il «S ïf«« $1 CONSEIL ET SECOURS c r° a «r~ s 0 fl 3 - - M .5 On signle Paris la présence de M. Romero. l'çent bien connu de Juarez, arrivé depuisieux jours, chargé d'une mission. Les fraide séjour de l'empereur du Brésil au Grnd Hôtel s'élèvent chaque semaine la omme de 15.000 francs, et ces frais ne cmprennent absolument que ceux de locabn et de nourriture. Le prix eu a été fixé àforfait La Réphlique n'a pas encore fait abaisser les lyers Paris. Un rural deaande le prix d'un logement de deux pièce, au S11 étage. 1,500 frncs, lui est-il répondu. N'avez-vus pas une écurie, aussi? Vous avz donc un attelage? Non. Ceserait pour loger l'âne qui louerait ce tru 1.500 francs! L'autorié allemande, s'il faut s'en rapporter ds dépêches des Ardennes, n'aurait pas tadé exécuter les menaces contenues dan la circulaire de M. de Bis mark. Deux otges viennent d'être expédiés en Allemagne L'un est un riche proprié taire des Ardnnes, l'autre un négociant de la Marne Ces deux paisibles citoyens ont subi ce triiemenl la suite de quel ques insultes e disputes qui se sont élevées entre des Franaiseldes soldats allemands. AJGLETEKKË. Sandringmam i-j septembre. Bulletiu offiiel de midi. Le prince a passé une nuiltranquille La convalescence est relardée pir une douloureuse affection de la hanche gauche, accompagnée de quelque fièvre. ONGUENT ET PILULES HOLLOWAY. Les fistules, hénnrroïdes, excoriations ei rétrécis sements sout proupteuienl soulagés ei finalement guéris par l'empbi de ce précieux Onguent, après quelques fomeniitions avec de l'eao tiède. Ceux qui souffrent de :es fléaux peuvent en ariêier in»- inédiaiement les progrès, la fois insidieux et rapides. Les fia nies négligées noo-senlement affaiblissent le ystèiue nerveux, mais détruisent l'existence. Les inestimables remèdes Holloway sont d'autant pus efficaces, qu'ils sont plus tôt employés; mais il ne fant jamais désespérer. Les cas sans espoir o»t également cédé leurs pouvoirs et ceux qui en éaient atteints ont ainsi échappé une mort terrible. Daos les excoriations, quelques applications de ce curattf Onguent effectuent la guérison, peudrot que les Pilules, se combinant avec loi sout spécialement avantageuses pour re lâcher et faire dsparailre les rétrécissements, quelle que soit leur dtrée ou leur situation. ÉTATfCIVIL D'YPHBS, llu 21 an 19 Décembre inclus. NAISSANCES 11. Seie masculin 6, idem fémioii 5. Décès. Beublez, Philippe, 86 ans, lieutenant pensionnérue des Bouchers. Fraocquen Marie, 97 aot, sans profession, veuve d'Henri Peeters, roe du Verger. Huygebaert, Cathérine, 81 ans, sans profession, veuve de Jean Derney, roe de la Boule. Bossaert, Pi»rre, 37 ans,colporteur, époux de Rosslte Verscboore, roe des Boodenrs. Logier, Henri, 7 aos, rue Basse. Segers, Charles, 51 ans, vacber, époux de Virginie Scbmit, roe Traversière.SchoonaertFidèle, 61 ans, sans profession, époux d'Apolioe Vandewoestyne, rue de Dixmode. Y anwelden, Léopold, 5o aos, douanier, célibataire, rue de Menin. Deboigre, Justine, 45 ans, domestique, célibataire, roe Saiot Jacques. Bebaeghel, Martio, 72 ans, domesti que, veuf de Virginie Gillioen, roe de Meoio. Demey, Théophile, 60 aos, journalier, époux de Floreoce Caes, roe Weninck. SaeD, Eulalie, 5g aos dentellière veuve de François Danoeel, roe Close. