M été fiancé cette pauvre jeune femme, qui succombait ainsi victime de la fatalité. La foudre est tombéeVenise sur la poudrièrede Santo Spirito,qui contenait trois cent mille kilogrammes de poudre. Le paratonnerre a reçu la décharge élec trique. La pointe a été littéralement fon due et la tige tordue, mais le tonnerre n'a causé aucun autre dommage. Le vieux maestro Mercadante, âgé maintenant de 74 ans, que presque tout le monde croit mort, vienl d'être chargé de composer l'hymne qui sera exécuté la distribution des récompenses l'exposition internationale de Naples. t de petites bandeset qu'il a été pris par le gouvernementde concert avec le Con grès, des mesures qoi seront très-utiles au pays. Un tremblement de terre très-violent a été ressenti le 11 mai Tabaco. Les églises et presque toutes les maisons de Mialmitla ont été renversées; près de Pochutla, la roule était impraticable. Des rochers et des pierres des montagnes l'encombraient complètement. Il a péri beaucoup de monde. La révolte de Guayama a été apaisée. De nouvelles mines d'or ODt été décou vertes près de Jalapa. Les progrès des rebelles de Rio Grande agitent beaucoup le gouvernement. On dit que Placido Vega, qui a tenté d'attaquer Kosario, a été batln et contraint de se sau ver. Le bruit court que le général Negrete doit se réunir aux rebelles de Rio-Grande. fie a _i <3 0 O Z t tf - Origine de la petite vérole. La petite vérole, qui vient d'exercer de si grands ravages Paris, conjroeuçe devenir plus anodine. Lyou a été heureusement préservé de cette maladie meurtrière; mais d'autres villes ont été moins favorisées. Noos apprenons, en effet, que la petite vérole a fait soo apparition Selfort dans lè Haut Rhin. D'où nous est veoo ce fléau, qui éprouve si rudement l'Europe depuis des siècles? Un grand oombre d'auteurs s'accordent h regar der l'Ethiopie comme le berceau de la variole; de l'Ethiopie, elle aura gagué l'Egypte et de la l'Ara bie. t es Sarrassios la transportèrent a la suite de leurs armées triomphantes, en Syrie, en Mésopota mie, eo Perse et dans tonte l'Asie, Vers le huitième siècle, ils envahirent l'Europe son tour et le mal arriva avec eux. 11 débuta en Espagne, et dans la première Naibonnaise, pour remonter ensuite dans le nord, #fiesi'&« que tes croisades eurent rendu plus fréquentes les communications des peuples entre eux. Quoi qu'il en soit de l'origio.e de la petite vérole il est certain que pendant on laps considérable les populations Furent décimées par le fléau, qui éten dait ses ravages sur tootes les classes de la société. Depuis longtemps on avait tenté d'inoculer la petite vérole. Cette pratique, d'abord usitée en Chine et en Circassie se répandit bientôt dans le monde entier; mais le remède était impuissant et la mortalité continuait augmenter daDS d'effrayantes proportions. Dans certaines parties de l'Angleterre, de l'Eu rope et de l'Amérique les vaches sont sojeltes une éruption de boutous qui se manifeste aux pis. Cette maladie épizoolique est contagieuse pour l'bomme. En France, on la nomme picotte, et en Angleterre cow-pox. Jenner étudia cette maladie qui, suivant une croyance accréditée dans Glocester, préservait de la variole. Après vingt-boit années de recherches et d'expériences, le i4 mai 1796, Jenner inocule le cow-pox h un jeune garçon, puis, pendant deux années h différents autres enfants. Tons furent pré servés de la contagion. La vacine était découverte. En t8oo, la vacine fut introduite eo France par Woodwill et Leublen. Jenner ce bienfaiteur de l'humanitémourut d'apoplexie le 26 janvier 1825. FRANCE. Paris, 5 joillçt. Les grandes manœuvres