si <d sr tu s» El KEN BOOHIEN 2 venus arrêtés ool fait des révélations qui compromettraient singulièrement un an cien prince français naturalisé Espagnol. On dit que l'aide de camp du prince aurait louché chez un banquier deux cent mille francs, dont le prix aurait été distribué ceux qui plus tard ont fait le coup. Ce détail m'a été fourni par une personne arrivant de Madrid et qui a des relations avec le miuistère de la justice. On verra bien au reste, si le prince et son aide de camp, cités comme témoins, se présenteront pour con fondre la calomnie. On écrit de Londres, 18 décembre On écrit île Londres, 19 décembre On mande de Londres, 20 décembre Le ministère définitif est composé com me suit M. Sagasia la présidence et au ministère de l'intérieur; M. Malcampo, la marine; M. de Blass, aux affaires étran gères; M. Groizard, aux travaux publics; M. Topete aux colonies M. Anguloaux finances; M. Colmenarèz, la justice; M. Gaminde, la guerre. Les Cortès se réuniiont le 8 janvier. Ou assure que M. Sagasta obtiendra le décret de dissolution s'il ne réunit pas une majo rité dynastique. ONGUENT HOLLOWAY. Rougeole, Scarlatine. Ce font, après la naissance, les premières graodes épreuves auxquelles les eufaots sont sujets. Ces deux maladies sont très pernicieuses et demandent l'une et l'autre beaucoup de soin. Daos l'uue, c'est la poitrine; daos l'autre, c'est la gorge qui souffre le plus; mais la mère ou la nour rice trouvera dans l'Onguent Holloway uu souve rain remède cootre ces désolantes maladies. Il est absorbé par des frictious sur la gorge, la poitrine et le dos; la respiration devient immédiatement plus tranquille, la toux moins aigoe, les lèvres moins livides, les yeux moins ternes et l'état gé néral ne se ressent plus de ces gazes pernicieux qui sont toujours les a vaut-coureurs de quelque sérieuse attaque b la coosiituiioo ou au système nerveux. Ce précieux Onguent, noo-seuleraeot guérit les symptômes urgents, mais encore il chasse leurs dangereuses conséquences. ETAT-CIVIL D'Y PRES 9 VENDITIE VAN 120 KOOPEN Beuken en Sparren, HT Zm 1ACL23CSSCS221T. Woensdag 27n December 1871, te beginnen ten 11 uren 's morgens, zal den Notaris CilRISTIAEN, by open- bare Venditie verkoopen, in de Molebos- schen zuid-west by het dorp longs den keiweg, 120 koopen schoone Eiken Boomen, veel FlanisoenenBeuken, Larixen, Sparren voor kepers en wat Hoppepersen. Op gewone voorwaerden en tyd van be - laling utils begoede borg stellende. De vergadering, in gemeld bosch, by koop i, en by bel buis van den bosch- wachter Tytgat. s i I i L11 tl 1 LU Z fii m S3Jh4li=.s' "iâ i ANGLETERRE. Le nombre très-réduit des bulletins relatifs a l'état du prince de Galles indique suffisamment les progiès accomplis sers la con.alescence. Le ma lade a de longs intersalles de bon sommeil. Il prend des aliments asec plaisir et a recon-ré toute sa présence d'esprit. Les légers actes fébiiles qui se produisent encore de temps en temps soul un fait connu et habituel, même en pleine onsales- cenee daos U fièvre typhoïde. Jusqu'ici, néan moins, le progiès ne s'est pas anêté. Telle était la situation aujourd'hui a minuit et demi. La Reine ne paraît pas disposée b quitter San- dringham. Un train spécial a emmené le doc d'Edimbourg, les princes Arthur et Léopold et la princesse Beatrix, partaut pour Windsor. Le duc d'Edimbourg a aonoucé de vive »oii a la foule la non.elle de la convalesceuce de son frère. Celte communication a été accueillie a»ec une effusion d'enthousiasme. Les médecins, de leur côié, con firment hautement l'amélioration de l'état géuéral du malade. u Le mieux se soutient dans l'état du prince loyal. La convatesceoce suit une marche leoie, mais sans s'arrêter. Les bnlletins, bien qu'ils affectent une grande réserve, sont satisfaisants. On admire beaucoup la constance et le dévouement de la piin - cesse Louise, qui a veillé et soigné son frère, jour et nuit pendant tout le cours de la maladie. El'e »-st très - fatiguée, mais sans altération dans sa sauté. Le duc de Cambridge a quitté Saiidiingham en