B00MEN,
a.r,.
Les obus prussiens de forme cylindro-
Ogivale. sont artnésVi'une fiiM'p percutante
logée dans la lumière qui est pratiquée
l'avant du projectile. La pâme antérieure
de la lumière est seule taraudée l'autre
partie, qui est lisse, est munie d'un petit
épaulement au milieu environ de sa hau
teur
La fusée compreud une enveloppe où
se loge le percuteur; un percuteur, un écrou
évidé; un bouton lige conteûani la com
position fulminante L'enveloppe, en laiton
de peu d'épaisseur, est terminée sa partie
inférieure par un fond percé d'un trou
central pour le passage des gaz de la com
position fulminante. Unerondelle de mous
seline et une rondelle de laiton percée d'un
trou central sont fixées sur ce fond. Le haut
de llenveloppe est muni d'un petit rebord
qui s'àpoie sur l'épauiement ménagé dans
la lumière du projectile. Le percuteur est
terminé par une tête qui repose sur le re
bord de l'enveloppe. Il est percé de part en
part d'un canal central pour le passage des
Jgaz de la composition fulminante. Une
plaque mince, en cuivre, munie d'une
aiguille centrale est encastrée dant la tête.
L'aiguille fait saillie sur la tranche de celle
tête. L'écrou évidé, ordinairement en lai
ton est fileté extérieurement pour être
vissé daos le haut de la lumière de l'obus;
il est percé par un trou central taraudé où
se visse le bouton tige. Ge bouton con
tient un évidement intérieur où est fixée la
capsule fulminante. Un logement pratiqué
dans le haut de la partie ogivale de l'obus
reçoit une broche qui disparaît après le tir.
Rien de plus curieux que la manière
dont l'amiral Suissetdirige les mouvements
des troupes placées sous ses ordres. Sur la
plate-forme du fort de Rosny,oùest installé
son quartier général, il a fait établir un
observatoire et un poste sémapborique. Là,
assis sur un escabeau-, il dirige sa longue-
vue sur les points occupéspar les Prussiens,
suit les mouvements de leurs armes et fait
exécuter en conséquence ceux des troupes
de la place. Pour cela, au fur et mesuré
de ses observations, il fait faire des signaux
par les marins attachés au sémaphore, et
les officiers généraux qui les interprètent
font marcher les troupes suivant les ordres
reçus.
Le camp de Bordeaux s'organise, et déjà
la garde mobile et les régiments de l'armée
régulière s'y rendent, ainsi que le service
des ambulances. On assure que M. Gam-
betta doit le visiter prochainement.
Le Progrès du Norcl, dans son numéro .du
14publie le communiqué suivant, éma
nant de l'étet major général
Dans la prévision du siège dont la ville
de Longwy est menacée, et attendu que, au
mépris de la convention de Genève, les
Prussiens dirigent habituellement leurs
premiers projectiles contre les hôpitaux,
le commandant de la place a reçu l'ordre
d'enfermer les prisonniers prussiens, au
nombre de 54qu'il possède, dans les cham
bres des malades et des blessés, dont ils
partageront ainsi le sort et les daBgers.
On assure que de nouveaux bataillons
de la garde nationale vont être mobilisés
Paris. On prendrait les hommes de 20 45
ans, mariés ou non mariés. Ces bataillons
formeront la réserve.
ANGLETERRE.
PRESSE.
SEISSE. jg s
PROPHÉTIE RÉALISÉE.
Onoubnt bt Pilulbs ci'Holloway. Nal
doute sur ce poiut résolu par la Science. Un
sang im'pur en l'action imparfaite de qnelqu'organe
engendre maladie. Purifiez l'on et équilibrez l'au
tre, la maladie disparaît, la santé revient. C'est en
exerçant ce pouvoir réparateur que les Pilules
d'Holloway ont acquis une réputation universelle;
et la rectitude du principe en vertu duquel elles
expulsent la maladie et rétablissent la santé a été
prouvée par on succès constant depuis plus de 5o
années. Une Pilule ou deux prises l'heure do
coucherquand la lassitude physique et morale
paralyse momentanément l'énergie, ramèneront
dans le foie 00e sécrétion plus active et réveille
ront la bonne humeur. Comme Pilule stomachique,
la Médecine d'Holloway n'a point de rivale. Elle
dissipe immédiatement toute flatoosiié pénible, pe
santeur ou malaise après manger, ces symptômes
si dooloureox de la dyspepsie.
WEMinniiE
VAN ZWARE LANGSTA.H9IIGE
slaande langst den provincialen sleenweg
Steen-straete naer Dixmude.
1871ten negeo uren 's morgnns, door
het ambt van den Notaris TIT 3 C
teBoesinghe.
De vergadering ter herberg de Nieuwe
Wereld.
Lokdbes, 14 janvier.
Le général Bouibaki télégraphie:
Oitatis, i3 janvier.
Les villages d'Ateey et de Sainte-Marie, ont
été brillamment enlevés. Nos pertes sont modérées
en considérant les résultats obtenus.
a Je gague toujours do terrain.
Je suis très satisfait des généraux et des trou
pes. a
Suivant les dernières informations, le général
Ch.uzy rallie près do Mans la partie des iroopes
qui ont été jetées en désordre daos la nuit do n
au r 2.
I.a retraite s'est effectuée daos le meilleur ordre
possible.
Berlib, -.4 janvier.
