EENE HERBERG, l'arrestation des prêtres et des ignoranlins. 40 avril 4871. Le Moussu. (Ici les deux cachets de Comité.) On écrit de Paris au Daily News, le 13 Tout Paris va être barricadé métho diquement. Les anciennes barricades seront démolies, parce qu'elles sont construites en pavés des rues, qui peuvent devenir une cause de destruction pour les défenseurs, si on les attaque avec du canon. Les nou velles seront construites en terre dans tou tes les voies importantes de la ville. Hier, le 116* bataillon de la garde na tionale, fort de 500 hommes, a reçu l'ordre de se rendre sur les remparts et a refusé de marcher. Ordre a été donné de les dés armer. Maiscomme ilsont persisté garder leurs armes, on les leur a laissées. On dit que deux entrepreneurs améri cains ont déjà ofTert d'acheter la colonne de la place Vendômeet, si on le juge pro pos de fondre le bronze et d'en faire des canons pour la défense de Paris. On lit dans l'Opinion nationale Nous avons dit hier que l'on avait vu de nombreux régiments allemands descen dre des hauteurs de Çhenevières se diri geant sur Champigny et Nogent. Ce fait nous est confirmé aujourd'huiet l'on évalue 25,000 le nombre dés troupes allemandes arrivées depuis deux jours aux environs de Sussy, Çhenevières et Chain- pigny. Le Cri du Peuple, paru dimanche, 16, contient ce qui suit La Commune siège l'Hôtel de Ville en séance de nuit. Aujourd'hui, sans doute, paraîtra YOfficiel un décret de la plus hante gravité atteignant lés fuyards et les traîtres. On lit dans la Cloche Jeudientre trois et quatre heuresa eu lieu l'bôlot (les frôroo Parniro. mo Hn Faubourg Saint-Honoré, la plus singulière réquisition que nous ayons encore enregis trée. Un certain nombre de gardes natio naux, escortant deux voitures de déména gementsont venus mettre en réquisition tout le vin en bouteilles qui se trouvait dans l'hôtel. Les deux voitures sont parties complè tement pleines. Nous nous demandons en quoi ces bouteilles de vin cachetées peuvent servir la défense de la place. M. Emile Pereire est maintenant hors de Paris, et M. Isaac y est demeuré mais il n'habite pas son domicile. On écrit de Paris, 12 avril, au Times Dombrowsky devient du jour en jour plus populaire. Il garde le silence relative ment son opinion sur le résultat de la lutte, mais il fait preuve, dans le combat, d'un courage qui entraîne les gardes na tionaux. Ce matin une bombe a passé entre ses jambes sans qu'il ait sourcilé. Il aseolement agité son épéeen disant Avancez, mes enfants l mais cela ne l'a pas empêché d'être arrêté par erreur, son retour Paris, par un garde national ivre du 476e bataillon. a Dombrowsky déclare qu'il brûlera Neuilly, Puteaux et Villiers jusque dans leurs fondements, la première occasion, parce que. les maisons et les arbres l'empê chent de suivre convenablement les mou vements des troupes de Versailles. a On dit que les hôtels du marquis de Gallifet et de M. Laffitle ont été pillés la nuit dernière. Le bruit court que le chemin de fer du Nord sera coupé demain, a L'horrible guerre civ'tje de Paris fait faire chaque jour de sinistres observations. Parmi les artilleurs chargés des pièces braquées entre les portes Villiers et des Ternes se trouve un marin, soldat de l'ar mée de Faidberbe, dont la femme et les enfants habitent Courbevoie. El c'est précisément sur Courbevoie que ce malheureux a la consigne de diriger son tir. Un voyageur, arrivé ce malin de Boulogne sur Mer, avec un paquet de plus de trois cents lettres mettre la poste de Paris (pour la plupart des lettres d'affaires et de commerce), nous dit qu'en province l'effarement est extrême. Les commerçants qui ont des marchandises de Paris et des relations avec la capitale ne savent plus où donner de la tête. Du reste, sur la ligne du Nord, l'entrée dans Paris, la sortie et la circulation sont très faciles et très-régu lières. (Patrie.) Le Gaulois publiait avant-hier une dépêche aunonçant le départ de Londres de trois voyageurs soupçonnés de mauvais desseins. Ces trois individus, dont le but était d'assassiner les princes d'Orléans, viennent d'être arrêtés Dreux par les soins de M. le procurenr de la République. Pour la première fois, Londres et Bombay ont été mis en communication télégraphique directe samedi dernier par la ligne indo européenne. A un message transmis ce jour là dans cette ville de l'Inde, réponse aurait été immédiatement faite. RGSS1E. LA VIEILLE PPATIQUE. CONDAMNEE. ONGUENT ET PILULES D'HOLLOWAY. M»®» (BIS 3» UPEI1BARB VERKO« MAGAZrYNEN, Peerde- en Koeistallenr TE OOSTVLETEREN 2U5erbeôt gelegen twor î>m ^otrpljanîift. Op YVOENSDAG 40'° M El 4874 om uren namiddag, zal deo Notaris TAIT SSCZSv daer l°e in rechte benaemd, teu overstaen van den heer Vrederegter, openbaerlyk Verkoopen ter herberg van het te verkoopen Hois hier naer te Oosl- vleteren het volgende onroerende Goed In de gemeenle Ooslvleteren, nevens de vaert van Elsendamme. Een HUIS voor herberg genaemd het Huis van Commerce, MagazynenKoei-, Peerdeslallen Scheure en verdere gerie- ven loo dies 46 aren 95 cenliaren Erve onder bebouwde Grand, VoorlandCour, Hovenierhof, palende van oosten de weide van Bruno Dequeker, zuid 't gras van d'erfgenamen va.i wylen Mynheer Louis Vandenpeerehoom, scheidende op half dyk, en debehuisdeerve van Leopold Henderyck, west den sleenwegen noord den Yzervaerd. Tegenwoordig bewooud door Henry Stekelorum met regt van pagt toi i" Sep- tetnber 4874, ten pryze van 400 francs by de jare, boven de lasten. De voonvaertlen en litelen van eigendom berusten t'elkx nazien ten kantoore van voormeldeu. Nota-cis-Tii.1T 22CZ3. Elk srgje voorls.