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS, 1. Saxe ma.- «uliu Of idem féminin i. YPRES, 5o DÉCEMBRE 1871. RT4T Indiquant Ira quantité, et le prix nio.ru dra Uralna, lourr.tr. rt autre, produit, agri cole. vendu, au marché de cette ville t nature DES Graliin et Uenréen. QUANTITÉS VENDUES. Kilogrammes. PRIX VtO E* par 100 kilogrammes. T. w i 0 s. s t 1 -ï Froment 57,400 34-25 80 5,ooo 22-5o 73 A »oine 1,700 I8-25 44 3,6oo 22-25 80 Féveroles. 1,000 22-00 80 Pommes de terre 5,ooo g-25 B-orre DOO-OO Pain de farine de fromeot brute 32 c* le kilo. Idem pour les fondations de 5o c*. g3o gr. co -c lc y b3 ëtS H c/a CO 2? «e •r o -J H «o "«S u 1/3 O S O PC -Kl t- a O T QC w o ai LU o u C-3 es O O </l a.- 0 <y O - jz a g CL - O O C- 1/1 ~o zz j. Ci O o o. ce 0 •o S 0 o -a CO o "a es u <D «5 t- a C/3 'O c tQ es sj en a co es S iï OO o 00 'C o r- CD 00 Q C. 'W w r/) C/2 V s cr a C7- /f l) f r o o o C/3 en S es C" 24 - U. O •- es Z S '3 cc - fclD C> dur ÇJ O Tfî <11 av C3 'C8 O CO -J -J O 2 «k. 3 CO w en C o - a ceux qui SOUFFBENT DE FAIBLESSE DE LA VUE ET 911 Ml ltTOTT ont fait du tort aux yeux par des éludes ou du travail fatigant. Depuis ma jeunesse j'avais la fâcheuse habitude de consacrer ie silence de la nuit des études sci entifiques. Par ceci aussi bieo que par beaucoup de travaux optiques et mathématiques excessivement f.ligaots, ma vue était tellement affaiblie qu'il y avait lien d'eo craiodrela perte totale, d'amant pins qn'nne inflammation continuelle s'y é'.u jointe qui pendant des annéesne voulau pas r éitu a„x ordon nances des médecins les plus ha! îles. CYm dans ces circonstances déplorables que j'ai réussi a trouver nn remède dootje me sers maimeriai 1 depuis qua rante ans avec le plus grand sui tes. Nonsemeineiit il a fait disparaître coniplè'-meni cette inflamma tion, mais encore il a rendu a mes yeux toutes leur vigneor et leors facoltés, d- sone qu'a présent, où j'entre dans ma 75"" année je lis sans Innettes l'écritore la plus fine et je jouis comme dans ma jeunesse d'une excellente vue. Des résultats aussi favorables oot été constatés par moi chez d'autres parmi lesquels se trouvent qnelqoes personnes qui avec les plus fortes 'unettes pouvaient peine va quer leurs affilies. Giâce l'usage peisévératit de ce remède, ils ont pu jeter lenrs lunettes et re- troover la force antérieure et naturelle de la vue. Ce liquide est une essence odorante dont la substance est le feoouil et qui ne contient ni Drastica ni Narcotiria ni d'antres substances métalliques ou nuisibles. La préparation de cette essence exigeant pourtant one manipulation chimique fort compli quée, je tiens remarquer que c'est le chimiste de cette ville, M' Geiss, pharmacien, qui me la fournit depuis longtemps en excellente qualité. IL vend la bouteille au prix de 4 francs et en en verra sur demande