MEUBELS JENAGIE GOED. BELLE ET GRANDE MAISON HERBERGGERIEF, nature Voici comment le Journal officiel de Ver sailles a célébré la délivrance de Paris ALLEMAGNE. ~~Oo lit dans la Correspondance de Berlin ANGLETERRE. M. Victor Hugo est arrivé b Londres. ITALIE. ETAT-CIVIL irVPRES, A VENDRE OU A LOUER AVEC ÉCURIES, REMISES, ETC., H. 1-42 90 C. EN JARDINS ET VERGER JL 7rSS?ZS?.Z2, touchant la chaussée de Bruges Gbis- telles, et au canal de la VVaere, proximité du chemin de fer d'Ostende-Armenlières. Cette Propriété peut servir de Campagne ou d'Etablissement industriel. S'adresser pour les conditions au Notaire SSTT4.3S.7 Gbrstelles. Eiken Sluiten en gerot II as, TE OOSTVLETEREN ora 1 uer na noen ter herberg bewoond door Sr Henri Stekelorom Gonlier, te Oost- vleteren, Elsendàmme, zal er Koopdag gehouden worden A. Van bel Herberg Geribf besiaende in: Nieuwen Toog met Bnffel, Bierpomp met 2 Kranrn en Looden Darmen, Tinoett Lilers, Caraffen, Bier-, Wyn- en Liqueur Glazeo, Pinie Deksels, Cabaret- teo, Spoelbak met Verlik, Stuoorpotleo, enz. Met gereed geld en verhoog van den I0'" penning, belaelbaer aen den \oiaris DE HOO, te Oostvleleren, met de Verkooping gelast. 1 Jeudi matin, M. l'abbé Laogéoieox, curé de Saini-Augustin qui c'avait pas quitté Paris, où il avait vécu caché, a dit sa première messe dans sou église, et j a fait ooe exhortatiou qui a vivement ému l'assistance. L'église doit être complètement ouverte aujourd'hui. La Madeleioe, où cinq hommes ont été tués, devra être purifiée avant d'être rendue au culte. Voici sur Mgr. l'archevêque de Paris, quelques détails biographiques Mgr. Darboy (Georges) naqoit h Fayl-Billot (Haute-Marne) en i8i3, enseigna, de i854 h j844, la philosophie et la-théologie an grand séminaire de Langres. En i844 il vint b Paris, où l'archevêque le nomma b plusieurs dignités impor tantes. Il était évêqoe de Nancy depuis 1859 quand, en i865, il fut désigoé pour le siège ar chiépiscopal de Paris en remplacement de Mgr. {dorlot. Grand aumênier de l'Empereur, il fut appelé au Sénat en >864 et, en 1866, au conseil impérial de l'instruction publique. Il était grand- officier de la Légion d'honneur. mm Une lettre du sous-gooverueor de la 8anque de France constate que depuis le 18 mars la Banque a été obligée de payer b la Commune 9,401,000 francs des fonds appartenant b la ville de Paris, et une somme de 7,390,000 fr. en vertu d'un blanc- seing de Versailles. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS 6. Sexe u>.s- culiu 4. idem féminin a. YPRES3 JUIN 187.. fT»T lndl|Mat les quantité* et le prix nu.»ri. le» «raies, Fourrage» et aatres produits ogrl- coles vendes au marché de celte ville QUANTITÉS l'RIX K t*3 V DES VKRDCBS. m rat n S I 4 par 100 vj -= Grain* el Denrée*. Kilogrammes. kilogrammes. I Froment 32,709 56 00 80 2,900 36 5o 75 1,GOO 37-25 44 800 27-50 80 Féveroles. 4oo 28 00 80 Pommes de terre 4,000 8 00 Beorre 380-00 h.V Pain de farine de froment brute 35 c* le kilo. Idem pour les fondations de 5o c', 900 gr. Fent Frères de la Doctrine chrétienne ont été as sassinés par les misérables qui étaient chargés de les garder. Havas - m La popolatioo de Paris est sortie des caves où elle se cachait. Le soleil l'appelait, et la joie de pouvoir circuler sans craindre Ja mitraille de respirer en paix, de n'avoir plos b trembler devant, les Vengeurs de la République ou les sbires du Comité de salut pobiic, féroces imitateurs de 93. Il y a tant de vitalité uans ce peuple qu'on voit tien qu'il va se relever après ces jours d'effare ment. Qo'il n'ooblie pas! On