du camp de Chàlons devant présenter cette année un intérêt exceptionnel, par suite de l'élude qu'on y fera d'un nouveau système d'atta que et de défense des places, toutes les puissances militaires de l'Europe y auront des représentants. Les formalités relatives l'envoi des officiers chargés par leurs gouvernements de suivre ces manœuvres intéressantes qui commenceront dans la première quinzaine de juillet, sont terminés. (îles officiers, au nombre de 15, arriveront dans quelques jours au camp. MEXIQUE» Le Congrès national s'est ajourné le 31 mai. Le président Juarez,dans son message de clôture dit que les révolutions de San Luis Potosi et de Zacatecas ont clé réduites (World de New- York.) ONGUENT ET PILULES HOLLOWAY. Remède in faillible pour les Maux de Jambes et toute espèce de Blessures. La veule extraordinaire de ces précieuses Médecines, dans chaque partie du moude civilisé, est une preuve des plus con vaincantes de leur efficacité. Elles guérissent promptement les maux de jambes., les vieilles blessures, les scrofules, et les maladies de la peau. Des milliers de personnes souffrantes de ces terribles maladies ont été guéries, après que tout autre re mède avait échoué; il est un fait indubitable, qu'il n'y a poin^ de cas, quelqu'obstiné ou enraciné qu'il fipjtque ces merveil leuses Médecines ue soulagent promptement et ne'guéiissent ensuite. Leur action combinée est irrésistible. 11 est mutile d'eu dire cÉavaiitage en faveur de ces célèbres Pilules. Que cedX qui doUYeut de leuis suprêmes qualités en fassent l'essai. -g*---111 Sauté tous par la douce Kevaleula Arabicaqui guérit sans médecine, uipurges, ni frafà, les dyspepsies, gastrites gastralgies'glairesvents, acidités, pituites,.nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrnee, toux, asthme, pbthiste flusion et tous désordres de la poil nue, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, teins, intestins, muqueuse, cer veau et sçug, chlorose, fleur blanche. 72,000 cures, y compris celles de S. S. le Pape, le duc de Ploskow, Ml"8 la marquise de Bréhan, etc., etc. 7. Cure N° 65,817. Vei vaut, 28 mars 1866. La Revalenla Du Barry m'a sauvé la vifev et guéri ma dys pepsie de huit ans, pour laquelle j'avais suivi les conseils des meilleurs médecins sans résultat favorable, et, selon eux, je n'avais plus que quelques mois vîVfe. J'ai l'honneur, etc. A. Brenelière, cuté. Plus nourrissante que la vi^udé, elle rend la santé e* économise 5o fois son prix en médecine. Eu boites iu kîL, 2 fr. 25 1 kil., 7 fr.; kil., 60 fr. Du Barry et Cè, rué de l'Empereur, Bruxelles. Appétitdigestion sommeil et énergie rend us» par Ma Re- v al eu la Chocolatée aux personneset aux enfants les plus faibles, elle nourrit trois fois plus que la viande el rend les chairs fermes. tablettes pour 6-tasses, 1 fr. 25; pour 12 t., 2 fr. 25 2 1 t. 4 fr Eti boites eu pondre de 12 tassés, 2 fr. ?5; ^8 t., 7 fr.; 120 t 16 fr f do 5*6 tasses, 60 fr ou environ 10 c la lasse. Du Barry el G",- »2, rue de l'Em pereur, Bruxelles. iDépôt Ypr*6, cbex MM.C. Brcuwe, pharmacien, rue du Verger; Favsou, pharm ruç de DixmudejG. Veys ,pharm., rue de Lille; H M a m eu, pâtissier, rue au Beurre. iïiloor- sledc, chei Cb.1(Rp«Tv», boulanger. Poperinghechez M. A. pharmacien. Bruges. Yeuv'e De Grave drrtg./tue Éeckhout, F. Van- denplas, drqg jrue des Pitres, ff Veys DeicamptLpharm., rue Nonfraft Sablun, 41 V..Veys-Frys<»u, pharm., rue Saint- Jacques, 21 P. Pfe's, pharnp., rue Flamande, 19; H. Staen- daert, pharm rue des Pierres, 29; C Algoet-Dispersyn, uégf, rue Notre-Dame, -Ao; D/* Homdt-Gazpt, né®1, rue desVierte. 