- Saiht-Pétersbocrg 14 avril. Oo mande d'Odessa au Messager du gouver nement que luodi, mardi et mercredi des escès violents ont été commis contre les Juifs. La troope a dû employer les armes pour rétablir l'ordre. Plusieurs personnes ont été blessées. Un tuilier de personnes oat été arrêtées. Plosieurs maisons de juifs ont été pillées. SUCCÈS DU NOUVEAU' TRAITEMENT, Les marchands de médicaments des antipodes ne nous oublieot pas. Purgatifs et remèdes secrets, stimulants et sudoiifiques, sont répandus sur nous- en profusion repoussaute. Quoiqu'il en soit nous n'ouvrons pas nos bouches et ne fermons pas nos yeux v pour prendre tout ce qu'ils nous envoient. Au contraire, les habitants de cette colonie parais sent avoir adopté deux remèdes comme suffisam ment étendus pour toutes les exigences des mala dies. Ils ontsur une grande échelle abandonné le vieox régime avec ses nombreuses potionset placent leur confiance, quand ils sont malades, dans les Pilules et l'Onguent d'Holloway, médecines les plus répandues et les plus efficaces que la science ait procurées l'humanité, dans aucun temps. L'expérieoce des malades dans cette contrée con firme le général verdiet reodu en leor faveur, et la demande en Australie en est si considérable que c'est presque hors deqpoyance. Que cette demande soit fondée sur une connaissance positive de leur Sapériorité sur toor autre curatif, cela est hors question, attendu que tous les remèdes secrets conous comme médecines brevetées sont sur la place, d'une vente remarquablement lente expé ditions de Pilules et Onguent d'Hollowaysi grande qo eo soit la quantité, sont achetées avec empressement sur une grande échelle aussitôt qu elles.arrivent, et il n'est pas rare qu'elles soient achetées durant leur transit entre Londies et l'Aus tralie. Aux mines, et de fait, d'un bout l'autre de toote la contrée, ces Pilules sout considérées le seul spécifique pour les différentes espèces d'affec tions d'estomac et du foie, qui sont le Qéau de notre population dans les districts de l'intérieur. De la conditiou de ces deux grands organes qui fournissent travers le «ys'èrne la nourriture de la vie, la santé dépend. Quand ils accomplissent leurs fonctions imparfaitement, le corps languit; s'ils sont congestionnés ou dans la torpeur, ils transmettent dans toute l'économie uii'fluide ittipm qui déprime au lieu de soutenir, les facultés animales. Dans ce cas, le seul moyen sûr de tépater le mal est d'avoir recours aux Pilules d'Holloway. Elles agisseol sur l'appareil digestif, le foie et les intestins, si direc tement, que cela frappe le patient lui-même d'é- tonoement et de surprise. L'estoma^ qui était en dormi, reprend son activité, le foie commence n sécréter avec régularité une bile pure et saine et les intestins sont sans douleurs débarassés des obstructions qu'ils u'avaient pas auparavant la force de chasser. Un sang pnr est le dernier résultat obtenu, et le malade régénéré, fortifié, et purgé de tous les éléments morbides qui forment la base de la maladie, part sou travail comme s'il était un homme nouveau. Que ce soient lè les effets de ce restauratif sans pareil, il n'y a aucun doote; et ce fait étant établi, nons devrons dire que les Mineurs qui s'aveoiorent dans ces insalubres régions aurifè res sans une provision de ces remèdes, sont folle ment, sans souci de leur santé et de leur vie. The Miner. Les maladies de la peau, dartres, scorbut, jau nisse, scorfutes ou écrouelles, plaies de la tête et les affections cutanées les plus invétérées auxquel les le corps humsio est sujet, ne peuvent trouver on remède plus efficace que l'Onguent et les Pilnle9 d'Holloway ces médecines agissent d'une maoière si particulière sur l'économie en purifiant le sang, qu'elles guérissent ces affections radicalement. Elles sont également efficaces pour guérir les tameors brûlures, croates, glandes enflées, ulcères, rhuma tismes contractions ou raideur des articulations. Ces médicaments opèrent graduellement et sûre ment; les gnérisous qu'elles effectuent ne sout pss seulement temporaires on superficielles, mais com plétés ou permanentes. VAN (ELSENDAMME).

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Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 3