lui rebâtira ses édi fices; cela même ne sera pas long, avec le génie et l'activité nu'il retrouve toujours après les gran des crises. Q.aod ses rues seront balayées, quand elles ne sentiront plus le carnage, quand les mors serouk reconstruits, les toits rétablis, les monuments b leur place, qo'il n'oublie pas I Oo aurait dit que la Terreur ne pourrait pas renaître dans le même lieu avant qu'un siècle lût écoulé. Elle est revenue, cependant, barbare, igno ble, toere-puissante, toute-puissante pour quel que., fceures Elle a régné de nouveau comme en 1793, p'os atroce qu'en 1793, remplaçant l'écha- faud pa la rusillade, et allomenl ces incendies dont le monde jusqu'à ces derniers jours n'avait pas connu l'horreur. Est-ce la paix enfin? Cela dépend de notre coaduite. Nous avons ajooté une guerre civile b la gee. >e étrangère c'est no acte de folie assez nou veau dans l'histoire des peuples. Il est grand temps de 00 :s arrêter et de nous reposer. Que tant de sang répandu nous apprenne au moins la sagesse Comptons nos morts, guérissons nos plaies, réparons nos ruines; mais sortoot raffermissons nos esprits et seyons des hommes, si nous voulons être uo peuple. Dans nue des maisons de la rue Royale incen diées b l'aide du pétiole que les pompiers delà Commune jetaient b flots sur tout le quartier, il s'est passé 0.1 épouvantable drame: sept personnes qui avaient imprudemment cherché uo refuge dans une cave, perdaot le combat, y ont été asphyxiées et brûlées vives; on en a retiré veodredi les cada vres calcinés; au nombre de ces malheureuses vic times, il y avait un employé du chemio de fer de l'Ouest et sa femme, qui avaieot été chassés par le bombardement du village de Levallois, près d'As- nières, où ils demeuraient. Ils avaientdeux enfants: l'un d'eux, une toute jeune fille, avait été tuée quelques jours auparavant par un obus, et son corps avait volé eu morceaux l'antre, no jeune homme de seize ans, qui était auprès de sa sœur, avait en <e pied fracassé par le même obus on l'avait amputé e transporté dans one des meilleu res ambulances de la rue du Faubourg-Saint- hoooré. C'était pour le soigner que ses malheureux parents étaient vènos se loger auprès de luirue Royale. Le pauvre jeune homme ne connaît pas le malheur qui l'a frappé, et il ne cesse d'appeler sa tuère son secours. On n'ose lui dire la vérité, qu'il apprendra du reste bientôt, dans uo autre monde, car il est lui-même au plus mal. Je l'ai vu samedi sur son lit de douleur. Il n'avait plus de parole que pour appeler sa mère, et. heureusement peur lui, on p?nt le dire, il paraissait probable qu'il ne passerait pas la journée. Oo est très frappé quand on étudie les causes des derniers événements, de l'action qu'ont exercée dans l'insurrection de Paiis et dans les mouvements de certaines de nos grandes .villes les hommes ayant subi des condamnations judiciaires. Il est constant que notre système péniteutiaire est défectueux, qne le système de la surveillance de la haute police est absolument inefficace. De grandes réformes doivent être faites en cette pa»rie. Ce qui a rendu odieuses les lois sur In déportation, c'était souvent leur ap-9 plicatioq. Le système des colonies pénitentiaires de l'Angleterre est, paraît-il, de beaucoup supérieur ai» système de Cayenne. On croit que M. le minis tre de la justice ne tardera pas mettre b l'étude cette grave question et b présenter uo projet de loi l'Assemblée pour assurer notre pays contre le retour d'événements analogues b ceux de ces derniers temps. u L'Empereur a permis aux officiera