10, Van Speybroeck, uég1, rue Phvlipslock 1 5 Van Moere- Van Moere, Viéj»1, Grand'placé, (fît - J. Wiilaert, nég1, Grand - place, 62; A. Delplace, imprimeur, rue Nord du Sabiou, 24- Coyrtr,au H- Bossaert, pliai m.; El Hiers, pharm,; L. Kjndt- PciÇhu^e, pharm 5 G. Vander Éspt, .pharm. Dixmy.de. Clau^-Vaiideubussche. Fumes, i. Dobbelaere, pharm.; E. Duclos, pharm.: Ver- poorte-Taverniernégociant. $$enifl. Veuve H. Van Ackere, pharm. Nieuport. L. taTevre,pharm.; Vanbaeckel-Focqusur, phar'm. Ostende. F. Kockenpoo, pharm., rue Louise, 9; Huyward, nég1, rue «le la chapelle, 68; veuve Philips, négociante, place Saint Joseph. lîoulersF. Àmeye, pharm.; H. Boulens-Degheest, pharm. Thielt J. Buyssens-Bylpharmacien. Thourout. L. CbrniUe-Parmeutiernégociant; J. Van de Casteele, imprimeur. ÉTAT-CIVIL tVYPRES, Du lei an 9 Juillet Inclus. NAISSANCES 12. Sexe masculin 7, idem féminin 5. MARIAGES. Baete, François, paveur, et Vauderlieyden, Rosalie, dentellière. Puyeiifcroeck, François, caporal au 4e rég1 de ligne, el Cuvelier, Charlotte, taiiieuse.Delhooiq Édooard, fondeur de fer, et pepuydt, Sidonie, dentellière. DÉCÈS, Vtîrfaillie, Jéiéraie, 53 ans,journalierépoux de Lagrop, Marie, rue de Thourout. CressV, Catherine, 91 ans, saos profession, veuve de Cardinael, IgnaceSamt- Nicolas-lez Ypres. ;Delattre, Amélie, 67 ans, dentellière, épouse de Dufour, Chairesrqe I.ongue de Thourout. Cooien, André, 82 ans, sans profession, époux de Panneele, Thérèse, rue de Menin. Spons, Marie, 73 ans, dentellièu épouse de Decrnix, Pierre, rue du Lombard. Calmeyu, Rosalie, 97 ans jouniàlièçe, épousa de Soetaert, Léopojd, Saint- Jacque0.lr.2-Y près. Crock, Séraphin»:35 ans, dentellière, épouse de Decocx, Louis, rue la Bouche. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 3. Sexe masculin 1 idem féminin' 2. - - 1 YPRES, 9 JUILLET 1870. MV I Indiquant le» quantités et le pria moyen des Grains, Fourrage» et autres produits agri coles rendus au marché de cette ville NATURE QUANTITÉS PHIX M i DES r VESDUES. ntvrs 1 1 b Hlijvl lii llxtlfl 4 i p» 1Ô0 C/. -C 0 Grains el Deui'èea» Q b ■irrrgfaœmes. i Froment 26,3OO 29 2Ô 80 1 Seigle 7,4oo 22 00 73 A-oine 4oo 25 5o 44 j Poi? 1 (pOO i,4oo 25-5o 80 Fé.eroles. 26 GO 80 j Pommes de terre 1,5oo a-5o Beurre T a 85 00 Pain de farine de froment brute 29 c' le kilo. Idem pour les fondations de 5o c®1 ,o5o gr. Ui 8 gjJ a S£ S m H cfi H ai o H US O a z ,Cd Eâ H ps es la* a Ss- u ta &3 C Ç5 -5 sa is to 5 m 6 m a (A c "Ui -S •s a B g a -3 :t - --g s 2 se S ■J 3 "B .ic 1e a - a - JP -5 3 -a •- 5 - -?■s 0 c 2 OÎ3 r a -j a c 2- - -= -3 =«c" S -3 3 - IZ - if -T-atf J tc 5 es -J "Z g n* "3 2 s c - JC 3 HP eo a 5 fi - - te a rS 2^ w - - it -- r 3 S ,3.— 2 X :S-_ "*i 2 2.-3 a o -, c Z s f- "7" r te "3 ^5, 8^5 -> a - a* c -c w a 2' - a .7: r 5 s '2 5 w Z - T- - 3 -i c 2 3 a co C S y g i 0. c g ai 3 - V S - 4 fi-3 w s ■- 5 - E 6 Sîcajci.-- Ja 2 S i? S "t. S S x S i a A c* rn t> x ir S N g I 2^1= S Sa"8, <- s» - 5 3 w - - ■- -= 3^ £~-5 1.5 s •3* -T Jz - Nrf OC C £3 - s CJT C* -j- C ,1s. - ■3 S f - e- -■? q g "o d - 12 i o m te a z 60 - V to -if - j 5 j 0 e ii- M 9 T ri K ri ri tcZ -2 •- s a 6,5 'd a as a "v a 3 - 3 _r_ad 3 -* I .21: tVîïth u .2 c 7- 5 '•3 r- 5 p 1^-° su o 4 go 2J ■i km1 ■a gVe a q S -J *D O -I a Jz a -3 g1? Srî h-V -30^3 2 Sî z 3 a a>^» M C. 0 '3 aJ ce 2 c, i-c w E Z3^>£ - -s 3 Q X) tr.s. m' c a -x a '3 _.2 S P m'" d) s- S- - Z - - 6> rn B Z b Z 3 v- a -Ji c ^'2 r a to cz' r.'ii z -3 Z ao-c 3 3 Z S 'J a J; &Z n *&.2 s a a S 7 a &-c K - S. U 2 a V •u Jf ir v e M- a! r - *5 c - 3 T svf c. 3C r S

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3