l'étranger en y ajoutant une indication de la manière de s'en servir. Je conseille donc aux persoooes souffrant des yeux de se faire venir de loi cette essence, une telle bou teille suffisant pour bien longtemps. Une toute petite qnautité mêlée avec de l'eao de rivière pro duit on liquide laiteux avec lequel on mouille les environs de l'œil tous les matins et soirs ainsi qu'après tour travail fatigant. L'effet est bienfaisant et rafraîchissant et il conseille et favorise en mente temps la fraîcheur de la peau. Je serais heureux si ce remède pouvait porte"" secours surtout cenx qui tout en aspirant sans relâche la lumière de la vérité, risquent et subis sent maintes fois perte de leur propre vue. Peut- être son usage fera-t-il aossi disparaître la vilaine mode de porter des lonettes, malheureosement trop en vogne parmi les jeones gens et qui le plus sou vent fait aux yeox plutôt du mal que du bien. Les lunettes peuvent bieo venir en aide une construc tion défectueuse de l'œil, mais jamais elles ne for tifient ou n'améliorent des yeox sains oc seulement affaiblis. Vken "/Elbe. D' Romershausen. Afin d'éviter ceux qni désirent s'adresser moi, tous les frais si fréquemment causés jusqn'ici par des redemandes, des renvois, ou par l'impossi bilité d'exécuter les commandes, on est instamment prié de signer son nom bien lisiblement et y ajoutant le nont de la roe et le nnméto de la maison. Le mode des remboursements par la poste n'étant pas en vigneor en Belgique, toute demande doit être accompagnée du montant des bouteilles envoyer. Dr F. G. Geiss. U X -1 z OM - I ;5,S3: s. -z E ec z mm Ut fiâ c 2 H LJ es o H ■jS O D Z (d C. *6 ■9 S! O Î3 ex ecu .2 G. O «or" 2 u 1 cj 1 ce ex -r 1 -G Z, <3 «5 J2 a. .2 - X S, M o s S .5 a 'z -o -3 ex as - -a c a s - ti o -- .- - -3 s C .S *3 -jc JZ c W a c 2 - m S o .S S 3 5 S o s g M t E .2 B 3 te p» g e. r 2 2 5 c «s -5, r a M w H z es us 2 tid -- 5 -e H u CO 5 P P S CO "S G ex C 2. rn 2 vi §-- e'.s vis s - a 3 .2 jz t Z es -< 2 CU - mm S* E 7_. 3 - mm - .Z* tX - i il J r y - I i S S - Z ex ■- u C "Z N -C tr eix i "C a, Z S -S :=1 g- s M -a u o - S - t c i s iiio r - -3 a ■j3 "a x ,z - v 3 S" 1 1 i, a. 9 9 - s - -e 'S w c o. Z o s - i c s s 5 "3 - 3 £.2 «-S gj-— i S S-g-S S s 1^! s c i c o N- c 3 E - r JW - O J;-- -3 .2° Cm 13 ff a g r o c - J Z eo C g s s 8 -v J S - G r s ex 3 o O "3 te" -a O .2 w CO eu *i.a £^i 'ifl o a V - Ç';iï - E. -- - u G. S o -O G - G r v 2'- c G 3 - "r i - j Xt) 'J? 2 - es .Z £"G- 3^3-^- cc O S o ÏP 9 rs ex - v -C th - 3 tu s C T« e ►n ej ex 3 w ex -3 3 w G 2 2 7Z 3 B 3® ■S ?"bî2 -= O S izi G l^s x C -« '■SIS s u. i 3 0 '*3 e e uw g O eatf te r Z E - a 3-^ a k 3 2 3.2 s -a: s !3*4JT§5 -Mefl 3 w -= M 5 5 s=!li5s G- t Ji -= O 3 r .2 3 su lo-S Z - v i'"-1 5 £~ui t.ï 5 L. Ci fi o s a - s: ml A - *- - *3 C S *2 L. - - - v: tr t 5 3= - I E 5 H c u x :r - >1? -. 2 «a W D D S X •- z 3.2 t; -F o - i - S N :s: £5 r s C o 1 - ta V - - E o 2 *5 -a 1 Z Cm a

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Le Propagateur (1818-1871) | 1871 | | pagina 3