et soldats de l'armée allemande d'emporter de France, comme souvenir, des armes ou des objets équipement, mais b la coudilioo d'eu payer la valeur. Les de mandes doivent être adressées aux chefs de corps. Quant b la taxeelle sera aussi modérée que pos sible, car il ne s'agit, eu somme, que d'où très- petit nombre d'objets n'ayant pour leor proprié taire qu'une valeor idéale. Cette (axe sera fixée par le commissaire aux armes. Il n'est, do reste, permis de garder que les objets trouvés sur les champs de bataille ou dans les arsenaux français les armes provenant de particuliers et confisquées par mesure de police doivent être restituées. Le ministère de la goerre délivrera aox intéressés des certificats constatant qu'ils oui satisfait aox prescriptions susmention nées. Lokdbes, 1 juin. Rome, 1 juiu. La corvette du Pape Immaculée-Conception partira incessamment pour Touloo, emportant de la part du Pape, pour les Décessiteox de Paris 60,000 francs et plusieurs caisses remplies d'orne ments destinés aux églises ravagées de Paris. PILULES D'HOLLOWAY. Les maux de jambes, blés- sures, ulcères et toutes autres plaies sout immédiatement gué ris p^r I usage fait temps et avec diligeuce de ces excellentes préparations. Essayer de guérir les jambes malades eu rappro chant les lèvres des plaies au moyen d'emplâtres est une erreur car, en supposant même qu'on réussisse souder la peau, il n'en resterait pas moins sous elle un principe d'in fection qui agira intérieurement et fera sa réapparition avec uue violence dix ^fois plus grande quelques jours après. Le seul traitement rationel et sur consiste diminuer l'inflamma tion qui existe dans la plaie et ses parties voisines, apaiser les nerfs auxquels elle a communiqué de l'irritâtiou, raf- fraichii le sang échauffé dans les vaisseaux, et tendre sain et consistant î'ectoulement clair, »qurux et impur qui s'en échappe. Heureusement pour ceux qui souffreut, l'OugueUt d'Holloway, employé judicieusementet les Pilules, prises doses réglées, produisent par leur «ctiûu respective ce ré sultat d'uue mauiére siire et prompte. •lu VU Mal au V Juin Inrlux. NAISSANCES 4. Sexe masculin idem féminin a. MARIAGES. Coutelle, Emile, menuisier, et Ynnliee, Emérence, dentellière Wolff, Emile, journalieret Cou- telle Pauline, dentellière.Decouiuck, ConslanHtijour nalier, èt Vaudainme, Florence, dentellière. Devroe, Jules, boulanger, et Venueerscb. Marie, sans profession. DÉCÈS. Bonne, Jeanne, 47 >us, dentellière, épouse de Verconter, Henri, rue de Meuiu. Slep, Henriette, 70 ans, sans profession, célibataire, rue de la Houle. Har'lomge, Pierre46 ans, sergent ail 4""- régiment de ligue, célibataire] rue des boucliers. Dejaegber, Jeaune, 5g ans, couturière, épouse de CtivelierRomain, Place Saint-Pierre. Kaes, Aune, 90 aus, sans profession, veuve de Michiel, Philippe, rue de l'Hôpital Saiut-Jeau. UNE ET VENDITIE VAN GEHUCHT ELSENDAMME. Dinsdag- 20e" Juny 1871, B. Van de Meubels en Men\gie Goede- ren zoo als Stoeleo, Vierkaote -, Ovale- en Cou lisse Tafels, Commode, CoflYefori, Kleeikasse, Slagborlogie, Qoiuqoeis, Kok- en Salon Sto»en, Venslerstoors eo Gordyoeu, Vergulde Pendule, Bloemvasen en verdere Schouwsieraden, Tafeldwa - leo eD Servietien, Louche, Lepels, Fourchetten eu Tafelmessen Lidkanten Nachliafel Lavabo, Wollen Matrasseu, Hoofdenden en Oniknssens, Wolien en Catoenen Sargien, Bedtakens, -eel Koper-Yzer-, Gleis- eu AerJwetk en andere voorwerpen. Eo C. Oogeveer 5oo Eiken Slniten eu 25oo kilogramme!) gerot Vla6.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 3