anooucant a.ec la plus vivesatisfaction qoele piince est convalescent. Le jeune groom Rlegg a succombé par suite «le la complication d'une cutigestion pulmonaire. La Reine est allée porter s>s consolations la uièie qui u 'a 'ait as quitté un instant le cheset de son fils. La princesse de Galles a fait autant. n Des empiriques, des tendeurs de remèdes se crets, n'ont cessé deiôder amour du château, s'ef- forcant qui mieux mieux de piôuer et de faite a cepter lents spécifiques. Uu de ces hommes a «ou'u pénérei jusqu'à la Reioe dans l'église. On a en beaucoup de peine l'éloigner. Le docteur Jeûner, médecin principal du piince possède une collection de drogoes de foute espèce qui lui ont été adressées par les charlatans pnnr l'aider dans la cure de son malade. Un (l'entre eux écrivait dernièrement Vous vous êtes bien douté, par le 'eraps qui court, que ma visite b SaodriDgham n'a pas été sans effet. Depuis l'envoi de ma fiole les symptômes sont devenus meilleurs, Cerbum sat tapienti. Je ne vous eu dis pas plus; mais je puis ajouter que j'ai écrit one lougoe épître la prin cesse et qu'elle a été aiusi l'instrument du salut de sou mari. Le malheur a voulujqoe dans sou voya ge le pauvre Esculape a gagr.é un rhnmatisme que, par cas singulier, son otvtéian ne peut guérir. Le bulletin d'hier soir annonce que la marche de la convalescence do prince de Galles est de ious points satisfaisante. Si tout va bien, dès qu'il s-ra en état d'être transporté ou le conduira Torquay. Pois, quand sou rétablissement sera complet, il ira Madère avec sa famille. Le docteur Jenuer doit partir demain ou après demain. Le docteur Gnll, pour qui le prince, pendant toute sa maladie, a manifeste une remarquable prédilection, restera un peu plus lougtemps auprès de lui. La Reioe a quitté Sindriogham cette après- midi, accompagnée de la princesse Louise. Pendaot sou voyage, ede a reçu des populations l'accueil le plus sympathique. Le nabab du Bengale, qui se trouve encore en Angleterre, a télégraphié b son fils, qui réside b Moorshedalead, la nouvelle de h maladie du prince de Galles, eo lui ordonnant de laire dire des priè res dans tooie l'Iode pour obtenir du Ciel la gué- rison do malade, a ESPAGNE» Madrid, 20 décembre. ■lu 13 nu 11 liéoembre Inrlu». NAISSANCES lu. Sexe masculin 7, idem féminin 3. Mariage. Armé Wyoo, plafonneur, et Clé mence Pareyu, dentellière. DECES. Wallaeri, Carhérioe, 7g ans, den tellière, veuve de Charles Declercq rue de la Boule. Candeel. Sylvie, 34 ans, dentellière, épouse d'Augustin Fagel, rue de Meoin. Bodein, Jeanne, 65 ans, sans profession, veuve de Philippe Debrnyné, rue de Menio, Vaudevyver, Aog", 53 ans, brasseur, époux d'Alix Van Acker, lue au Benne. Bekaerl, Viclolie, 67 ans, sans pro fession, oélibaiaire, rue de Lille. Oiloo, Heuri, i3 ans, charpentier, rue Moscou. Vau Exeui, Victoire, 75 ans, dentellière, célibataire, rue du Cor beat,. Logie, Joseph, 65 ans, cultivateur, époux de Marie Noyelle, S' Jacques lez Yptes. Six. Sophie, 71 ans, épouse de Louis Dobaraeeuw, S1 Jacques lez Ypres. Meraiui, Henri, 48 ans, cabareiierépoox de Lucie Mortier, Marcbé-au- Poisson. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS, 3 Ssxe mas- colin 3, idem féminin o. YPRES, 23 DECEMBRE .871. i I1T indiquant les quantités et le prix mojrci coles vendus au irohe de cette ville NATURE DU Grains et llenrées. QUANTITÉS VE NOUES. Kilogrammes. fhix VI 1 ex par 100 kilogramme* E ■0 c 0 i S 1 1 -i Froment 27.800 34 25 80 4 600 2 5 OO 75 Avoiue 3.ooo 18 00 44 1 2.100 2 2 - 5o 80 Féveroles. 5,4oo 22 25 80 Pommes de terre 4,8oo 9 25 i B»nrre 5 x 7 00 Pain de farine de froment brute 32 c* le kilo. Idem pnnr les fondations de 5o c'g3o gr. zuid-west by het dorp, OP ZONNEBEKE, K 1 £0 mm ui c-i S 5 J i'E B S a C/) UJ O H O Q 25 U a z -< UL -c "■-.* G r t* t r* 5 iîitii=3î i .Z a - s - - I - 5 î'-i =-: cl S z -r g .- - n r 5 - 3 S-5.-S as 5 cc.-z .r s - si-7- - r T - i. j tcl'il» i îi J= t I

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Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 2