AVIS. 1% ETAT - CIVIL D'YPRES, YILLE D'Y PRES. 2 I s &îi?"g c n UHRICH. ITALIE. prusse. Bruges. Veuve De Grave, drog., rue Eeckhout, 2; F. Van- denplas, drog., rue des Pierres, 9; S. Veys-Uelcampe, pharm., rue Nord du Sablmi, 4' V. Veys-Frysou, pharm., rue Saiut- Jacques, 21; P. Daels, pharm., rue Flamande, 19; H. Slaen- daert, pharm., rue des Pierres, 29; L. Algnet-Uispersyn, nég', rue Notre-Dame, 33; De Hondt-Gazet, nég', rue des Pierres, o, Van Speybroeck, uég1, rue Philipstock, 1; Van Moere- Van Mnere, uég', Graud'ptace, 92 J. Willaert, nég', Grand'- place, 62; A Delplace, imprimeur, rue Nord du Sablon, 24. Courtrai. H. Bossaert, pharm.; E. Hiers, pharm.; L. Kindt- De Gbeyne, pharm.; C. Valider Eapt, pharm. Dixmude. Claus-Vaudenbussche. Furuee. J. Dobbelaere, pharm.; E. Duclos, pharm Ver- poorte-Taverniernégociant. Stenin. Veuve H. Vau Ackere, pharm. Nieuporl. L. Lefevre, pliai m.; Vanbaeckel-Focqustir, pharm. Ostende. F. Kockeupoo, pharm., rue Louise, g;. Hayvrard, nég', rue de la Chapelle, 68; veuve Philips, négociante, place Saïut Joseph. Roulers. F. Ameye, pharm.; H. Bouleus Degheest, pharm. Thielt. S. Buysseus-Bylpharmacien. Thourout. L. Coruille-Parmeutier, négociant; J. Van de Casteele, imprimeur. 1 nature m 1 Q 166,200- Le JEUDI 20 OCTOBRE 1870, II b< du matinil sera procédé par le Collège des Bourgmestre et Êcbevios en la salle du rez dé chaussée, la LOCATION PU BLIQUE pour une ou plusieurs années de la CANTINE dans la caserne de Cavalerie. Cette Location aura lieu d'après les elauses et conditions ordinaires dont le cahier des charges se trouve déposé au bureau du Secrétariat. Décidé f Hôtel de-Ville te 15 Octobre 1870. P. BEKE. Le Sécrétait e, u SE - ce a M a se g u -© a J, -i tS E U tà 50 3 S3 m ZV-* M m a 02 a a 1 s 1 ■s -= 0 a -d a 4 -: 1 s tS #s tv - «■m-n 3 -> L. o z ut x. rs v S r±, -C f X 'JZ C b 9 Z u: U - 3 M. de Cbareite, et se sont mis ioimédiatem^ut an service de leur pays. Le gouvernement de ta dé fense nationale, qui avait déjà fait bon accuçil aux volontaires de M. de Cathelineau, a fait le niêiue accueil aux zouaves pontificaux appelés aujonrr d'hui francs-tireurs ou volontaires de l'Ouest. Voici la proclamation de M. de Cbarette a Autorisé par le gouvernement former avec le régiment des zouaves pontificaux un corps qui prend le nom d i Légion des volontaires de l'Ouest, je viens faire appel aox hommes de cœur de toute la France qui ne sont pas encore incorporés, tous ceux qui, de près ou de loin, ont appartenu an ré giment. J'avertis que je veux former un corps sé rieux où régnera la plus grande discipline; ma seule préoccupation est de défendre la France; c'est dans la ville de Tours que nous nous formons. J'espère que mon appel sera entendu nous pourrons prouver qoe le régiment des zouaves saura conserver ses traditions, qu'il restera le type de l'honneur et du dévouement, et qu'il se consa crera a la France comme il s'est dévoué la défense de Rome. Le ministre delà guerre noos a fait l'booneur d'envoyer trois de nos compagnies aux extrêmes avant-gardes. Charette. Avant de quitter Tours pour se rendre h Bâle, le général Ubrich a adressé Mgr. l'archevêque de Tours la lettre qui suit Tours, le 5 ootobie 1870. a Monseigneor, Ao moment de qoitter Tours, j'éprouve le besoin de vous remercier de l'hospitalité qoe vous avez bien voulu m'accorder. Après avoir défendu Strasbourg qoe je o'ai pu sauver, je prends le chemin auquel me coudamne le malheur de la goerre; mais en face de l'ennemi victorieux, je nesobirai pas sans une douleur pro fonde les jours tristes qui vont commencer pour moi. On a parlé de ce que l'oo appelle ma gloire; c'est de mon chagrin qu'il aurait fallu parler. a