cave.
Pareils fit le vieux savant avec tMi
sourire de pitié,ep êtes vous bien sûr?
Je crois bien que j'en suis sûr,
pjeuve que l'indication de la marchandise
est encore dessus ep vieille écriture
Terrine de foie gras aux truffes.
Le Progrès, de Lyon, annonce que les
tisseurs en velours de l'ArbresIe (Rhône)
viennent de se mettre en grève. Ils deman
dent une augmentation qui les rapproche
des prix de Lyon. Les patrons ont refusé,
et les ateliers ont été désertés l'unanimité.
Une aventure lugubreracontée par
le Salut public de Lyon
Il y a trois joursdeux utilitaires qui
rentraient,la nuitclose.au fortdeLoyasse
et suivaient le chemin remontant de Vaise
qui longe le cimetière, entendirent des voix
plaintives qui semblaient partir du funèbre
enclos.
Ces militaires, passablement émotion-
nés, se dépêchèrent d'aller prévenir le con
cierge du cimetière, qui se rendit avec eux
l'endroit d'où les voix s'étaient fait en
tendre.
Arrivés au bas du cimetière, dans cette
partieconsacréeaux premières concessions
a perpétuité, que des monuments la plu
part en ruine, des effondrements de terrain
et une végétation abandonnée son exu
bérance rendent si lugubrement pittores
que ils trouvèrerent demi morts de
frayeur, deux petits garçons et leur bonne,
jeune fille de dix huit ans,
Cette fille, qui avait pris le cimetière
pour but de promenade, et s'y était engagée
la nuit tombanteavec les deux enfants
congés sa garde s'était égaré dans le
dédale de l'immense nécropole.
La nuit était venue; la cloche avait
annoncé la fermeture des portes, et tes
deux terribles dogues, gardiens nocturnes
des sépultures, avaient été lâchés. Leur
flair infaillible leur avait de suite révélé
que des vivants foulaient indûment le sol
habité par les trépassés.
Ils s'étaient lancés sur la piste des trois
malheureuxles avaient trouvés et les te
naient bloqués dans l'entourage d'une
tombehérissant leurs poilsretroussant
leurs crocs formidables et grondant sour
dement au moindre mouvement des trois
captifs.
Si les appels de ceux ci n'eussent point
été entendus des militaires, ou si l'on eût
attribué ces gémissements des âmes en
peine, qui sait ce qui fût arrivé!
Un honorable excentrique a eu une
idée vraiment originale.
Quelques jours après le bal de l'Hôtel-
de-Ville de Paris, et sachant qu'un grand
nombre d'objets y avaient été perdus, il a
fait publier un avis conçu peu grès dans
ces termes
La personne qui a perdu au vestiaire
de la Préfecture un bracelet d'orenrichi
d'un Chiffre en (jjgm-iBjg? RfHf !g fm reti
rer chez M. qui I a trouve et le tient a sa
dispositjpn.
Puis Fadressç.
Le lendemain c'éait une procession chez
l'honorable.
Uni sçole dame, dont te nom est connu
dans le monde parisiens'est présentée.
Elle avaji en effet perdu on bracelet; mais
i)le n'e pas voulu reconnaître pour sien
celui dont la prétendue restitution lui était
offertp.
Les autres, la vue du bracelet, se sont
lotîtes montrées prêtes s'en emparer.
Celle ci, du reste, Iqi étaient parfaitement
inconnues.
J'aurai l'honneur de le porter moi-
même chez vous, si vous voulez bien me
le permettre, disait le trouveur.
Et comme la proposition était agréée, il
se débarrassait ainsi de son monde et con
tinuait ses études sur le vif.
Hier, trente-deux persounes avaient re
connu comme leur appartenant ce bracelet,
qui en réalité n'avait été perdu par per
sonne.
Est-ce assez édifiant (Gaulois.)
ÉTAT-PONTIFICAL.
La police a autorisé le port du masque
sur le visage dans les rues.
Cette concession est faite pour la seconde
fois depuis 1850.
Un calme parfait règne et le parti uni
taire est impassible.
Une pluie continuelle tombe et le car>
naval est inanimé.
Te bekomen len Buree/e van dit Blad
Pour paraître le ao Mars prochain
POUR TOUTE LA FRANCE:
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Rime, 38 février.
PILULES HOLLOWAY. Affections bilieuses. Au
printemps et la fiu de l'annéerien n'est plus commua et
peu de maladies sont plus désolantes que celles provenant des
dérangements du foie. L'approche des nausées, de la migrai ne,
de la lassitude et la perte d'appétit se feront recounaîlie im
médiatement comme des symptômes d'affections du foie
qu'on peut très promptemeut arrêter, en régularisant l'ac
tion de cet organe. Les Pilules Hi lloway exercent sur U
sécrétion de la bile une saine influence qui est connue cl
appréciée dans toute ta Grande Bretagne et ses colonies. Ce*
Pilules guérissentalors que tout autre médicament a échoué-
Ceux quidepuis plusieurs années, souffraient de la bile, «le
maux de lêle, du foie, ont, grâce ces Pilules, élé cmupléle.-
meut jeudus la santé et une bonne digestiou
Toute maladie cède la douce Révalenta Arabica, qui
rend santé, éuergie, digestiou et sommeil. Elle guérit, sans,
méd» ciue, ni puiges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gas
tralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées, renvois*
vomissements, constipation, diarihée, toux, asthme, phtListe,
iloxiou et tous désordres de la poitiiue, gorge, haleine, voix,
des bronches, vessie, foie, reins, iuUstins, muqueuse, cer
veau et sang, chlorose, flueur blanche. 70*000 cures, y compris
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LE TEXTE est rédigé en grande partie d'après les no.
tes fournies psr les Père, eux-mfmee. LES PORTRAITS
•ont, pour la plupart, dessinés d'après des photographiée
communiquées bienveillammeot par tes prélats.
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«n oe moment où tous les yeux sont tournés vers Rom-, el où
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