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my zeggen dat alle deze zaeken meer tot nut zouden strekten,
principaelyk als men cenigte Arme-schoolcn of Werk-huyzen
zoude bezitten, alzoo zouden de arme kinders, in nlaets van
op de straet te loepen, de neêrstigheyd ingeboezemd worden,
en leeren zorgvuldig worden om hunnen kost te winnen.
Hé wel! Mynheer den Drukker, den tyd zal ons leeren kennen
wie van ons twee zynehoop zal vervold vinden,
En ik blyve, in in deze afwagting,
Benen uwsr Geabonneirde.
Eenen persoon van dit arrondissementden welken minnacr
is der fransche Dicht-kunst, hééft aen Z. K. TI. den Prins Fiederik
eenige veèrzen toegezonden, de welken wy geerne aen onze
lezers mede-deelen
A son Altesse Royale,
MONSEIGNEUR LE PRINCE FRÉDÉRIC DES PAYS-BAS,
Le Jour anniversaire de sa Naissance, le n Fcvrier 1826.
Bon Frédéric6 quel bonheur
Nous annonpa le jour de ta naissance
11 nous promit un protecteur
Un amant de la bienfaisance
Un soutien de l’humanité,
Un émule pour la jeunesse,
Un ami de la liberté
Et tu sais mieux que la promesse.
AT ars te fis don de sa valcur
Et Minerve de sa science
Si 1'un te donna son ardeur
L'autre te donna sa prudence.
Au conseil, on suis tes avis,
Au camp on vante ton courage
Aux amis comme aux ennemis
Tu te montre avec avantage.
Le ma pon que l’erreur proscrit,
Sous tes lois poursuit sa carrière
Tu nous gouverneet ton esprit
Est pour nous I’unique lumière.
De tes vertusde tes lemons
Nous aimons a suivre l'cxemple
C’est dans le cccur des vrais mapons
Qu’a jamais on t’érige un temple.
Grand Dieu prodigue tes faveurs
A l’idole de ma patne
Louiseparsème des fleurs
L'espace de sa belle vie.
Santé, bonheurplaisirsamours,
Jours sereins, suivez-le sans cesse
Et nous Peoples chantons toujours
t^ive le Prince et la Princess» l