Poissé-je an moins, pendant que mon épée restera dans son fourreau, être consolé par les triomphes de notre armée. Priez Dieo, Monseigneur, pour qu'il mette on terme aox maux de notre patrie, et recevez], avec l'expression de ma reconnaissance, l'hommage de mon respect. Le général de division, Noos extrayons ce qui suit d'une lettre de Rome que l'on veut bien nous communiquer Dix-sept religieux prêtres, de l'ordre des Capucins, ont été iocorporés comme soldats dans l'armée italienne. Il serait heureux que cet acte odieux fût publié b la honte de ceux qui l'ont commis. On répand le bruit qoe le Saint-Père est trahi par les siens et que les cardinaux mêmes l'abandonnent. Or, jeudi dernier, Sa Sainteté, donnant audience k huit étêques d'Espagne qui quittaient Rome, leur a dit Dites partout que je suis prisonnier, que le Pape n'est pas libre; mais dites aussi qu'il est m faux que les cardinaux m'abandonnent ils ont pour moi le plus<touchant dévouement. Seule- inentcomme ni eux ni moi nous ne voulons n recevoir les honneurs militaires des geôliers qui i> nous gardent, les cardinaux viennent au Vatican k pied vêtus de noir et sans aucun insigne. Ajoutez encore, pour répondre h une autre calomnie, que le cardinal Antonelli a eu devant le comte Ponza di San Martino une attitude digne de sa hante position et de ma confiance. Berlin,, ia octobre. Le Staats-Ameiger dit que les opérations contre Paris commenceront par l'attaque de plu sieurs forts dont la possession est indispensable en vue de certains éventualités. La ville ne sera bombardée qu'après cela, quoi que les Allemands soient en position de faire le bombardement avant l'attaque des fortifications. Notre artillerie coosiste en canons rayés de i5 centimètres, en mortiers rayés de 18 centimètres etnployés a Strasbourg, en canons de marine et de girde-côtes doul les projectiles pèsent plos de 536 |;v:es. 1 - 'o PILULES ET ONGUENT D'tlOLLÔWAY. - Diarrhée Mangerense. Le* cause* de cette maladie affaiblissante sont si variées et la nature de ces attaques si différentes qu'elles expliquent suOîsammeut la raisun de l'éuorme quantité de ses victimes. Avec le traitement Holloway le siège et la suurce de celte maladie peuvent être dans l'obscurité, le résultat est toujours le même, c'est-à-dire heureux, que l'estomacle fuie, les gros ou petits iutestius soieul le siège de la maladie; car ses Pilules administrées judicieusement et sou Onguent vigoureusement frotté snr les parois dé l'abdomen, calment les vaisseaux excités et règlent les fonctions dérangées, quelles que soient leurs causes. L'un et l'autre de ces médicaments agissent eux mêmes directement pour rétablir uu juste équi libre eutre la seusibilité et l'irritabilité, entre la sécrétion morbide et celle qui est saine, entre la sécrétion excessive ou naturelle. Depuis la cure du Saiut-Père par la douce Revalenta Ara bica et les adhésions de beaucoup de médeoius et d'bôpilaax, nul ne pourra plus douter de l'efficacité de cette délicieuse Farine de Sauté, qui guérit, sans médecine, ni purges, ni frais, les dyspepsies, gastrites, gastralgies, glaires, vents, acidités, pituites, nausées,renvois, vomissements,coustipation, diarrhée, toux, asthme, pbthisie, fluxion et tous désordresde la poitrine, gorge, baleine, voix, des brouebrs, vessie, foie, reins, iutestius, muqueusecet veau et sangchlorose, flueur blanche, bcemor- roïdes, 72,000 cures,y compris celles de S. S. le Pape, du duc de Pluskovr, etc., etc. 9. Cure N» 62 91Î, Valgorge (Ardëche), ig ootobre i863. La Revalenta est uu remède que l'appellerai presque divin. Elle a fait uu bien immense a outre bonuesocur Julie, atteiute depuis quatre ans d'une névralgie