On lit dans la Gazette de la Croix
Ou dit que plusie-irsgoiiverneruenls neutres ont
l'intention d'introduire dans la conférence la ques
tion de médiation entre l'Allemagne et la France.
Comme ces gouvernements ne peuvent douter
que l'Allemague ne se désistera, daos aucone cir
constance, des conditions de paix posées par elle,
00 ne peut comprendre l'intention de ces gouver
nements que dans le sens d'nne pression sur le
gouvernement français pour le détermioer a la
cession des districts qui appartenaient jadis l'em
pire allemand... -\
Aussi la nouvelle rapportée par plusieurs
journaux de ces projets de médiation doit-elle
être regardée comme prématurée.
Hambourg, 14 janvier.
Une dépêche officielle do général Manstein,
datée do Mans, t3 jauvier, 11 h. 3o malin, porte:
Daos la matinée do 11, le 9* corps d'armée a
pris d'assaut les hauteurs de Champigny, la clef de
la position ennemie. Le régiment Kummer n* 11 a
pris cette occasion trois mitrailleuses. Le régiment
n* 85 a pris trois caoons.
12 janvier. Le général Blnmentbal a pris
une part décisive au combat de la 17* division,
près de Saint-Corneille, par une attaque de flanc.
Dans ce combat le bataillon de fusiliers do régi
ment n* 84 a pris la hauteur de Hyre par une atta
que i la baïoonette. Il a fait beaocoop de pristto-
piers. - v et
Berre, ij janvier.
Le Bund publie le télégramme suivant de
Prootrnlen date do i5 janvier:
Vers midi on combat sérieux s'y est engagé
.entre Herimcourt et Croix; il a doré jnsqu'ao soir.
D'après ce qu'on en sait jusqu'à présent, ce com
bat serait resté sans résultat.
a Du Nord on signale l'approche de reoferts
allemands considérables, a
LE COLOMB DE I.A DÉCOUVERTE MÉDICALE.
Sénéca prédit nn autre hémisphère, mais Colomb
le découvrit. Un cas parallèle peut être signalé
daus l'histoire de la Science Médicale. Les disci
ples de Galen pensaient que le règne végétal ren
fermait les éléments de goérisoo pour toutes les
maladies, mais échouèrent les découvrir. De nos
jours, Holloway le grand pharmacien Anglais, a
réalisé tout ce qu'ils avaient imaginé. Il q trouvé
les éléments qu'ils avaient seolement rêvés et les
amis en usage pratique; et avec deux remèdes,
glorieux résultat de recherches et d'expérimen
tation, il a fait une révolution dans le traitement
des maladies internes et externes avec une supé
riorité heureose, partout où ses médecines ont été
soumises une consciencieuse comparaison avec
les médecioes de la Facnltc, dans les institutions
publiques ou dans la pratique privée.
Ces remarques uoos sont suggérées par des faits
qui sont notre connaissance aussi bien que par
les témoignages des autres. Nous avons été témoins
de l'effet de I Onguent d'Holloway dam beaucoup
de cas de désordres externes et soo aptitude toute
particulière soulager et guérir les affections érop-
tives qui jusque là, avaient été rebelles, nous dé
terminé^ lui donner une recommandation empres
sée dans nos coloones. Qo'il poisse faire disparaître
toute éruption scabieuse on lépreuse et rendre a
la peau iodurée sa flexibilité et sa douceur natu
relles, cela paraît aussi clairement établi que l'eau
éteint la soif. Lorsque les premiers comptes rendus
des cures accomplies par l'usage de l'Onguent dans
les hôpitaux d'Espagne parvinrent sur nos ri «âges,
nous fûmes incrédules. Il paraissait merveilleux que
la scrofule, l'érysipèle, les tuiueuis, les furoncles,
les cancers, la lèpre et les maux piofondémeni in
vétérés, qoi svsieui déconcerté la science de méde
cins réguliers de la plos haute diàiinction, puissent
être dominés invariablement par une préparation
qoi n'avait jamais reçu leur sanction et dont ils
ignoraient totalement les éléments. Mais les mêmes
résultats s'étant produits ici, nous ne pouvons plus
dooter plus loogiemps. Nous ne pouvons nous re
fuser l'évidence de nos sens, quand bien même
les théories de toas les Médecins, depuis Hyppo-
crate josqo'à Majendie, seraieot en opposition avec
elle. Un des plus grands maux physiques qui af
fectent les masses dans l'Amérique du snd, est la
maladie de la peau et des glandes. C'est une affec
tion qui parait appartenir au climat, bien que sans
aucoo doute, elle soit, daos beaucoup de cas, pro-
duiip et aggravée pà'r l'imprudence. Mais, quelle
que soit sa forme, soit que les maladies soient de
nature ulcéreuse ou viroleote, engendrées par des
causes immorales 00 héréditaires, ou le résultat
d'habitudes de négligence, mauvaise nourriture, ou
influences atmosphériques, elle n'eu subirait pas
moins le contrôle de ce grand anti dyspeptic et
anti-irritant.
Daos les temps anciens, quand un guerrier était
blessé par one flèche empoisonnée, le médecin su
çait le poison de la plaie, mais ce remède n'était
profitable qoe lorsque le poison n'avait pas encore
passé dans la circulation. L'Onguent d'Holloway
l'atteint là et le neutralise. Il rie coupe pas seule
ment la tête de l'Hydre mais il la combat josqo'mi
bout comme Hercule dans sa lutte avec le serpent
Lernéen. American Paper.
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Maandag 30en Januarius
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ELK ZEGGE HET VOORIS.