TAILLIE HOUT MEER DAM 100 K00PEM Capitulation de La Fère. ÉTAT-CIVIL D'ÏPUES, iî D i( X» il IL VEND1TIE OP STAM, OP PAS.SCH EMDÂELë, Wijk Poteghems Goed. Op Maendag 26en Decem- ber 1870, te beginnen met den miT- dagzal den Nolaris CHRISTIAENby openbare Venditie verkoopenop Pas- schendaele, wyk Poteghems Goed Omirent 14 HECTAREN TAILLIE HOUT op stam, verdeeld in koopen, In de bosschen by Poteghems Goed. den Hageoaeersch, den Klytbunt, den Zaelhaert en ander bosscben. De vergadering by de hofslede Pote ghems Goed. mairie de Sedan, le nombre des morts b Paris était de 900. Pendant la semaine qui a fini le 5 novem bre, le nombre des décès atteignait 1,800. Dans la semaioe qoi s'est terminée hier, ce chiffre s'est éle»é a 1,900. Le chiffre des décès causés par la petite »érole seule est terrible. Pendaol la semaine finissant le 5 novembre, il était de 58o; dans celle qui a fini hier, de £19. Il meurt beaucoup de per sonnes d'affections gastrites. On rapporte aussi qu'une maladie sentimentalemais très-réelle, a éclaté parmi les bataillons provîociaux de mobiles la nostalgie. Beaucoup de gens rient de cette maladie; ils ne peuvent la comprendre. Mais elle a uneputssanteiufluencesur certains tempéraments. Un correspondant anglais qui a «isité l'hôpital dn Midi la semaine dernière aouonce qu'il a trouvé l'avis suivant placardé sur la porte d'entrée Quiconque apportera un chat, uu chien ou trois rats sera admis déjeûner et dîner. N. B. Il est absolument nécessaire que les aoimaux soient remis vivants, a TJn pareil avis est chose commune, dit-on, sur les portes des hôpitaux de Paris. Le capitaine de frégate Planche, commandant supérieur de La Fère, a adressé au mioistre de la guerre, Tours, et au général commandant b Lille le télégramme suivant Après no investissement de quinze jours, pendant lesquels tous les efforts oôt été tentés soit au moyen de sorties, soit par l'artillerie, pour en traver les travaux de l'ennemi, la place a été atta quée avec de la grosse artillerie de siège et des mortiers et a subi un bombardement effroyable de trente heures. Contrairement b tontes les lois de la goerre, l'ennemi a ouvert le feu sans avertissement ni som mation préalablesb sept heures du matin, ce qui a porté l'effroi et le désastre b son comble dans la population. Dès les premières heures, nos batteries, prises b revers des hauteurs qui dominent la ville, ont été complètement démontées. La résistance ne s'en est pas moins prolongée pendant toute la journée, la noit et le jonr suivant. Cette malheoreuse ppUle.^îlle a.*,été écrasée* sous une ploie de borghgs etd'qbos. Une; grande partie en est incendiée, Ips èpprovj^ioniiemeuls sont en partie consumés. s Les abris manquaient ni caves, ni casemates. Impossible de rétablir les bastions et les batteries. Alors désarmés, impuissants, sur l'avis onaui- me du conseil de défense, ne poovaut laisser écraser inutilement cette population et les troopes, j'ai dû rendre la place. Nos pertes sont grandes. Le chemin de fer dn Nord a repris son service entre Paris et Saint-Denis. On lit dans le Courrier de fIsère Nous appelons tout particulièrement l'attention de nos lecteurs sur la séance dn conseil municipal de Grenoble, dans laquelle a été discutée l'affaire de la statue équestre de Napoléon I". L'idée mirifique b laquelle on s'est arrêté mérite d'être connue de rout le monde et de passer b la postérité. La statue a été partagée en deux; la municipalité conserve le cheval, et dès b préseot le cavalier sera détruit ou laissé a la disposition de M. le préfet. Comme on le voitce vote a été inspiré par le jugement de Salomon, mais nous doutons qu'il donne an conseil municipal de Grenoble une réputation semblable b celle du roi d'Israël. Si nous apprenons ce que la municipalité vent faire du cheval de Napoléon Ie1, nous ne manque rons pas d'en informer nos lecteurs. Le conseil municipal de Lyon, réuni en co mité secret, a décidé que la statue équestre de Napoléon I" qui se trouve b Perrache et l'autre statue placée sur le chemin de Villeurbanne se raient enlevées pour servir b fondre des pièces de dix ceutimes. Le gouvernement fait faire du charbon de bois dans tous les environs de Paris. Le bois de Boulogue est rempli de tertres de terre recouvrant du bois qui brûle lentement jusqu'à sa conversion en charbon. La Poix du Luxembourg cite le fait sui vant L'investissement de Tbiouville était b peine projeté et des semaiues entières devaient encore s'écouler avght le siège en règle, que le village de Garsh, 4 kilomètres de Thiooville, était déjà oc cupé par les Prussiens. Un riche cultivateur, propriétaire d'une mai son vaste et nouvellement construite, avait b loger chez lui un officier prussien, avec lequel il se trou vait en fort bons termes. Cet accord devait avoir des suites bien funestes. L'officier prussien ne rougit pas de profiter do bon vouloir de son hôte pour lui proposer les moyens d'eotrer Tbionville comme espion. L'ha bitant de Garsch refusa d'abord avec indignation, mais obsédé par son (entateur fatigué de ses in stances, et surtout alléché par la promesse de 20,000 fr., il finit