la tête qui la faisait souffrir cruellement et ne lui laissait presque aucun repos. Grâce votre spécifique, elle est aujourd'hui gtiéiie. Mokassies, curé. Plus nourrissante que la viande, elle rend la santé et éoouomise 5o fois son prix en médecine. En boîtes 114 k il 2 fr. 25 1 kil., 9 fr.; 12 kil., 60 fr. Uu Barry et C", 12, rue de l'Empereur. Bruxelles. Appétit, digestion, sommeil et énergie rendus par la Re valenta Chocolatée aux personnes, et aux enfants les plus faibles, elle nourrit trois fois plus que la viande et rend les chairs fermes- En tablettes pour 6 tasses, 1 fr. 25; pour 12 t., 2 fr. ?5 24 t. 4 fr- Eu boites en poudre de 12 tasses, 2 fr. «5; 48 t., 7 £r.; 120 t., 16 fr.; de 576 tasses, 60 fr. ou environ 10 c. la tasse.Du Barryet Ce, 12, rue de l'Em pereur, Bruxelles. Dépôt Ypres, chez MM. C. Becbwe, pharmacien, rue du Verger; Feysoc, pharm rue de Dixmude; G. Vers, pharm., rue de Lille; H Mabiec, pâtissier, rue au Beurre. Afoor- slede, chez Ch. Bostïb, boulanger. Poperinghechez M. A. Haelp/wïcx, pharmacieu. Du 7 uu A4 Octobre Inclus. NAISSANCES 5. Sexe masculin 4, idem féminin 1. MARIAGE. La porte Français, boutiquier, et Devos Julie, saus profession. DÉCÈS. Ghisquiere, Émite, 34 aus, journalier, céliha- taiie, rue des Trèfles Uewagter, Pierre, 63 ans, jourualier. veuf de Kuockaerl, Victoire, S' Jacques lez Ypres Vau- dermeerschLouise 5n anshoutiquièreépouse de Hej I broeck, Charles, rue de Dixmude. Dumoulin, Emile, 14 ans, ouvrier de fabrique, rue de Meniu. Casier Léopold. 73 ans, saus professiuu, époux de Virginie Blootacaer, rue de Dixmude. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 7. Sexe masculin 4, idem féminin 3. YPRES, i5 OCTOBRE 1870, ÉTAT Indiquant les quantité* et le prix moyen des Grains," Fourrages et aatres prod Bits agri coles vendus au marché de cette ville i DES Grains e* Denrées. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX HlfEl par 100 kilogrammes. K t S 1; c i eu Froment 28-26 80 teifjlë. 15,5oo >9 75 73 Avoine a,4oo 20-5o 44 Pois i,6oo 22-00 80 Féteroles. Pommes de terre Beorre 1,000 6,5o 0 24-00 6-00 3o5 00 80 Pain de farine de froment brute 28 c' le kilo. Idem pour les fondations de 5o c', 1,070 gr. LES BOURGMESTRE ET ÉCHEVINSy FAR ORDONNANCE J. DE CODT. -j K LlI ■ti SS S S S- 1 3 S S S -a C a ce O) S S.§ ai- •- N w Q2 J 03 I CJ <5 MJ J© - - i o 71 «5 S..2 - t S c CS y 7 j S CJ3 t£«m 5 - s O Î3 O a z u a z c. tjD - aj 1 "2 - F5 I -O 3 ta U t) tl S C O- 1 •d 1 ce tx .S I 9 C fl 1 1 «j 0 k C Mal? ïij 1 9 =-3c-s s i -5 -7 3 5 J ,t 5 ex _r. C g W w- g J5' toi C - o O C* W «o _T m ca c S dh M 03 «u» s: u a -c ex-c s S m 3 a- .s ZZ c t s- M s M *3 S 5) ji ■•3^ :r m V «r 00 bc r -c «c ®:s»5- H 0 .2 t u S u f" 3 tr. ec i ÇS ex w ss w Ci Ss 8 i;»- - -j •- - g e~ S - ,5ï s g - c "3 u -C C 3 3 c o y - 3 Zf - z - â'i 2 5 t? M S - V X c c c fi" Z - - l-o t, 00 î- s-:-'' Ci ce s C 02 S t mz 5 5 9-3 o T: u S-3-0 b -s -o -i M 1 Si v v S 2 -2 t Ji-* 2. aj Z -O -î 1 e ®:=»r m s I et - i H» ï2 o - 3 .2 -û '3 Sa 5 3 w a, - - -- c - u c .2 - 3 r S "r *^-2 2 O O 3 *- 4» 3- s 5 S. C W -C 2 - J.1H 2 a u t o a> -« r .J p E c- *- - - - ex-r îC w c*o .3 - 2 -3 a 1 - 2^ "E. 3 z s tl C 1» - '.T* "O ec - c -3 tD Z - 5 ic Jz tJD U .,f 3 -o 3 -r*5 w C -S I: =-'= cr -= c - 3 ec r m 3 S t -s. 2 - u v c_ a> -r 2 - vît y J S, V 2. v 3e fi] S >s O c> U i* e if - -si «- t i t 5.4 e c tr. s* - r - if S e E a •- a< r s -r m Z - f T. e: tsJ r te E t j, e/"" CO V e. ftj - s r 3 v -r* .5 -ô x V -L er._si M- cS - r T v r - t 3 - sî 1 - 3 x v ■s 3 s o - Ci s #1 P- - i. a; c r h C R» l

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Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3