vas, loch ;r in het met met le in daer innd icrk- r het de. niets r; de laeni 5 uyt enige Irift jerste tit nu even, jvcelt i men anten lersch doch onze l^elyk dig in i heer ;chyn- al, de den is ederj. (‘7 J’ai fait pleurer et j’ai fait tire, Utile a tous, je suis tout a la fois, Chéri des peuples et des rois. J’ai plusieurs enfans de tout age, Dont on admire le langage; Enfant d’un genre tout nouveau, Qui, n’ayant jamais eu de mere, Existants par moi soul, feront vivre lefiir père, Au-dela mème du tombeau, Mnn nom est compose de huit lettres choisies, Qui diversement assorties Offrent mille objets differents La régie que 1’on sail dans tous les jugements, Un monument auguste|, ou le sang des victimes Appaise l’Éternel en le vengeant de crimes, Le premier mets dont nous fumes nourris, TJne faveur de la fortune Obies del’attenle commune Qui fait trqis fois le inois des dupes a Paris. D’un ancien et saint personnage, L’épouse moins bellè que sage De qui le Christ est descendu, Le cuite qu’a Dieu seul les hu mains doivent readre, Une ville reduile en cendre, Ln grand titre qui donne un pouvoir absolu, Deux instruments, trois notes de musique, Un mot bien court, mais bien critique Qui joint deux coeurs inséparablement Ce qui sauve un oiseau, ce qui perdit Icare Une chose de prix la seule que 1’avar^ Compare et préfère a 1’argent, Un vice capital qui soulève la bile, Le fragile labeur d’un insecte odieux A tout un people volatile Piège subtil et dangereux, Un gucrrier de Juda, victime de la flamme Dont son roi brula pour sa femme Un crime que Lucrèce expia par sa mort, N’cn pouvant soutenir la honte et le remords, D’un arbrc toujours vert, le fruit apre^ insipide 1 3

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1825 | | pagina 7