par consentir b ce houteox marché il viol s'établir avec l'officier prussien, b Tbionville, en faisant passer ce dernier pour son parent. Le tout a été découvert et Fraoçais et Prnssien ont été fusillés. Le Français devenu traître b sa patrie a com pris toute la bassesse de son aclioo, et, avant de moorir, il a regretté de laisser sans appni 7 enfants el surtout de les laisser sous le coup de la honte. Le Prossien témoigna on regret réel d'avoir porté le dueil et la honte dans une famille qoi l'a vait trop bien accueilli il se déclara l'instigateur de cette affaire et intercéda pour le paysan. Lui- même était fils unique, et son père, au désespoir, offrit en vain toute sa fortuoe pour la rançon de son fils. On lit dans le Nouvelliste de Rouen du 27 Des renseignements qui nous sont fournis, il résulte que le général Viooy parti de Paris en ballon, est passé b Mézidoo, se rendant b Tours- Les trains d'Arras ne vout plus que jusqu'à Albert. Sur la ligne Boulogne-Amiensles trains s'arrêtent Abbeville. Il n'est aventure si triste d'ailleurs qui n'ait ses épisodes plaisants, et un journal fran çais raconte, propos de l'évacuation d'Orléans F anecdote suivantedpnt on lui garantit l'au thenticité Au moment où les Prussiens finissaient d'évacuer la ville, un capitaine bavarois très- fatigué et par suite peu matinal, dormait du sommeil du juste, chez un habitant où il avait pris logement depuis une quinzaine. Il avait enjoint de la manière la plus absolue son brosseur de ne pas le réveiller, le feu prit- il la maison, et celui ci, esclave de la consi gne, les mains la couture du pantalon, était immobile la porte de son capitaine, n'osant souffler et écoutant avec mélancolie les derniers bruits de la retraite des Prussiens qui quit taient la ville et les premiers tambours fran çais qui faisaient leur entrée. Tout coup, le bourgeois chez qui logeait l'officier entra dans ta chambre brusquement, sans se faire annon cer, et, repoussant le brosseur de la main, marcha droit au lit, puis, frappant sur l'épaule du capitaine v Monsieur, lui dit il, voulez-vous m'excu ser de vous réveiller de la sorte en sursaut, mais voici ce dont il s'agit hier les Prussiens occupaient Orléans et vous étiez mon hôte. Aujourd'hui les Français ont repris la ville el vous êtes mon prisonnier. Ah bah! fil l'officier stupéfait en éten dant les bras et en bâillant se décrocher la mâchoire, vous êtes bien sur Oui, capitaine, parfaitement sûr. Alors c'est inutile de résister Parfaitement inutile. Frantz, dit en allemand Fofficier son brosseur toujours immobile et qui ne compre nait pas un mol de ce qui se disait, donne mon sabre a monsieur, nous sommes prisonniers Puis il se retourna du côté de la muraille, et reprit son somme où il F avait laissé. Onguent et Pilules d'Holloway. Com plication de Désordres. Ulcérations, abcès,- enflure de glandes, et autres désordres provenant de causes cachées et insoupçonnées, peuvent être guéris par l'emploi de cet excellent Onguent, aidé des Pilules dépuratives d'Holloway. Les instruc tions imprimées, dans lesquelles les remèdes sont enveloppés, sont suffisament explicites pour gui der l'invalide qui a la plus petite intelligence. Les médicaments d'Holloway sont toujours em ployés avec avaatage et sans aucuoe danger. Il y a plus d'un quart de siècle qu'elles soot reconnues nomme uu trésor pour le pauvre, affligé de maladie. Tous deux, l'Onguent et les Pilules sont^spéciale- ment convenables pour soldats et matins, colons et voyageurs qui ne penveot en tous lieux obtenir assistance médicale mais qoi devienoent toujours avec succès lears propres docteurs avec les remèdes d'Aolloway. Ou Novembre au S Décembre Inclus. NAISSANCES 9. Sexe masculin 6, idem fémiuiu 3 MARIAGES. Rruneel, Louis, cordonnier, »t Hoedf, Sylvie, dentellière. Vanderuieersch, Désiréeh^rj-eutier et Wallaert, Antoinettedentellière. Bossaett, FÏ011111011 cl, voiturier, et Pissouuier, Amélie, domestique. DÉCÈS. Vancattendyck, Adélaïde, 54 ans, dentellière,' épouse de BuseyneCharles, rue de Dixmude. Géinriers., Arnelie, 61 ans. dentellière, épouse de Borreman, Joseph, rur de la Bouche. Vanuiem, Sidouie, 43 aus, deuiellierv, céli bataire, rue de la Bonle. Cornette, Marie, 44 ans, négo ciante épouse de Pironou Félix, rue de Lille. Cnv«*liêr Charles, 38 ans, journalier, célibataire, rue Longue de Thourout. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 3. Sexe masculin o, idem féminin 3. YPRES, 3 DÉCEMBRE 1870. ÉTAT Indiquant les quantités et le prix inoje.. des Grains, Fourrages et autres produits agri coles vendus uu marché de cette ville NATURE QUANTITÉS PklX n i DÉS VENDUES. MOVEK par 100 C "c E 1 5/i JE Grains et Denrées. Kilogrammes. kilogrammes. c 4 c- i Froment 33,6oo O O 80 Seigle. 3;4oô ,4 - 0 A - 3 i Avoine 000 OO-OO no POIS «.«ty 1,200 26-00 80 9°o 28-00 80 Pommes de terre 3,ooo 7*25 1 I 1 Beurre 3oo-00 1 i Pain de farine de froment bmte 5i c5 le kilo. Idem pour les fondations de 5o c'960 gr. VAN i Opgewone voorwaerden en tyd van be. taling, mits goede borg stellende.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1870 | | pagina 3